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 pistol of fire | hazel

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Hazel Monroe
Hazel Monroe
Martyr

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : appartement ; une pièce, 25m², modeste à Eight Mile Road
ombres et névroses : Né dans un corps d'homme Haz a toujours eu du mal à se définir uniquement comme ça. Genderfluid il a des jours où ils se sent plus femme et d'autres homme. Sa garde robe contient beaucoup de vêtements dit "féminins" • Il donne rarement son vrai prénom quand il se présente, il en donne toujours un différent et il s'y perd lui même. Allez savoir pourquoi il fait ça.
cicatrices : 919
crédits : Tag

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▬ Lun 17 Aoû - 18:57 ▬


✻✻✻
(( pistol of fire ))
w/ ›› Leaf
Ses bras ne desserrent pas. Il veut qu'elle comprenne qu'il est la et qu'il ne partira pas. Qu'il ne lui demandera pas non plus de partir. Leaf est de ses rencontres qu'on aurait jamais pu prédire, celles qui partent d'une situation inattendue et qu'il s'ancre dans vos vies. Celles dont on ne peut plus se passer. Celles pour qui vous tiendrez tête à n'importe qui vous rabâchant cette citation disant que personne n'est irremplaçable. Leaf, elle fait partis de ce genre de personnes qui parfois se pensent insignifiantes, dispensables, éphémères et qui pourtant marquent comme jamais. Ce genre de personnes qui laissent un vide quand elles ne sont plus la. Elle ne s'en rend pas compte, se voit à travers ses défauts et se rabaisse mais jamais il ne passerait par l'esprit du bouclé d'utiliser les mots qu'elle utilise parfois pour se décrire. Il aimerait qu'elle puisse se voir à travers ses yeux. Alors elle comprendrait. Quand il relève son idée de se peindre dessus il l'a retrouve cette folie enfantine dans son regard, et son sourire ne s'étire que plus encore. « Mais t'es un génie Hazelof ! » un rire lui échappe et d'un mouvement de tête il se la joue L’Oréal bien que ça n'est pour effet que de faire rebondir ses bouclettes. A moitié dessapée tout comme lui, à sautiller sous cet enthousiasme naissant les voilà retombé en enfance. Enfance dont il ne se rappelle même pas Haz, mais qu'il rattrape depuis vingt ans maintenant. Et ce moment va être magique il le sent ! « Tu sais que ce s'ra la plus belle peinture d'ma carrière ? Tu l'sais j'espère, rien que pour ton p'tit boule que tu devras coller là-dessus ! » une main qu'il vient plaquer contre sa propre poitrine, au niveau du cœur "Alors la je suis.. profondément touché ! Et mon boule aussi est ému au passage !" il en remue même le bassin de gauche à droite comme pour imager cette joie. Il tourne la tête vers la toiles encore blanche qu'elle lui montre, encore dénudée de toute expression. Elle sera si belle à la fin, il n'en doute pas une seconde ! « Tu commences ou je commence ? » il hausse les épaules et une seule réponse lui vient "On commence ?" après tout ils peuvent très bien se peindre dessus en même temps ! « Et que ce soit beau hein ! Faut que ce soit vraiment nous là-dessus. » ah ben évidemment ! C'est le but ! "Rien qu'à la façon de le faire ça sera déjà nous" Il s'accroupis et sans attendre badigeonne l'intérieur de ses mains de différentes couleurs. Il se fout également de la peinture rouge sur la bouche sans chercher à ne pas déborder et quand il se relève c'est pour caler ses deux mains sur ses joues et venir poser un gros bisou sur son front. Quand il s'éloigne et retire ses mains un grand sourire étire ses lèvres "Aaah ça te va déjà super bien ! On pourrait presque même dire que les traces de mes mains ce sont des ailes de papillon" il n'en décroche pas du papillon faut croire. Mais ça lui va tellement bien. Pour le coup, oui c'est elle. En tout cas de son point de vu. Un magnifique papillon coloré. Il attrape ensuite un pinceau qu'il trempe dans la peinture orange, sa préférée, et il se redresse pour agiter le pinceau au dessus de ses épaules histoire de faire dégouliner un peu la peinture dessus. "Je te bénis déesse de la créativité !" et il vient lui foutre un ptit coup de pinceau sur le bout du nez "Boop !" un gamin, toujours ! "Tu sais ce que tu pourrais faire ? Ou qu'on pourrait faire ? Organiser un truc comme ça mais dehors dans la rue, pour ceux qui veulent une toile qui serait vraiment eux. Pour un couple, des amis, n'importe qui, et ça serait un événement qui porterait ton nom" Ah oui ça peut partir loin ses idées mais il ne fait toujours que les évoquer, pas les imposer "J'suis sûr que ça pourrait marcher. Avec tout ce qu'il se passe, je pense que les gens en ont besoin" un petit moment de complicité et de délire en dehors du temps.



The Show Must Go On
Slow down and look at me. Touch me and lick me all over. Take your time and don't stop until you hear me scream. sheepirl.

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Leaf Duncan
Leaf Duncan
green light

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : loin des ruines de la cité désolée. petite ville nommée Novi, dans une flamboyante maison de briques rouges sur le boulevard sunrise. étrange et parfaite coïncidence pour la demoiselle qui y vit désormais avec son "sunny".
ombres et névroses : petite feuille que les vices n'ont jamais su trouver. la luxure qu'elle n'a jamais effleurée - asexuelle. et touchée, la demoiselle, par ces quelques névroses parfois moquées. phobie des couleurs mélangées, l'instinct qui réclame que tout soit trié. tout comme cette maladie qu'elle n'a jamais su parer, que la conscience n'a jamais su marquer : chaque ponctuation dans ses messages apparaîtra six fois. et si l'euphorie semblait pouvoir se calmer, elle ne fait que s'accentuer depuis que cette petite vie s'est imposée. une fille issue d'un amour trop exacerbé, d'une obsession démentielle qu'elle persiste à alimenter à l'égard du fiancé.
cicatrices : 722
crédits : tetradke (c) astra (c)

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▬ Ven 28 Aoû - 13:42 ▬



pistol of fire


told u not to worry but maybe that's a lie. honey whats your hurry? wont u stay inside? remember not to get to close to stars... their never gonna give u love ours.
(sarasvati)


« Rien qu'à la façon de le faire ça sera déjà nous. » Vérité qu'il donne, parce qu'elle ne peut être nier. Elle y croit, Leaf, à être l'une des premières avec cet acolyte à vouloir se risquer sous cette euphorie trop bien installée. Parce que l'orage est passé, il s'est étiolé sous le réconfort de cet homme au trop grand cœur, celui dont elle sait ne plus vraiment pouvoir se séparer. Là, rien que par cette présence qui parvient à tout arranger, tout satisfaire pour cette bancale stabilité, cette trop brève sérénité. Sauveur qu'il s'improvise dans le cœur de la demoiselle encore légèrement sonnée mais prête à pouvoir s'envoler. À nouveau, jusqu'à la prochaine chute. Une dernière fois avant que l'orage n'est à se rappeler, avant que les dangers et les immondices de ses obscurités ne parviennent à l'attraper. « Aaah ça te va déjà super bien ! On pourrait presque même dire que les traces de mes mains ce sont des ailes de papillon. » Parce qu'elle l'a laissé faire, Leaf. Elle lui a laissé ce privilège, cette occasion trop parfaite de lancer les hostilités. Et elle mime même ce qu'il lui attribue, cet éternel animal qui saura probablement la suivre tant qu'il se tiendra à ses côtés. Elle s'en contente, elle ne fait qu'un peu plus l'apprécier. Petite feuille qui s'en remet aux couleurs éparpillées, à tout ce qui pourrait s'élever en cet esprit trop alarmé. Idée qu'elle attend, qu'elle force à s'imposer. Mais, prise de court, c'est sur son plus précieux allié qu'elle se concentre, intriguée. Peinture qui longe les épaules, ce sourire qui n'a pas décroît. « Je te bénis déesse de la créativité ! » Avancé qu'elle n'avait pas prévu, le bout du nez qu'il vient colorer comme pour parfaire sa propre idée. Elle se laisse faire, la jeune femme, emportée par cet élan de légèreté. Celui qu'il tient à faire perdurer, presque capable d'y délaisser toute son âme rien que pour celle qui s'est égarée, il y a un instant, en un néant qu'il n'a sûrement jamais considéré. « Tu sais ce que tu pourrais faire ? Ou qu'on pourrait faire ? Organiser un truc comme ça mais dehors dans la rue, pour ceux qui veulent une toile qui serait vraiment eux. Pour un couple, des amis, n'importe qui, et ça serait un événement qui porterait ton nom. » Elle n'est pas feinte, cette surprise qui vient naître dans son regard. Ces quelques étoiles imparables qu'elle laisse prendre d'assaut les iris jusqu'à ne plus rien laisser que cet engouement. Curiosité piquée, attention toute retenue par celui qui a osé, qui vient de déverser une idée dans la tête de l'audacieuse petite luciole à l'âme aux traits exacerbés. « J'suis sûr que ça pourrait marcher. Avec tout ce qu'il se passe, je pense que les gens en ont besoin. » Il est ce plus qu'elle ne possédait pas, la petite feuille s'en rende compte désormais, de cette chance qu'elle peut posséder, cette magnificence qu'elle vient instinctivement prendre dans ses bras. Réflexe oblige, contact qu'elle possède et contre lequel elle n'est que trop fragile, petite lueur trop habile.

