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 The songs on the radio are ok. But my taste in music is your face. Phoenix & Eliott

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Phoenix Ledger
Phoenix Ledger
popular monster

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : midtown. un appartement bordélique qu'il partage avec akim. un terrain neutre et sécuritaire pour ces deux frères de différentes mères qui n'aspirent qu'à se relever.
ombres et névroses : tatoué jusqu'au bout des doigts, la musculature dessinée grâce à son année de prison et entretenue, gardée, cicatrice à la joue droite qu'il doit à celui que euros a choisi d'aimer. médiocre gestion de la colère qu'il peine à dompter. c'est un hyperactif que rien n'a jamais su apaiser.
cicatrices : 726
crédits : chat.noir (c) astra (a)

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▬ Ven 3 Juin - 1:50 ▬



The songs on the radio are ok.
But my taste in music is your face.
CODAGE PAR TETRADKE


Run, my love, I'm back from the dead. Let it go, it's all in your head. Oh, I could not believe that you will never let it be And nobody knows all the trouble you've seen. I get it, sweetheart, we're always "low, low, low", You're always pushing me away, but then you're pulling me close. So let's make a toast to all the years we've wasted, Hold your glasses high for all the tears we've tasted. I'm different now, you're distant how Will we ever work this out ?




Appréhension qui impose son règne – tonnerre s'immisce jusqu'à l'âme pétrifiée. Là, il a mis un terme à tout ce qui s'était monté, à cette fausse petite vie qu'il a pris plaisir à alimenter. Mais l'instinct, cette nécessité qui s'était distillée. L'honnêteté qu'il a choisit de faire gouverner, élections brèves qu'il ne parvient même pas à regretter. Non, il ne fait plus que contempler, Phoenix. Intrigué, curieux ; il y a ce rire qui s'est mis à résonner, ce rire qui empli leur petit espace pour faire la menace des ténèbres qui s'étaient avancées. Ainsi, les sourcils se sont froncés, pause de courte durée. Il ne contemple plus, il toise, essayant d'anticiper les répercussions de cette vérité déversée. Un sursaut, pour finir. Rien qu'une maigre réaction précipitée quand la main s'attarde sur l'épaule, quand la voix en revient à s'élever. « Phoenix is a way cooler name. Why would you name yourself Puff when you already have a fucking legendary bird name ? You could have used Fawkes... You like Harry Potter ? We talked about badgers earlier. » Il s'était attendu à tout, Ledger. Il avait déjà ces quelques images qui s'étaient matérialisées, cette espèce de légitime réprimande qu'il s'apprêtait à essuyer. Mais rien, rien que ces remarques qui surprennent l'endocarde dans cette agitation incontrôlée. Le sourire est là qu'il ne parvient pas à contrôler, il s'ancre aux lèvres dans la foulée – une courbe parfaite qu'il n'a pas forcé. Et il l'imite, par mimétisme. Il imite ce levé de coude, liqueur qui s'étiole, qui flirte avec la trachée dans l'espoir de tout embrumé. Rassuré, apaisé. Puis le rire, le rire que le sien vient joindre dans la foulée. « You’re right, let’s not tell Kit. I want him to believe I think you’re a rockstar, and we’re having a great night together. Which we’re having. » Il acquiesce, sans y réfléchir autant qu'il l'aurait dû. Réponse sûre qu'il donne, impression commune qu'il se doit de trahir – il l'apprécie, cette soirée, plus qu'il n'aurait pu le soupçonner. Il l'apprécie pour avoir souhaité que ses révélations n'aient à rien entacher. « I’ve got a mythical name myself… you know… the green dragon from the old Disney film ? What a cool pair we’re making. » Mémoire qui tente de travailler, qui essaie de faire le lien avec le peu d'animés qu'il a pu regarder. Rien de plus, rien que ça avant que la main n'ait à se lever, avant que d'autres verres ne soient réclamés. Il veut en profiter, il veut célébrer cette présence qui reste au lieu de fuir après le tour qui lui fut joué. Les songes qui se portent sur cette seule idée, l'attention pourtant rapidement rattrapée. Elles ont dévié, les prunelles, elles s'attardent sur ces quelques lettres désormais exposées. Mine sérieuse qu'il vient feindre, attentif à ce qui est confié tandis que les lignes sont arpentées des iris d'ores et déjà en partie dilatées. « Adam’s my partner. We have a son together, if I was doing that I would be the biggest asshole. Want to add something ? » Là, cette surprise qui s'installe – quoi que de moitié. L'image de Kit lui revient, les confidences qu'il avait pu lui faire – les conseils qui avaient été donnés. Non, nulle surprise finalement – comme s'il commençait à s'y faire, comme si l'esprit pouvait alors réellement évoluer. Pourtant. « A son ? »

Comme un avenir qu'il n'a jamais réellement pu envisager.
Pas même malgré ce rôle qui lui a été donné.
Lui déjà père de cette merveille qu'il persiste à veiller.
À en oublier un instant ce message qui attend patiemment d'être envoyé.