Et elle y reste un temps, Leaf. Elle s'y perd, en cette étreinte trop salvatrice pour ce cœur affolé, encore accablé. Présence qui apaise, présence qui parvient à chasser les démons des névroses trop élevées. Dieu qu'elle voudrait pouvoir taire tout ce qui l'anime, tous les doutes qu'elle a soulevé et qu'elle essaie de nouveau à enterrer. Et contre ce cœur qui semble accompagner le sien, elle se persuade d'y parvenir, volonté qu'elle fait s'élever. Le souffle plus calme, sourire qui revient prendre les lèvres en un rictus sincère et appuyé. « Ça s'appellera Hazeaf. » La voix qui revient enfin, consentement qu'elle donne à cette idée qu'il vient de proposer. Elle voudrait essayer, petite Leaf. Elle voudrait se risquer à ce projet complètement fou, reflétant finalement l'ensemble de ce lien qu'ils ont tous les deux créé. « Ça nous fera rentrer dans l'ordre des vendeurs de souvenirs et de bonne humeur. On deviendrait des sortes de héros, des sauveurs même. » Les mains qu'elle a apposé sur les épaules, sérieux qu'elle essaie à tenir tandis qu'elle a accroché les prunelles des siennes. Déterminée qu'elle devient, elle, la jeune femme à l'enthousiasme éternel. Et cet envol qu'elle reprend, mille couleurs dont elle vient s'imprégner jusqu'à cette crinière qui n'échappe pas aux nouvelles mèches qu'elle vient imposer. L'habitude, peut-être, des couleurs mélangées, extravagantes en vérité, qui rappellent qu'elle n'appartient pas tellement à cette fade et triste normalité. « Bon, j'espère que t'as pas peur pour ton sol. » Haussement d'épaules quant à cette remarque, les gouttes qui perlent déjà pour ancrer leur souvenir en cet appartement qu'elle s'est peut-être un peu trop approprié. Mais il n'a pas râlé, l'y a même aidé. Raison pour laquelle, au final, son inquiétude ne parvient pas à se lever. « Au moins, même si j'pars, t'auras toujours des traces de mon passage. » Et cette main qu'elle vient chercher, ce regard qu'elle laisse traîner brièvement sur cet ami trop adoré. « J'rêve ou t'as encore rien mis sur toi ? Magne toi avant que ça sèche là ! Et on y va ensemble, j'te préviens. » Doigt accusateur levé vers Hazel avant qu'elle ne rapproche les peintures, qu'elle vienne même l'y aider. Minutie dont elle userait presque avant que l'élan ne soit à prendre pour ce qu'ils ont à constituer.                               









like an hostage
❝ will you be there when the day's done? will you be there, under the same sun? ❞ i wanna be alone. alone with you, does that make sense? i wanna steal your soul and hide you in my treasure chest. i don't know what feels true but this feels right so stay a sec. yeah, you feel right so stay a sec. and let me crawl inside your veins. i'll build a wall, give you a ball and chain. it's not like me to be so mean, you're all i wanted. just let me hold you like a hostage. »
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Hazel Monroe
Hazel Monroe
Martyr

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ombres et névroses : Né dans un corps d'homme Haz a toujours eu du mal à se définir uniquement comme ça. Genderfluid il a des jours où ils se sent plus femme et d'autres homme. Sa garde robe contient beaucoup de vêtements dit "féminins" • Il donne rarement son vrai prénom quand il se présente, il en donne toujours un différent et il s'y perd lui même. Allez savoir pourquoi il fait ça.
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▬ Jeu 10 Sep - 8:29 ▬


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(( pistol of fire ))
w/ ›› Leaf
Elle lui inspire des idées auxquelles il n'aurait sûrement pas tout seul. C'est ce que ça donne quand ils sont tout les deux. Leaf a déjà une personnalité inspirante, si on ajoute à ça son artiste, il est impossible de ne pas avoir d'étoile dans les yeux. Et dans les étoiles Haz il y plonge. Papillon coloré et pétillant sous la lumière du jour. Papillon céleste et scintillant à la lumière de la lune. Papillon qui referme ses ailes sur lui sans qu'il s'y attende. Surpris l'espace d'une seconde il sourit et l'enlace également de ses bras. « Ça s'appellera Hazeaf. » haaaaw ! Il la serre un peu plus contre lui en relevant les épaules. Il est flatté. Il voit déjà la scène se peindre sous ses yeux. Et ça le fait rêver. Ça serait tellement beau. Il est excité comme un gamin à cette idée. Vraiment ! Et vu sa réaction ça lui plait tout autant. Ce qui veut dire que ça va se concrétiser et que ça sera forcément géant comme expérience humaine ! « Ça nous fera rentrer dans l'ordre des vendeurs de souvenirs et de bonne humeur. On deviendrait des sortes de héros, des sauveurs même. » son sourire s'élargis "T'es déjà une Supergirl toi de toute façon, j'serais ton Robin !" c'est un plan qui lui convient bien ! Elle restera toujours sa super héroïne de toute façon. Comment pourrait-il oublier leur rencontre si singulière ? Ils se séparent pour reprendre leur projet. Enfin surtout elle qu'il regarde se peinturlurer jusqu'aux cheveux « Bon, j'espère que t'as pas peur pour ton sol. » il baisse les yeux sur le sol jonché des quelques gouttes de peinture qui n'ont su rester accrochées à Leaf et il hausse les épaules. C'est joli comme ça. Bon ça plaira peut-être moins au proprio mais qu'est ce qu'il y peut lui si certaines personnes ne savent pas apprécier l'art ? « Au moins, même si j'pars, t'auras toujours des traces de mon passage. » il rit doucement et pointe le sol du doigt "En fait tu devrais même signer à côté" comme ça oeuvre d'art signé ! Un jour Leaf sera célèbre et les gens se battront pour acheter ce morceau de sol. C'est ce qu'il dira au proprio tiens, pour essayer de le convaincre de laisser ça comme ça. Il a espoir oui ! « J'rêve ou t'as encore rien mis sur toi ? Magne toi avant que ça sèche là ! Et on y va ensemble, j'te préviens. » il écarte les bras "Ben justement le projet c'était que tu peignes sur moi, et que moi je peigne sur toi du coup !" il rit et se penche pour attraper de la peinture jaune au creux de sa main puis se redresse et déverse celle ci au sommet de son crane pour laisser la peinture suivre les courbes de ses boucles. Il fait pareil avec plusieurs couleurs puis s'attaque à son corps avec l'aide de la blondinette plus si blonde. Il s'applique et ils finissent réellement complètement peint de plein de couleurs l'un comme l'autre. Il lui envoie une pichnette de peinture puis écarte les bras "On dirait qu'on y est !" ça y est oui ils y sont ! "On se colle dessus ? Ou bien on roule dessus ? J'te suis Maestro !" ça reste sa toile il veut quand même son avis.



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Leaf Duncan
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ombres et névroses : petite feuille que les vices n'ont jamais su trouver. la luxure qu'elle n'a jamais effleurée - asexuelle. et touchée, la demoiselle, par ces quelques névroses parfois moquées. phobie des couleurs mélangées, l'instinct qui réclame que tout soit trié. tout comme cette maladie qu'elle n'a jamais su parer, que la conscience n'a jamais su marquer : chaque ponctuation dans ses messages apparaîtra six fois. et si l'euphorie semblait pouvoir se calmer, elle ne fait que s'accentuer depuis que cette petite vie s'est imposée. une fille issue d'un amour trop exacerbé, d'une obsession démentielle qu'elle persiste à alimenter à l'égard du fiancé.
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▬ Ven 11 Sep - 0:18 ▬



pistol of fire


told u not to worry but maybe that's a lie. honey whats your hurry? wont u stay inside? remember not to get to close to stars... their never gonna give u love ours.
(sarasvati)


Supergirl et Robin, elle adhère à l'idée, Leaf – excitée qu'elle en devient, imaginant jusqu'à ces scènes improbables qui pourraient rendre quelques sourires en ces rues parfois trop tristes. Soleil qu'elle voudrait partager, joie dont elle regorge et qu'elle aime à insuffler. Il a les idées parfaites, il a cet élan qui vient faire écho aux siens – plus que jamais. C'est ce qui l'anime, en cet instant, ce qui lui permet de faire fuir le vent méprisant de cette vie qu'elle se doit d'accepter – les différences qu'elle se doit d'assumer. Parce qu'il l'encense dans cette magnifique folie qu'elle parvient à vouloir faire perdurer, là, rien que par cette idée levée, le fait de signer toutes les conneries qu'elle laisse échapper au sol qu'elle se devrait d'épargner. Sourire ne peut qu’accroître, sourire ne peut disparaître. Dieu qu'elle l'a rêvé, cet ami-là, parcourant ses rêves et l'entièreté de son imaginaire. Celui dans lequel elle essaie d'ailleurs à l’entraîner, dans un monde remplie de couleurs et de lumière. Amas qu'elle s'offusque de ne pas encore voir sur lui, faux froncement de sourcils qu'elle ne peut réprimer. « Ben justement, le projet c'était que tu peignes sur moi, et que moi je peigne sur toi du coup ! » Vérité qu'il rappelle, point qu'il vient marquer quand elle, de son côté, s'était laissée emporter par cette euphorie nouvelle. Leaf et son impulsivité éternelle. Mais elle lui vient, aide qu'elle lui donne, plaisir qu'elle y prend à se risquer sous ces délires qu'elle n'aurait sûrement jamais imaginé si leurs deux cerveaux n'étaient pas entrés en collision de façon si aisée. Plénitude colorée qui resplendit finalement dans l'appartement qu'ils viennent animer. Légèreté qui s'est réimposée, entièrement, sans qu'elle n'ait véritablement à forcer. L'orage est passé. Les tonnerres se sont étiolés. Ils sont loin les tourments qu'elle craignait, bien éloignés ces troubles qu'elle essayait à enterrer. Il a cet effet sur elle, ce don de l'apaiser plus qu'elle ne l'aurait imaginé. Moitié dont elle manquait probablement depuis désormais bien trop d'années. « On dirait qu'on y est ! Rappelle de cette voix qui revient à s'élever. Les prunelles qui détaillent leur deux êtres pour être sûre qu'aucune parcelle de peau n'y a échappé. On se colle dessus ? Ou bien on roule dessus ? J'te suis Maestro ! » Les bras qu'elle lève comme si elle l'acceptait, ce titre. Parce qu'elle s'y plaît, Leaf, dans cet univers qu'ils viennent lever à eux deux. Comme ils l'ont toujours fait jusqu'alors, ce qu'elle espère encore prospère puisque ses jours n'en deviennent que plus heureux.

« Alors ! » Elle sautille, la jeune femme, toile qu'elle vient déjà récupérer pour la caler contre le pan de mur qu'elle avait libéré plus tôt. Les prunelles qui s'y perdent, qui lorgnent dessus, qui essaie à imaginer ce qui pourrait advenir de ce qu'ils pourront en faire maintenant qu'ils en ont l'opportunité. « Faut éviter de trop rouler dessus pour pas niquer l'encadrement là. » Elle désigne le bois qui tient la toile, s'improvise professeur le temps de quelques secondes à peine. Et le regard qui lui revient, le regard qui se porte sur cet ami trop cher désormais, joyau qu'elle ne voudra jamais lâcher, agrippé de ses petites mains. « Par contre ! Ce qu'on peut faire... c'est juste se coller dessus ! Comme ça, ça fait nos deux ombres et on se souviendra toujours que c'est nous. Même les enfants que ni toi ni moi n'aura ! » Les mains qu'elle vient apposer contre les épaules masculines, sérieux qu'elle essaie à garder quoi que son sourire vient aussitôt tout dévoiler. « En vrai, tu la garderas cette toile, c'mon cadeau pour toi, encore un ! Comme ça, tu m'oublieras jamais ! » Et l'étreinte, comme à son habitude. L'étreinte qu'elle entreprend pour ne rien changer, énergie dont elle l'affuble.                                









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ombres et névroses : Né dans un corps d'homme Haz a toujours eu du mal à se définir uniquement comme ça. Genderfluid il a des jours où ils se sent plus femme et d'autres homme. Sa garde robe contient beaucoup de vêtements dit "féminins" • Il donne rarement son vrai prénom quand il se présente, il en donne toujours un différent et il s'y perd lui même. Allez savoir pourquoi il fait ça.
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▬ Sam 12 Sep - 21:07 ▬


✻✻✻
(( pistol of fire ))
w/ ›› Leaf
Combien de kilos est ce qu'ils venaient de prendre avec toute cette peinture sur eux, bonne question. Mais ils en étaient couvert ! Ce sont créé leur monde en technicolor. Ce monde qu'ils partagent depuis leur rencontre. Cette onde de pensée sur laquelle ils se sont rejoint. « Alors ! » il la regarde avec toute la tendresse avec laquelle on peut regarder un enfant, quand elle sautille ainsi. Qu'est ce qu'il aime la voir heureuse. Ça remplis son cœur de rayons de soleil et de chaleur. Ce qu'il pourrait donner pour toujours la voir sourire ainsi. Leur tout nouveau projet de peinture dans la rue sera probablement tout aussi amusant que ce moment. « Faut éviter de trop rouler dessus pour pas niquer l'encadrement là. » il hoche la tête. Bien chef ! C'est vrai que ça serait dommage d’abîmer la toile. C'est elle la pro, il écoute ! « Par contre ! Ce qu'on peut faire... c'est juste se coller dessus ! Comme ça, ça fait nos deux ombres et on se souviendra toujours que c'est nous. Même les enfants que ni toi ni moi n'aura ! » point qu'elle relève sous l'humour mais qui tique quand même sous sa caboche. Mais il ne dit rien. Attention rapidement recaptée par son papillon quand elle pose ses mains sur ses épaules « En vrai, tu la garderas cette toile, c'mon cadeau pour toi, encore un ! Comme ça, tu m'oublieras jamais ! » il sourit également et ses bras viennent à leur tour se refermer sur elle "Tu me gâte décidément ! Enfin c'est pas comme si je pouvais t'oublier non plus !" Ca jamais, c'est impossible ! Il se décolle d'elle juste pour pouvoir la regarder "On va l'accrocher sur le mur en face du lit comme ça on le verra à chaque réveil !" c'est quelque chose qui le mettra forcément de bonne humeur ! Il prend sa main et l’entraîne avec lui, enjambe les pots de peintures "Goo !" sans lui lâcher la main il vient se coller à la toile, tournant la tête de son côté. Écrasant ses boucles, sa peau, ses fringues contre le tissus. Comme quand on s'amuse à coller sa tête contre la photocopieuse. Et quand il se décolle c'est un rendu assez particulier qui s'offre à ses yeux. Avec leurs deux silhouettes. "J'adore !!" il tend la main vers elle "Top la, partenaire !" ils font du bon travail tout les deux ! "On va avoir une douche très colorée j'crois" Sans faire plus attention au sol il s'y assoie et relève la tête vers elle "T'as pas envie d'avoir d'enfant plus tard toi ? Jamais" il s'en fiche que ça ne soit pas le cas, elle en a parfaitement le droit, il est juste curieux vu qu'elle a dit qu'ils n'en aurait pas. "Moi j'en veux pas maintenant mais je me dis un jour peut-être" il n'est pas con il sait bien que vu son orientation sexuelle s'il trouve un vrai partenaire de vie un jour ils n'auront pas d'enfant biologique. Mais l'adoption ça existe non ? Est ce qu'il ferait un bon père ? Une bonne mère ? Il n'en sait rien. Il est peut-être encore lui même trop enfant pour ça. C'est bien pour ça que ça n'est pas à l'ordre du jour.