« I guess that... I... Well. Là, toute cette hésitation sur les traits, cette espèce de perdition qui vient de s'insuffler. Il secoue la tête, celui-là, rappelé à l'ordre par le barmaid qui réclame les billets qui manquent sur ce qu'il avait commencé à préparer. Monnaie qu'il dépose, cette présence à qui il s'en remet. Yeah, in a way, it's maybe too much. You know what ? Let me try. » Proposition plus qu'ordre donné. La main qu'il a tendu, téléphone qu'il s'approprie brièvement pour effacer, recommencer. Il cherche, il fouille l'esprit, sollicite avec virulence cette imagination pour trouver la parfaite approche à envoyer. Et les phalanges s'animent, s'activent – les habitudes qui parlent, cette obsession pour ces saloperies qui se trahie par l'aisance avec laquelle il a enchaîné. OMG Kit ! U were right ! That guy, Puff, I just met him and I've a picture with him ! He gave me tickets for the two shows at Windsor ! It's backstage man ! Là, il s'arrête – cherchant encore, mais prudent, le leurre qu'il veut voir prendre avant d'être dissipé. Un haussement d'épaules, téléphone rendu dans la foulée, les phalanges qui s'en remettent à ce qu'elles savent le mieux apprécier. Ces vices qu'il était censé proscrire de cette nouvelle vie empoignée. « There, it could work. What do you think ? » Et ils sont presque trop sérieux dans ce qu'ils en sont à orchestrer – piège qui pourrait ne pas en être un pour celui à qui il est destiné. Parce qu'il avait cet esprit vif, cet autre. Parce qu'il semblait pouvoir percevoir au-delà de ce que les yeux étaient à même d'observer. Le croit-il, Phoenix, dans cette maigre ivresse qui s'est installée – le souvenir de cette étrange nuit qui se joue encore en écho dans l'encéphale embrumé. Les confidences qu'il essaie de renier ; non, ces instants sont à chasser, au moins ce début de soirée puisque la suite lui avait réellement permis de respirer. Il avait su lire au-delà de ce qu'il voulait bien lui concéder, c'est ce qui l'avait effrayé, c'est aussi ce qui avait permis qu'il puisse s'apaiser. « You can ask him for the merch, maybe. That shit makes me curious as fuck. I want to know if others t-shirt are made with my stupid face. » Non pas qu'il s'en plaindrait, l'ego en serait même flatté en vérité. Et le voilà qui irait presque prier que ce soit le cas ; quoi qu'à peine, loin d'imaginer sa propre réaction si une affirmation venait à être donnée. « Let's just imagine that tour, man. Hundreds of people with that ; les traits désignés, les siens et ceux de Eliott dans la foulée ; on their t-shirt, screaming our name. Fuck, I'm gonna dream about it for sure. »                     





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❝ insane ❞
I'm reminiscin' back to both of us laughin'. Playin' old records, thinkin' every one of 'em's classic. Windows down, we on the street up in Michigan rappin'. We talked about it, but never really knew it could happen. My confidence about as low as the gas is, we didn't have the money for it, so we'd turn the key backwards and sit in parking lots for hours till the battery crashes. I think that we related 'cause both of us were lookin' for answers. I know you've been callin', sorry I never call back. I know I've been distant, you know I never meant that. »
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Eliott Lloyd
Eliott Lloyd
sunflower, vol 6

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : Une villa à Midtown avec Sosthène - Adam, bien sûr, et leur fils Noah
ombres et névroses : Un accent du nord de l'Angleterre qu'il garde précieusement et n'a jamais voulu effacer en arrivant aux US. Des cheveux qu'il laisse pousser depuis son arrivée a Detroit, retour a ses années étudiantes.Une quarantaine de tatouages sur les bras et le torse, ,tous liés a des histoires, a son histoire, une cictrice sur le flanc apres une greffe de rein.
cicatrices : 490
crédits : setsu - tumblr

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▬ Jeu 30 Juin - 17:43 ▬
the songs on the radio are ok.
But my taste in music is your face.

Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



Il part loin quand il s’y met, Eliott, il peut même aller très loin dans ses réflexions à la con, les noms, les dragons, Harry Potter, les blaireaux, l’alcool, Phoenix. Kit, ce bar, les chansons, et ce futur rockstar qu’ils s’inventent tous les deux dans la même lueur de connerie alors qu’Eliott balance des faits sur sa vie dans le plus grand naturel. La mention de Noah a l’air de faire réagir Phoenix. Surprise, probablement, vu que l’anglais a mentionné avoir un partenaire masculin plus tôt dans la conversation. Deux papas, c’est pas le truc le plus courant non plus, même si ça le devient. Il espère en tout cas que Noah n’en souffre pas quand il sera à l’école. Au pire, ils tomberaient des escaliers par accident. “Ah désolé il s’est mangé la cheminée tout seul” . Oui. voilà, il est tombé. Enfant ou adulte, peu importe, Eliott peut être tenace quand il s’agit de défendre son gamin. yes he’s almost 2. He’s running everywhere, especially after Eugene, our ferret. I’ll show you sometimes. Bien sûr qu’il a une vidéo de Noah qui court après un Eugène posé sur l’aspirateur robot dans l’appartement. Des scènes de vie quotidienne chez les Parker-Lloyd.

Le message écrit, il laisse faire Phoenix, le modifie… qui est… ok, c’est vraiment mieux. Il lit le message en riant un peu, KIt ne va jamais le croire, surtout que l’anglais ne fait pas souvent de fautes dans ses messages. Mettons ça sur le dos de l’alcool. perfect. Let’s do this. Message envoyé à Kit et attention redonnée à Phoenix. I’ll send you the pictures… you know, he probably put a lot of time and effort. All his clothes are from big brands and designers, I won’t even be surprised if he printed your face on some fucking prada, man! Il lui sourit et tapotte son dos, tactile maintenant le Eliott avec son nouvel ami. Il tangue peut-être aussi à cause de l’alcool, de tout le reste de la soirée.
Il imagine, maintenant, appuyé contre sa table, la tournée…les fans… la musique… et tout… I imagine… I never wanted to be famous though… I mean, I know some people who are quite famous in their own way and it is not… easy? I’d like to be respected… though… and…I still want to go on tour with you one day now. Une main passée dans les cheveux un sourire au coin des lèvres. Hey ! Phoenix! Give me your number. I work for a newspaper and I’ve got colleagues going to gigs and stuff… let me get some tickets, for anything coming to Detroit. Would you like to be my new gig buddy? I managed to get some backstage once, I’m sure I can do it again. Cerveau au ralenti qui reprenait son rythme normal. Voir même trop rapide. L’amitié qui commence et les plans qui n’ont aucun sens à cet endroit et à ce moment-là.



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My hands, your hands, tied up like two ships. Drifting, weightless waves try to break it. I'd do anything to save it. Why is it so hard to say it? So many words we're not saying. Don't wanna wait 'til it's gone.
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Phoenix Ledger
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ombres et névroses : tatoué jusqu'au bout des doigts, la musculature dessinée grâce à son année de prison et entretenue, gardée, cicatrice à la joue droite qu'il doit à celui que euros a choisi d'aimer. médiocre gestion de la colère qu'il peine à dompter. c'est un hyperactif que rien n'a jamais su apaiser.
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▬ Ven 15 Juil - 2:33 ▬