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Leaf Duncan
Leaf Duncan
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ombres et névroses : petite feuille que les vices n'ont jamais su trouver. la luxure qu'elle n'a jamais effleurée - asexuelle. et touchée, la demoiselle, par ces quelques névroses parfois moquées. phobie des couleurs mélangées, l'instinct qui réclame que tout soit trié. tout comme cette maladie qu'elle n'a jamais su parer, que la conscience n'a jamais su marquer : chaque ponctuation dans ses messages apparaîtra six fois. et si l'euphorie semblait pouvoir se calmer, elle ne fait que s'accentuer depuis que cette petite vie s'est imposée. une fille issue d'un amour trop exacerbé, d'une obsession démentielle qu'elle persiste à alimenter à l'égard du fiancé.
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▬ Lun 14 Sep - 1:19 ▬



pistol of fire


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(sarasvati)


« Tu me gâtes décidément ! Enfin, c'est pas comme si je pouvais t'oublier non plus ! » Doutes qu'il éloigne, doutes qu'il réduit à néant par quelques mots, en un simple regard. Elle s'en berce, Leaf, de cette affirmation qu'il lui donne – promesse implicite qu'il scelle en lui venant, en continuant à l'enserrer encore un instant. Et elle s'en abreuve, de cette force qu'il est le seul à pouvoir pleinement lui donner ; lui, la muse de cette conscience qui comprend enfin qu'elle ne se doit que de s'envoler, de se libérer. « On va l'accrocher sur le mur en face du lit comme ça on le verra à chaque réveil ! » Et elle acquiesce, la petite feuille révélée. Elle acquiesce parce qu'elle ne peut que s'emporter, éveillée par cette idée – cet honneur qu'il vient lui concéder. Le meilleur de tous qu'il est devenu dès lors qu'ils se sont rencontrés, pierre trop précieuse pour ce cœur qui l'a pleinement accepté. Et finalement, elle s'y perd, dans cette tendre aliénation qu'ils ont le don d'amener, main qu'elle saisit et à laquelle elle s'accroche, les pas qu'elle suit jusqu'à la toile encore vierge, défaite de cette amitié qu'ils ont à instaurer, à rappeler à quiconque pourrait y poser les yeux, y verser sa curiosité. Et cette main qu'elle possédait, elle la garde dans la sienne même quand ils vont pour imposer sur éternité. Ce sourire qu'elle ne peut pas réprimer, trop bien ancré, l'encéphale qui déjà imagine ce qu'ils sont en train de créer. Rien qu'un instant, un instant à tout imprimer contre la toile inaugurée et le petit être qui se décolle, ses grands yeux clairs qui s'y attardent avec satisfaction. C'est aussi bien que ce qu'elle imaginait – à leur image, finalement, tels qu'ils ont toujours été. Reliés, désormais à jamais – elle l'espère, petite Leaf, maintenant que tout lui fut divulgué. « J'adore ! Top la, partenaire ! » Comment résister ? Bien-sûr qu'elle le fait, trop fière d'elle-même et de ce compère qu'elle n'est pas prête d'abandonner. « On va avoir une douche très colorée j'crois. » Rire cristallin qui revient, qui emplit les lieux, son regard qui ne se détache pas de ce qu'ils viennent de faire. Elle s'y perd, Leaf, éperdue en des songes lointains, en ces quelques craintes qu'elle efface de sa mémoire. Non, elle ne le perdra pas – pas même malgré ce qu'elle lui a confié, ce qu'elle peut être, sans artifice, sans mensonge bêtement amené. Et finalement, c'est lui qui l'a sort de cette contemplation tenue, celle qui perdurait. Il l'en tire, Hazel, assit au sol où elle vient l'y rejoindre dans la foulée. Et elle s'était attendue à tout, petite Leaf. Elle s'était attendue à toute sorte de mots, mais pas ceux-là, ceux qui heurtent plus qu'elle ne l'aurait imaginé – nouvelle pression amenée sur ses maigres et petits bras. « T'as pas envie d'avoir d'enfant plus tard toi ? Jamais. » Question qu'elle retourne dans sa tête, interrogation sur laquelle elle ne s'est jamais posée. Ça la surprend, ça la jette là où son esprit n'est jamais allé. Et elle réfléchit, Leaf, elle essaie d'imaginer quelle pourrait être sa vie dans quelques années. « Moi, j'en veux pas maintenant mais je me dis un jour, peut-être. » Sourire attendrit, les prunelles qui n'ont de cesse à le contempler – lui, ce joyau de candeur que personne ne pourrait mériter. Parce qu'il est pur, Hazel. Parce qu'il est cette candeur incroyable, cette pépite de bonheur éternel.

Alors elle hausse les épaules, Leaf. Elle essaie à réfléchir, du mieux qu'elle peut malgré cet esprit volatile, un peu trop éparpillé. Elle s'y essaie, la jeune femme, l'azur des prunelles qui se porte sur les autres toiles qui, elles aussi, ont à sécher. Jamais, jamais cette idée ne lui a traversé l'esprit et le constat heurte l'âme chamboulée – vérité qui glace le sang autant qu'elle abîme la conscience. « Je... sais pas trop. J'me dis que j'ferais une trop mauvaise mère de toute façon. J'veux dire, tu m'as vu ? » Elle force un sourire, elle force l'amusement dans ce qu'elle dévoile – véracité des mots qui se transforme en brûlure contre la trachée. « Non, vraiment, j'en sais rien... J'ai jamais vu plus loin que l'jour actuel et j'vais pas te mentir que ça me fait flipper de me dire qu'encore plein de trucs sont à se passer. Puis, de toute façon, t'es le seul à me supporter. » Parce qu'elle n'a qu'un amour éphémère, imaginaire. Parce qu'elle ne possède rien, Leaf. Pas de travail, pas d'avenir, pas de lien à ce cœur misérable qui ne bat que sous les impulsions en lesquelles elle se perd avec parfois peut-être trop de vivacité. « Personne voudrait d'une malade dans mon genre, paraît que j'suis invivable. Alors avec un enfant... J'les adore hein, mais j'pense que j'suis incapable de pouvoir m'en occuper. » Un nouveau haussement d'épaules, une nouvelle perdition qui s'ancre en cet esprit troublé. Elle avait tout imaginé, Leaf. Tout, mais pas cet avenir qu'il lui permet d'imaginer – qui tâche finalement toute cette vie qu'elle a toujours mené. Leaf n'est qu'un électron libre, cette normalité ne saura jamais la trouver. « Mais toi, toi tu serais parfait. Tu l'es déjà ! »                                 









like an hostage
❝ will you be there when the day's done? will you be there, under the same sun? ❞ i wanna be alone. alone with you, does that make sense? i wanna steal your soul and hide you in my treasure chest. i don't know what feels true but this feels right so stay a sec. yeah, you feel right so stay a sec. and let me crawl inside your veins. i'll build a wall, give you a ball and chain. it's not like me to be so mean, you're all i wanted. just let me hold you like a hostage. »
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Hazel Monroe
Hazel Monroe
Martyr

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : appartement ; une pièce, 25m², modeste à Eight Mile Road
ombres et névroses : Né dans un corps d'homme Haz a toujours eu du mal à se définir uniquement comme ça. Genderfluid il a des jours où ils se sent plus femme et d'autres homme. Sa garde robe contient beaucoup de vêtements dit "féminins" • Il donne rarement son vrai prénom quand il se présente, il en donne toujours un différent et il s'y perd lui même. Allez savoir pourquoi il fait ça.
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▬ Lun 14 Sep - 4:33 ▬


✻✻✻
(( pistol of fire ))
w/ ›› Leaf
Une oeuvre d'art. A eux deux ils ont réalisé une oeuvre d'art ! Depuis qu'elle est la de toute façon son art illumine cet appartement. Et il s'y sent même plus chez lui qu'avant. Ça lui correspond mieux. Il est son plus grand fan. Il espère qu'un jour elle aura la reconnaissance qu'elle mérite. Parce qu'elle mérite d'exposer dans de grandes galeries. Elle mérite que des gens riches enchérissent sur ses œuvres uniques pour pouvoir se vanter de les avoir chez eux. Et quand il regarde cette toile il est fier de savoir qu'il y a une part de lui dans une de ses œuvres. Peut-être bien qu'un jour ça lui plairait de raconter comment ils ont créé cette toile à son ou ses enfants. Il essaye de s'imaginer la scène. C'est assez.. perturbant pour dire vrai « Je... sais pas trop. J'me dis que j'ferais une trop mauvaise mère de toute façon. J'veux dire, tu m'as vu ? » il tourne la tête vers elle et ses sourcils se creusent. Pourquoi ? Pourquoi elle dit ça ? Encore une fois elle se dénigre et ça le chagrine. Des mères il en a vu de toute sorte. La sienne il ne l'a jamais vu en revanche. Il y a quelques exemples qui pourraient être associés à de mauvaises mères, c'est malheureusement vrai. Mais elle ? Elle ? Elle est encore très jeune, elle a le temps d'évoluer encore mais il ne doute pas qu'elle puisse faire une excellente mère si un jour elle désire en être une. « Non, vraiment, j'en sais rien... J'ai jamais vu plus loin que l'jour actuel et j'vais pas te mentir que ça me fait flipper de me dire qu'encore plein de trucs sont à se passer. Puis, de toute façon, t'es le seul à me supporter. » un léger rire lui échappe et il secoue la tête. N'importe quoi. Il n'est pas le seul. Elle est plus aimé qu'elle ne le pense. Par contre il comprend ce qu'elle lui dit. Lui même n'y réfléchis pas souvent à la suite. Vivant chaque jour comme il vient, parfois plus intensément parfois plus calmement. Ça fait même partis des choses dans lesquels ils se retrouvent. Il peut se passer encore tellement de choses. Pourquoi chercher à savoir à l'avance ce que ça pourrait être. Mais c'est vrai que les enfants c'est un sujet plutôt général. Un jour ou l'autre tout le monde vient probablement à réfléchir à la question, que ça soit pour prendre une décision ou une autre. Et cette décision n'est jamais forcément définitive d'ailleurs. Les envies changent. Il n'y pense lui même que très rarement, mais ce qu'elle lui a dit, ça a ramené le sujet à son esprit. Il s'est longtemps dis qu'il n'aurait pas d'enfant parce qu'il ne pourrait pas le protéger. Mais son chemin de pensées n'est plus le même aujourd'hui « Personne voudrait d'une malade dans mon genre, paraît que j'suis invivable. Alors avec un enfant... J'les adore hein, mais j'pense que j'suis incapable de pouvoir m'en occuper. » Il entend ce qu'elle dit, comprend également, mais n'est pas forcément d'accord pour autant « Mais toi, toi tu serais parfait. Tu l'es déjà ! » Elle réanime son sourire. Adorable comme toujours. Ils sont l'un envers l'autre les personnes qu'ils devraient être envers eux même. Peut-être que c'est aussi ce qui fait qu'ils ont besoin l'un de l'autre. En tout cas de son côté Haz ne pourrait plus se passer de la jeune fille dans sa vie. Elle lui apporte tellement. Ça parait presque égoïste dit comme ça mais il ose espérer que lui aussi lui apporte quelque chose. En dehors d'un toit. Quelque chose d'immatériel. "Déjà,si un jour tu ressens cette envie d'être mère, t'as pas besoin de te trouver quelqu'un pour l'être, tu peux en avoir un toute seule. Mais arrête de penser que personne ne pourrait te supporter !" il secoue vivement la tête "Moi je t'aime comme tu es, et c'est totalement impossible que je sois le seul. T'es quelqu'un de magique, ça me semble évident que, même si ta mythomanie bloquait, beaucoup seraient capables de passer par dessus ça, juste parce que t'en vaux la peine, d'accord ?" il se rapproche d'elle et viens se placer face à elle "J'pense aussi que je suis incapable de m'occuper d'un enfant, pour l'instant. Mais je me condamne pas alors.. si jamais t'en as envie ou tu penses que tu pourrais en avoir envie un jour, te condamne pas non plus. On grandit tous. La vie nous forge, et mine de rien t'as déjà vécu pas mal de choses qui pourrait t'aider à inculquer une bonne façon de penser à un enfant. J'suis sûr que tu lui donnerais les meilleurs conseils. Que grâce à toi il pourrait être un enfant épanouis et accepté peu importe qui il est au fond de lui" Elle ne le pousserait sûrement pas à cacher ce dont il a honte. Elle l'empêcherait peut-être même de ressentir cette dite honte de par la façon dont elle l'aurait élevé. Peut-être qu'il n'aurait jamais peur d'avancer ses différences. En tout cas ça serait son objectif lui si il était père. Il se penche un peu en avant pour prendre ses mains pleines de peinture "Tu sais quoi. Si j'avais eu une mère comme toi, je pense que j'aurais été le plus comblé des enfants" suffit de voir à quel point il est déjà un enfant comblé avec elle.



The Show Must Go On
Slow down and look at me. Touch me and lick me all over. Take your time and don't stop until you hear me scream. sheepirl.

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Leaf Duncan
Leaf Duncan
green light

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : loin des ruines de la cité désolée. petite ville nommée Novi, dans une flamboyante maison de briques rouges sur le boulevard sunrise. étrange et parfaite coïncidence pour la demoiselle qui y vit désormais avec son "sunny".
ombres et névroses : petite feuille que les vices n'ont jamais su trouver. la luxure qu'elle n'a jamais effleurée - asexuelle. et touchée, la demoiselle, par ces quelques névroses parfois moquées. phobie des couleurs mélangées, l'instinct qui réclame que tout soit trié. tout comme cette maladie qu'elle n'a jamais su parer, que la conscience n'a jamais su marquer : chaque ponctuation dans ses messages apparaîtra six fois. et si l'euphorie semblait pouvoir se calmer, elle ne fait que s'accentuer depuis que cette petite vie s'est imposée. une fille issue d'un amour trop exacerbé, d'une obsession démentielle qu'elle persiste à alimenter à l'égard du fiancé.
cicatrices : 722
crédits : tetradke (c) astra (c)

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▬ Jeu 17 Sep - 22:20 ▬



pistol of fire


told u not to worry but maybe that's a lie. honey whats your hurry? wont u stay inside? remember not to get to close to stars... their never gonna give u love ours.
(sarasvati)


Les mots sont encore trop faibles pour ce qu'elle aurait voulu lui faire entendre. Et elle lutte, Leaf, elle s'essaie à trouver bien mieux que ceux-là ; parce qu'il est au-delà de cette pathétique perfection. Il est au-delà de tout ce qu'elle pourrait imaginer, soleil incroyable dont elle ne pourrait se passer. Parce qu'il parvient à tout apaiser, encore maintenant, sur ce sujet qu'elle n'avait jamais osé amener – paroles qu'elle n'imaginait pas prononcer un jour. Et le constat fait mal, en vérité. Le constat brise autant qu'il parvient à souder cette raison qu'elle réclamait. Son destin est clair, il n'y aura jamais qu'elle – qu'elle et ses névroses éternelles. « Déjà, si un jour tu ressens cette envie d'être mère, t'as pas besoin de te trouver quelqu'un pour l'être, tu peux en avoir un toute seule. Mais arrête de penser que personne ne pourrait te supporter ! » Elle hausse les épaules en y pensait, elle ne fait plus que cela parce qu'elle sait déjà, Leaf, qu'en tant que mère, elle ne sera pas un exemple – en mère célibataire plus encore, ce serait briser d'avance l'avenir d'un enfant et toutes ses espérances. « Moi je t'aime comme tu es, et c'est totalement impossible que je sois le seul. T'es quelqu'un de magique, ça me semble évident que, même si ta mythomanie bloquait, beaucoup seraient capables de passer par-dessus ça, juste parce que t'en vaux la peine, d'accord ? » Conviction à laquelle il fait appel, une fois encore, persévérance qu'il use jusqu'à son fort. Parce qu'il lui revient, dans la foulée, lui, l'astre tout autant qu'elle coloré. Dieu qu'elle voudrait réellement y croire, se perdre en cette idée si gentiment amenée. Dieu qu'elle voudrait pouvoir respirer sereinement, se dire qu'un jour, tout son misérable univers pourrait avoir à changer. « J'pense aussi que je suis incapable de m'occuper d'un enfant, pour l'instant. Mais je me condamne pas alors... si jamais t'en as envie ou tu penses que tu pourrais en avoir envie un jour, te condamne pas non plus. Les prunelles qu'elle abaisse, la volonté de taire ce manque de croyance qu'elle porte en ce sujet – la volonté de masquer ce manque d'énergie quant à ce dont il essaie de la persuader. On grandit tous. La vie nous forge, et mine de rien t'as déjà vécu pas mal de choses qui pourraient t'aider à inculquer une bonne façon de penser à un enfant. J'suis sûr que tu lui donnerais les meilleurs conseils. Que grâce à toi il pourrait être un enfant épanoui et accepté peu importe qui il est au fond de lui. » Baume qu'il distille jusqu'à l'âme, jusqu'au cœur. Baume qu'il appose contre les songes devenus misère il y a quelques heures. Et les mains qu'il reprend, les mains qu'il récupère comme pour tout accentuer, ce lien dont ils ne pourront jamais se séparer. « Tu sais quoi. Si j'avais eu une mère comme toi, je pense que j'aurais été le plus comblé des enfants. » L'étreinte des mains qu'elle accentue. L'étreinte des phalanges qu'elle ancre en l'instant – volonté de puiser cette force qu'elle y a toujours trouvé. Hazel, gardien de cette lumière qu'elle croyait entachée.