The songs on the radio are ok.
But my taste in music is your face.
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Il l'a laissé rêver, il l'a laissé tout imaginer. Jusqu'à ces marques connues qui auraient eu à faire de leur mieux pour imprimer ses propres traits sur ces tissus hors de prix, hors de sa propre portée. Le sourire qui n'a pas faibli pour autant, les lèvres qui se sont un peu plus courbées. Amusé qu'il en reste, Phoenix, à supposer tous ces efforts évoqués de la part de cet ami commun qu'ils sont à essayer de malmener. Qu'il lui envoie toutes les photos possibles, il ne fera qu'un peu plus en rire, qu'un peu plus s'en émerveiller. Lui qui n'a rien, lui qui n'aura jamais rien quand bien même il aime à le penser. Ça lui suffit, au final, vie rangée – ou presque – qu'il craint parfois de voir changer. La volonté d'avancer, la peur d'échouer. Le tout qui se mélange et qui force l'âme à taire les images qu'il s'était mis à fantasmer. Cette foule qu'il a évoqué, celle qui aurait pu avoir à les acclamer si le rôle endossé plus tôt n'avait pas été mensonger. Il écoute pourtant, l'attention toute donnée aux paroles qui lui sont confiées. Ces volontés lointaines qu'ils n'ont pas réellement possédé, qui pourtant en viennent à flirter avec les âmes pour les envoûter. Non, il n'y a aucune facilité dans cette popularité qui aurait à être supportée, tourments qui saisiraient l'occasion pour davantage avancer – mais les joies qui en découleraient pourraient tellement valoir ce lot de maux, qui sait. « I still want to go on tour with you one day now. » Et le rire, cette fois. Éclat sincère qui brave la frontière des lèvres. Paume qui se perd brièvement sur l'épaule de celui qui se tient à ses côtés, une réponse silencieuse quant aux faits qu'il pourrait accepter. Rien que pour l'expérience, rien que pour savoir ce que ça fait – loin des bars qu'ils peuvent avoir à animer, loin d'une foule démissionnaire puisque les noms ne sont qu'étrangers dans ces salles à peine bondées. Ailleurs, l'homme. Ailleurs à tout supposer quand l'attention est rappelée, quand le numéro est demandé. Proposition qui finit par tomber, qui parvient à raviver l'être tout entier. Il s'est redressé, Phoenix, comme porté d'une nouvelle vitalité sous ce qui est désigné. « 'course I want to ! » Sans se faire prier, d'ores et déjà trop satisfait d'une telle attention malgré les mensonges de ce début de soirée. Ah, l'humanité et ses surprises, ces bontés cachées qu'elle dissémine sur son passage comme pour pouvoir tout apaiser – accalmie superbe qui s'appose sur les songes trop longtemps molestés.

Les mains sont déjà dans les poches à se défaire de tout ce qui encombre, de tout ce qui était revenu y traîner, surplombant en deux secondes le téléphone qu'il s'est mis à chercher. Il lutte, jusqu'à laisser la pulpe des doigts s'y apposer, l'appareil fièrement tendu – parce qu'il n'a pas réellement tout écouter. Une offrande pour que son numéro soit donné, l'autre paume qui s'élève pour réclamer une bouteille à défaut des pauvres verres qu'ils auraient à s'enfiler. « Let's find a place, you have to talk to me about all of what you can have 'cause I want to be part of all of that. » Une invitation, finalement. Une proposition à offrir plus de profondeur à cette nuit à peine commencée. Échappatoire qu'il s'approprie pour fuir l'ombre néfaste de cette solitude pleine de cruauté, pleine de tourments à distribuer. Et parce qu'il se surprend à l'apprécier, celui-là, même malgré la méfiance qui réclamerait de pouvoir s'installer. Nulle place pour cette dernière puisqu'il croit pouvoir l'affirmer, Phoenix, celui-là n'est teinté d'aucun danger. Il y a cette jovialité, cette bonté contagieuse à laquelle il ne peut que succomber. Lueur dans l'opacité qu'il craignait de voir s'éterniser. Là, la bouteille qu'il a empoigné, ces silhouettes qui vont et viennent qu'il brave pour se frayer un chemin jusqu'à l'une des tables désertées. « Ok, who did you see then ? » Liste qu'il s'imagine déjà, quoi que les goûts semblent pourtant différer des siens. En partie, seulement. L'iceberg encore bien immergé en vérité, et lui est trop versatile pour s'arrêter que sur un genre de musique en particulier. « Just, here the thing. While ago, when I imagined that I might have a second child, a son, I saw myself calling him Marshall. You see ? So if you tell me you've ever been able to approach Eminem, man, I'm gonna be madly jealous. » À demi-sincère, à demi-amusé. Mais les étincelles des prunelles se sont remises à scintiller, parce que l'avouer reviendrait à laisser supposer qu'il pourrait recommencer. Ne venait-il pas de lui proposer de l'accompagner, peu importe qui aurait à se produire dans les ruines de cette effroyable ville cassée ? Si, les espoirs se concentrent finalement là-dessus désormais.                      





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Eliott Lloyd
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▬ Mer 7 Sep - 20:10 ▬
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Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