« Parfait, comme mot, c'est pas assez. Merci, Hazelov... Merci pour tout ce que tu fais pour moi. » Sourire qu'elle ne peut réprimer, l'étreinte qu'elle force pour s'en approcher, y demeurer – pouvoir mesure la chance qu'elle possède à pouvoir l'accompagner sur les sentiers de cette vie parfois trop compliquée. « J'te promets de pas me condamner mais c'est tout, faut pas non plus croire au Père Noël, ok ? » Condition qu'elle appose, petite Leaf qui néanmoins offre une parole qu'elle n'aurait jamais imaginé faire – n'ayant souvent pensé qu'au contraire. « Et j'persiste à dire qu'il n'y a que toi pour me supporter... donc, si ça doit arriver, je devrais faire seule tu vois ? Sur la théorie, on sait tous les deux qu'on est pas compatible. » Taquinerie qu'elle distille pour essayer de taire le sérieux de ce nouveau sujet. Nécessité que de tout rendre léger, plus à même de pouvoir s'installer sans qu'elle n'ait à trop ruminer. Pourtant, elle y reste – par réflexe, par curiosité aussi, un peu ; ce serait mentir que de dire qu'elle n'a pas cette volonté de s'y intéresser. « Tu sais quoi ? J'veux savoir les prénoms que t'as déjà envisagé pour ces enfants qui n'sont pas encore là ! Épates moi ! Et j'espère que tu feras quand même une référence à ma noble personne. » Elle l'accentue, cette connerie – larges gestes qu'elle vient entreprendre pour affirmer la possibilité qu'elle soit d'une potentielle noble destinée.                                  









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▬ Ven 18 Sep - 18:02 ▬


✻✻✻
(( pistol of fire ))
w/ ›› Leaf
Leurs doigts colorés s'entremêlent. Se serrent un peu plus. Forts de cet amour pure qu'ils partagent. Il ne la sous estime pas. Il ne l'a jamais fait. Il le sait qu'elle est capable de beaucoup de chose. Et il ne doute pas qu'elle soit capable, le jour où elle en aura envie si ça arrive, de s'occuper d'un enfant. Elle serait une très bonne mère il en est convaincu. « Parfait, comme mot, c'est pas assez. Merci, Hazelov... Merci pour tout ce que tu fais pour moi. » le regard attendris il penche la tête sur le côté. Il n'a rien fait de spécial en réalité. Il n'a fait que lui dire la vérité. En tout cas d'après lui. « J'te promets de pas me condamner mais c'est tout, faut pas non plus croire au Père Noël, ok ? » un rire lui échappe de la gorge et il hoche la tête. Ca lui va, c'est déjà ça. Au moins elle est plus dans l'optique ou tout est fichu d'avance. Après tout jamais rien n'est foutu d'avance. Le monde est en perpétuel mouvement, les gens en perpétuelle évolution. Ce qui veut dire que tout a une chance de changer. Après il y a des certitudes plus ancrées que d'autres. Par exemple il est certain qu'il ne cessera jamais d'aimer ce beau papillon avec qui il vie depuis des mois maintenant. « Et j'persiste à dire qu'il n'y a que toi pour me supporter... donc, si ça doit arriver, je devrais faire seule tu vois ? Sur la théorie, on sait tous les deux qu'on est pas compatible. Cette fois ci son éclat de rire raisonne et il secoue la tête. Même s'il n'est toujours pas d'accord avec sa première phrase, la suivante c'est vrai qu'il le savent l'un comme l'autre. "Baah disons qu'entre nous deux ça serait limite consanguin vu que nous sommes des âmes sœurs !" s'il n'était pas gay il aurait probablement pu tomber amoureux d'elle c'est vrai. Mais ça n'est pas ce genre d'amour qu'il partage avec Leaf. Elle est plutôt comme une sœur oui, elle est sa famille, une amie très précieuse à son cœur. Ce n'est pas le même genre d'amour. Pas celui qui fait souffrir. Pas celui qu'on regrette. « Tu sais quoi ? J'veux savoir les prénoms que t'as déjà envisagé pour ces enfants qui n'sont pas encore là ! Épates moi ! Et j'espère que tu feras quand même une référence à ma noble personne. » il ouvre la bouche alors qu'elle fait de grands gestes. La elle vient de lui pauser une sacrés colle ! En plus avec une référence à elle ça fout la pression ! Il rit légèrement en se grattant la tête "Au risque de te décevoir en réalité j'y ai pas vraiment pensé" il hausse les épaules "J'me suis juste dis que j'aimerais un ou des prénoms pas trop courants" l'originalité c'est quelque chose qu'il aime, sans forcément aller trop loin pour ne pas que ça amène les moqueries des autres enfants "Et mixte aussi" comme ça ses enfants pourront choisir de se préciser fille ou garçon comme bon leur semble. Comme lui aime le faire. "Tu sais quoi ?" son sourire s'étire et il lui tapote doucement les genoux en mode roulements de tambour "Si jamais un jour j'ai un enfant, tu voudrais être sa marraine ?" il n'est pas chrétiens, si ses enfants veulent être baptisés ils le choisiront eux même et le feront quand ils en auront envie. Mais pour ce que ça signifie, il aimerait qu'elle ai ce statut.



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▬ Lun 21 Sep - 0:33 ▬



pistol of fire


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(sarasvati)


Des âmes sœurs, il l'a répété. Elle n'a jamais fait qu'y croire, la jeune femme. Parce qu'ils se sont trouvés, ne se sont jamais lâchés – et il reste, malgré sa vérité, malgré ses névroses, bien-sûr qu'il reste à ses côtés. Elle se risquerait même à ne plus pouvoir en douter. Leaf, trop heureuse de ce lien qu'ils ont pu développer. Celui qu'ils viennent accroître, celui qu'ils viennent approfondir davantage. « Au risque de te décevoir en réalité j'y ai pas vraiment pensé. » Surprise qu'elle feint que de moitié, la volonté de le réprimander pour ne pas l'avoir fait quand, pourtant, de son côté, c'était encore impensable il y a quelques minutes. Les sens exacerbés, l'impression que son esprit pourrait s'embraser sous l'excitation d'une telle éventualité. Elle avait imaginé déjà mille syllabes, mille prénoms qu'il aurait voulu lui donner – tout balancer. Mais rien, rien si ce n'est cet aveux qu'il vient lui concéder. Des explications qu'elle attend, le regard qu'elle essaie à rendre sérieux. « J'me suis juste dis que j'aimerais un ou des prénoms pas trop courants. » Curiosité plus poussée, la volonté d'en savoir davantage sur ce qui peut traverser cet esprit similaire aux siens. Parce qu'ils en portent déjà, des prénoms peu courants. Parce qu'ils l'ont assumé, eux, avec le temps et la volonté – aussi, en d'autres circonstances, c'est sûrement ce pour quoi elle aurait elle-aussi ôté. « Et mixte aussi. » Un haussement d'épaules tandis qu'elle acquiesce, idée qu'elle valide même si son approbation n'était pas attendue. « Tu sais quoi ? » Et l'appréhension désormais, la volonté de tout entendre. Impatience qu'elle ne peut réprimer, qui se trahie dans ses grands yeux clairs qu'elle est venue porter sur cette silhouette qui n'a de cesse de l'encenser. Parce qu'il insiste, il fait durer le suspens. Ce sourire qu'il porte et qui torture l'esprit avide de savoir. Ces tapotements contre ses genoux qui rendent l'instant presque crucial. « Si jamais un jour j'ai un enfant, tu voudrais être sa marraine ? » Et le cœur qui s'emballe, l'âme qui s'embrase sous l'idée, quelques étoiles qui prennent d'assaut ce trop grand regard. Prise de court, la petite Leaf, proposition qu'elle n'avait pas imaginé. Mais l'excitation n'a fait qu’accroître, cet honneur qu'elle y découvre dans cette demande qu'elle prend comme une avance officielle de ce qui n'existe pas encore pourtant.

La voilà qui trépigne, qui s’impatiente, presque capable de lui demander d'aller à l'adoption dans la foulée. Elle les retient, ses mots. Elle retient cet engouement pourtant d'ors et déjà trahi. « Tu oses me demander ? » Question trop enthousiaste. Question qu'elle délaisse dans son envol tout juste prit. « Tu oses... me... demander ? Mais bien-sûr que oui ! » Et elle se lève, la demoiselle. Elle retrouve sa hauteur, incite même Hazel à faire de même. Ses mains qu'elle récupère, calme qu'elle essaie à retrouver quand l'azur de ses prunelles vient sur lui se perdre. Elle tient le silence, rien qu'un instant, un bref moment. « Tu dois me le demander officiellement. » Et elle ose, elle pousse la fantaisie de son petit monde inédit. Elle ose, la petite feuille trop enchantée par cette possibilité, cet avenir qu'il continue à pousser, à instaurer. Parce qu'il ne compte pas la laisser. Il n'est pas les autres, il n'est pas de ce monde trop noir qu'elle essaie à éviter. Il est la lumière, cet autre astre solaire qui avec elle flamboie sur tout ce qu'ils ont à portée. « Tu sais déjà la réponse, c'est nul, mais faut le faire ! Parce que c'est une promesse que tu me fais là, tu le sais ça ? J'vais pas oublier. J'risque pas d'oublier, j'suis un enfer sur ces choses-là, Hazelov. » Honnêteté qu'elle se doit de lui donner. Qu'il sache, celui-là, ce dans quoi il vient à se risquer. Qu'il sache, désormais, qu'elle ne le laissera plus jamais lui échapper.                                   









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ombres et névroses : Né dans un corps d'homme Haz a toujours eu du mal à se définir uniquement comme ça. Genderfluid il a des jours où ils se sent plus femme et d'autres homme. Sa garde robe contient beaucoup de vêtements dit "féminins" • Il donne rarement son vrai prénom quand il se présente, il en donne toujours un différent et il s'y perd lui même. Allez savoir pourquoi il fait ça.
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▬ Lun 21 Sep - 16:12 ▬


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(( pistol of fire ))
w/ ›› Leaf
C'est vrai il a déjà pensé plusieurs fois à ce qu'il voudrait faire avec un ou des enfants, ce qu'il voudrait partager avec eux mais jamais trop aux prénoms. Bien sûr parfois certains lui sont passés par la tête mais sans qu'il se fixe forcément à dire qu'il en voudrait un en particulier. Et puis s'il adopte un jour il aimerait ne pas être seul et donc faire ce choix à deux. Il pourrait probablement s'en sortir en tant que père célibataire mais il a trop envie de vivre cette vie de couple. Un peu son rêve de l'idéal. S'il ne court pas après l'amour aujourd'hui il s'est toujours imaginé sa vie future avec quelqu'un. Mais le temps passe et malgré ça il ne se prête pas. Est ce que finalement un jour il sera capable de réellement se poser, d'avoir une vie un peu plus stable ? Ca n'arrivera probablement que quand il aura rencontré la bonne personne. Parce qu'il y croit à ça. Il y croit à cette possibilité d'aimer si fort quelqu'un qu'on peut changer totalement son mode de vie pour l'y inclure. De toute façon, quand il aime il se sait capable d'accepter et de donner beaucoup. Et il aime beaucoup Haz. De l'amour il en a à donner, il n'est pas radin. La petite blonde multicolore en face de lui fait partie de ces personnes pour qui il pourrait décrocher la lune. Et il espère qu'elle le sait ça, à quel point elle est importante pour lui. D'ailleurs l'idée qui lui vient à l'esprit n'en est qu'une preuve de plus. Et son sourire est déjà grand quand il la lumière dans ses yeux. Il sait. Il le voit à quel point ça lui fait plaisir et son cœur ne s'en réchauffe que plus encore. « Tu oses me demander ? » il n'allait tout de même pas lui imposer même en se doutant de la réponse ! « Tu oses... me... demander ? Mais bien-sûr que oui ! » il rit, joie qu'il ne peut échapper et il se lève également, suivant son enthousiasme contagieux Elle lui reprend les mains et il le sent à quel point elle lute pour ne pas sautiller partout. Et ce petit silence l'intrigue mais elle reprend bien vite la parole « Tu dois me le demander officiellement. » elle ne cessera jamais de le surprendre ! Mais il adore ça, elle est stimulante ! « Tu sais déjà la réponse, c'est nul, mais faut le faire ! Parce que c'est une promesse que tu me fais là, tu le sais ça ? J'vais pas oublier. J'risque pas d'oublier, j'suis un enfer sur ces choses-là, Hazelov. » le sourire tendre il lâche ses mains uniquement pour les poses sur ses joues et venir lui faire un bisou sur le front "Si ça veut dire que tu me promets que tu ne me lâches plus alors c'est un argument supplémentaire" il espère bien qu'elle ne va pas oublier ! Parce qu'à moi qu'il perde à nouveau la mémoire, lui, il n'oubliera pas, ça il en est certain. Gravé dans sa mémoire comme elle l'est dans son cœur. "Okay alors att" il lève l'index et tourne sur lui même. En voyant les pots de peintures l'idée lui vient. Il se penche et prend un pinceau fin qu'il trempe dans la peinture jaune. Là il se retourne face à elle et, comme pour toute bonne demande officielle, il pose un genoux au sol. Le sourire jusqu'aux oreille il prend sa main et, à l'aide du pinceau, dessine une ligne jaune qui fait le tour de son petit doigt "Le riquiqui c'est le doigt de l'amitié, c'est celui avec lequel on scelle les promesses" il repose le pinceau, agrippe son riquiqui avec le sien et relève les yeux sur elle "Leaf, mon papillon, mon amie depuis des vies, mon âme sœur, tu veux bien être la marraine de mon potentiel futur enfant ?" il est assez satisfait de sa demande, espère qu'elle le sera aussi. Mine de rien, ça compte pour lui.



The Show Must Go On
Slow down and look at me. Touch me and lick me all over. Take your time and don't stop until you hear me scream. sheepirl.

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Leaf Duncan
Leaf Duncan
green light

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : loin des ruines de la cité désolée. petite ville nommée Novi, dans une flamboyante maison de briques rouges sur le boulevard sunrise. étrange et parfaite coïncidence pour la demoiselle qui y vit désormais avec son "sunny".
ombres et névroses : petite feuille que les vices n'ont jamais su trouver. la luxure qu'elle n'a jamais effleurée - asexuelle. et touchée, la demoiselle, par ces quelques névroses parfois moquées. phobie des couleurs mélangées, l'instinct qui réclame que tout soit trié. tout comme cette maladie qu'elle n'a jamais su parer, que la conscience n'a jamais su marquer : chaque ponctuation dans ses messages apparaîtra six fois. et si l'euphorie semblait pouvoir se calmer, elle ne fait que s'accentuer depuis que cette petite vie s'est imposée. une fille issue d'un amour trop exacerbé, d'une obsession démentielle qu'elle persiste à alimenter à l'égard du fiancé.
cicatrices : 722
crédits : tetradke (c) astra (c)

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▬ Mer 23 Sep - 15:45 ▬



pistol of fire


told u not to worry but maybe that's a lie. honey whats your hurry? wont u stay inside? remember not to get to close to stars... their never gonna give u love ours.
(sarasvati)


Merveilleux ancrage que celui-ci. Merveille qu'il est devenu à force de l'encenser, de lui permettre de pleinement s'accepter quand sa propre famille essayait à l'abaisser. Lui, le gardien de cette douce folie qu'ils n'ont fini que par partager. Elle s'y perd, Leaf, délaisse les orages qui s'étaient installés, ces ouragans momentanés qui, quelques fois, parviennent à se hisser jusqu'au devant de son âme. Pour lui, cet homme-là, cet ami trop parfait, elle ne peut que scintiller. Davantage en cet instant, davantage en sachant tout ce qu'il vient lui offrir, la possibilité d'une destinée liée. Parce qu'elle l'a toujours été, au final, c'était écrit cette rencontre improvisée – ils étaient fait pour se retrouver, elle n'en démordra pas, trop persuadée. Elle le demeurera jusqu'à ce qu'il ne vienne à s'en lasser, bien qu'elle imagine tout de même que cette issue ne soit pas celle qu'elle puisse un jour connaître. Non, il sera là, Hazel. Il sera toujours là, quoi qu'il arrive, qu'importe les fardeaux qu'elle portera à bout de bras. Idée trop bien ancrée, insufflée en son âme quand les mains qu'elle tenait s'accrochent à ses joues, quand un énième baiser est déposé sur son front. Et elle, elle qui en glousse à imaginer ces prochains instants, cette idée qu'elle a lancé et qu'il semble vouloir honorer. « Si ça veut dire que tu me promets que tu ne me lâches plus alors c'est un argument supplémentaire. » Elle acquiesce, la jeune femme, elle acquiesce puisque trop impatiente de ce qu'ils ont à sceller. « Okay alors attends. » Et il s'anime, il s'éloigne de peu. Elle guette, la petite feuille, elle se perd dans toute cette excitation qu'ils laissent s'imposer, prendre les rênes de ce petit monde qu'ils se sont appropriés. Peinture jaune dans laquelle il vient y perdre un pinceau avant de lui revenir, avant de l'oser, là, ce genou à même le sol comme dans les plus grandes scènes cinématographiques qu'elle peine parfois à regarder sans rêvasser. Main qu'il s'accapare pour y délaisser un trait jaune sur son petit doigts et elle, elle qui s'y perdrait presque dans cet imaginaire qu'ils ont laissé les emporter. Parce qu'elle ne peut que l'imager, cet enfant qu'il aura très probablement un jour et dont elle s'occupera avec tout l'amour qu'elle peut avoir à donner – pour lui, pour honorer à jamais cette trop grande amitié. « Le riquiqui c'est le doigt de l'amitié, c'est celui avec lequel on scelle les promesses. » Celui-là même qu'il vient quérir du sien quand le pinceau est déposé, quand ses prunelles lui reviennent, aussi pétillantes que les siennes. « Leaf, mon papillon, mon amie depuis des vies, mon âme sœur, tu veux bien être la marraine de mon potentiel futur enfant ? » Qu'ils ont l'air ridicules, couverts de peinture, en ce tableau qu'elle estime pourtant parfait. Elle qui s'anime enfin, qui accepte même dans la foulée – en gueulant presque, d'ailleurs, pour ne rien changer.

Étreinte qu'elle vient imposer aussitôt, les habitudes tenaces qui n'ont de cesse à se rappeler. Elle y demeure même, entre ses bras-là, rassurants qu'ils se sont faits avec le temps, au fil des mois qui ont défilé. Lui, cette autre lumière contre laquelle elle ne peut que trop briller. « J'lui apprendrais à peindre et y'en aura partout, à tel point que t'en auras marre. » Mensonge, elle le sait. Mensonge qu'elle devine parce qu'il ne pourra qu'en rire, que tout apprécier. Parce qu'il est comme elle, finalement, fait de clarté et d'éternité à l'égard de cette vie qu'ils ont à pleinement consumer. Et, enfin, elle s'en détache, les mains qu'elle ancre sur les épaules de ce compère. Ses grands yeux trop clairs qu'elle délaisse sur les siens, sérieux qu'elle essaie à retrouver parce qu'elle pense chacun des mots qui reviennent flirter avec son palais. « On est lié maintenant, dommage pour toi mais jamais, JAMAIS, tu seras libre. » Et elle sautille finalement, implosion qui s'impose comme elle l'a tant retenue. « BON ! Maintenant, on laisse sécher et faut s'laver avant d'en foutre absolument partout. Même si t'étais partant pour dire à ton proprio que ça pourrait valoir cher, faut pas que ce soit non plus trop sinon c'est pas beau. » Constat qu'elle fait en voyant déjà tout ce qu'ils ont laissé tomber, tout ce qui arpente d'ors et déjà le plancher.                                    









like an hostage
❝ will you be there when the day's done? will you be there, under the same sun? ❞ i wanna be alone. alone with you, does that make sense? i wanna steal your soul and hide you in my treasure chest. i don't know what feels true but this feels right so stay a sec. yeah, you feel right so stay a sec. and let me crawl inside your veins. i'll build a wall, give you a ball and chain. it's not like me to be so mean, you're all i wanted. just let me hold you like a hostage. »
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Hazel Monroe
Hazel Monroe
Martyr

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : appartement ; une pièce, 25m², modeste à Eight Mile Road
ombres et névroses : Né dans un corps d'homme Haz a toujours eu du mal à se définir uniquement comme ça. Genderfluid il a des jours où ils se sent plus femme et d'autres homme. Sa garde robe contient beaucoup de vêtements dit "féminins" • Il donne rarement son vrai prénom quand il se présente, il en donne toujours un différent et il s'y perd lui même. Allez savoir pourquoi il fait ça.
cicatrices : 919
crédits : Tag

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▬ Mer 23 Sep - 17:59 ▬


✻✻✻
(( pistol of fire ))
w/ ›› Leaf
Il adore la particularité de leur relation Haz. Ca n'est vraiment pas des mots en l'air quand il parle d'âme sœur. Il a réellement cette sensation, que leurs âmes sont liées d'une façon ou d'une autre. S'il croit aux vies antérieure il ne peut avoir aucune certitude que ça existe vraiment mais si c'est le cas ils se connaissaient forcément déjà. Attirés comme deux aimants pour se retrouver dans cette vie. Ils ont accroché si vite et d'une manière unique, vraiment spécifique à eux. Pas mal de personnes peuvent raconter qu'ils ont appris à se connaitre autour d'un verre assis à une table. Mais qui peut se vanter de l'avoir fait assis sur une table ? Ensemble ils forment un duo hors des normes et c'est probablement une des choses qu'il kiff le plus. Elle est une part entière de sa vie et il ne veut pas que ça change. Et plus il y pense plus il sait qu'il a raison de la vouloir en marraine si un jour il a un enfant. Parce qu'elle est juste la personne parfaite pour ce rôle. Il a confiance en elle. En plus aujourd'hui elle lui a tout dis, tout révélé. Si elle l'a fait c'est qu'elle lui fait confiance aussi non ? En tout cas c'est ce qu'il pense. Il n'en doute pas. Ce choix, il ne le regrettera pas. Alors sa demande officielle il l'a fait genoux à terre. Il veut marquer le coup, et puisqu'elle l'a réclamé autant y mettre les formes ! Il attend ses réponses, des étoiles dans les yeux, et elle ne tarde pas à venir. Enthousiasme qui la gagne et elle le cris haut et fort, emplissant de joie le cœur du bouclé. Il referme ses bras sur elle quand elle vient l'étreindre et cale sa tête contre la sienne, la serrant fort. « J'lui apprendrais à peindre et y'en aura partout, à tel point que t'en auras marre. » un rire amusé lui secoue le corps "L'avantage c'est que j'aurais pas besoin d'engager un décorateur !" déco by Leaf et son enfant. Et puis Lou aussi, vu qu'elle adore dessiner sur les murs. Une putain de bonne équipe ! Les artistes ! Ça le fait rêver rien qu'à se l'imaginer. Elle se détache pour poser ses mains sur ses épaules, comme une annonce solennelle « On est lié maintenant, dommage pour toi mais jamais, JAMAIS, tu seras libre. » son sourire s'étire et il pose sa main sur son cœur, touché "C'est la plus belle déclaration qu'on m'ai jamais fait" une promesse. Une promesse qu'ils se sont tout les deux fait aujourd'hui. « BON ! Maintenant, on laisse sécher et faut s'laver avant d'en foutre absolument partout. Même si t'étais partant pour dire à ton proprio que ça pourrait valoir cher, faut pas que ce soit non plus trop sinon c'est pas beau. » il lève la main contre son front après avoir hoché la tête "Bien chef ! Compris chef !" il prend les devant pour se rendre dans la salle de bain "Allez en avant, joyeuse troupe !" une bonne douche et une bonne machine à lavée !



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