Fait à donc inscrire quelque part dans le grand livre de la vie d’Eliott Lloyd, dans sa bucket list, celle des trucs à faire avant de mourir : s’il devient un jour une rockstar, il partira en tournée avec Phoenix. Ça prend une ligne, ça serait compliqué à expliquer à pas mal de gens comment ils en sont arrivés là mais c’est un fait. Et puis même si aucun des deux ne perce dans la musique un jour ils trouveraient un autre moyen de le faire. Peut-être suivre un groupe? Faire la tournée de concert d’un groupe en particulier ou juste de plusieurs? Un mois à aller de ville en ville pour aller voir des artistes différents. Il se voit déjà enchaîner Twenty one Pilots et Lana Del Rey dans le plus grand des calmes, étant un admirateur des deux, et de tous les styles en général. À voir si Phoenix le suivrait dans ses délires. Soyons honnêtes, si ça arrive un jour ya peu de chance qu’ils soient dans leurs états normaux. Ils parlent donc de trouver un endroit calme à tous les deux, pour continuer la conversation. Doucement Eliott, la conversation. C’est pas le séducteur que tu dois sortir de son placard ce soir. Juste, le type sympa, ouvert, le futur ami qui sait. I’ll follow you till the end of the night Ok par contre il pouvait pas s’empêcher de dire des conneries quand l’occasion lui était présentée sur un plateau en argent comme ça. Et une tape sur son épaule qu’il lui donne avant de se lever et de le suivre, bouteilles à la main, jusqu’à une table plus éloignée de la musique, et du reste des gens.

Assis en face de Phoenix, il boit une gorgée de son verre tout en réfléchissant. well, in Detroit, not much yet. I’ve seen Post Malone a few months ago, it was great. In New York I managed to get an internship at the Madison square garden when I was at uni, so obviously I’ve seen the Knicks play many times. Music I’d say .. the Killers, Green Day ..Panic at the Disco Et une confession de Phoenix pendant qu’Eliott fait une liste mentale. Il a vu bien plus de chanteurs ou groupes quasi inconnus mais de temps en temps un grand nom passe, des tickets sont filés, le temps d’écrire un article, de faire valoir sa carte de presse. Confession sur un deuxième enfant… il sourit beaucoup trop Eliott. so you got a first one then? What’s his or her name? You won’t be mad at me cause I’ve never seen Enimem , would quite like to though. Marshall’s a cool name. I already know how I want to call my future daughter if I get one. Il se dit bien que Phoenix allait lui demander comment alors du coup, il se lance en explication qui n’a pas grand chose à voir avec la musique mais quand même. have you read the book “His Dark Materials”? I grew up with it, and the main character’s name Lyra. I always thought it would be great for my future daughter. C’est qu’ils en arrivent aux conversations profondes tous les deux… tout ça pour une histoire de tshirt imprimés.




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▬ Mar 27 Sep - 1:38 ▬



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Derrière la neutralité, au-delà de cette prestance qu'il essaie de tenir, il y a cette impression sourde que le cœur se serre, prêt à imploser. Les syllabes de ce prénom résonne, destinée que les mains craignent finalement de ne jamais pouvoir empoigner. Oh, il y avait cru, Phoenix, en cette possibilité. Il s'était accroché à la perfection de quelques instants avant que l'instinct ne force les voies à s'éloigner, la stupidité à régner. Une habitude, comme une boucle infinie qui n'a de cesse de se répéter. Et le palpitant s'active encore, acharné, mauvais. Les regrets qui pèsent, qui se rappellent à l'âme sans qu'il ne puisse réellement y parer. Il a tout fracassé, miettes éparpillées d'une idylle qui aurait pu tant prospérer. Parce qu'elle était clarté, la demoiselle vers qui les songes en viennent à s'égarer. Elle était et reste ancre, scintillements infinis dans les ténèbres qui continuent de l'envelopper. Baiser mortel que les tréfonds lui ont asséné et qu'il ne peut désormais que traîner, que porter – même malgré les épaules exténuées, depuis bien longtemps voûtées. Si légère, cette inspiration qu'il termine de prendre, les prunelles qui s'éloignent, qui s'égarent – les images qui s'immiscent, qui empoisonnent jusqu'à l'âme désorientée. Il s'est perdu, Phoenix, avant que tout ne lui revienne – des rires aux notes qui s'élèvent, qui grondent entre les murs qu'ils sont venus déranger. Il tente alors de s'en défaire, chassant au mieux les tourments qui s'apprêtaient à frapper. Réalité à laquelle il s'en remet, aux questions qui s'immiscent et qui rappellent ce sourire qui manquait de s'étioler. Un premier enfant supposé, petite merveille pour qui la fierté n'a de cesse de gonfler. « Willow. » Qu'il répond dans la foulée, l'attention de suite récupérée par ce qu'il peut avoir à ajouter. Là, les rêves qu'il n'a pas devancé ; ce souhait de pouvoir approcher rien que cet artiste pour pouvoir au moins le remercier des maigres ambitions qu'il lui donnait. Rassuré, l'inquiétude qui s'envole qu'il surjoue sans hésiter. La courbe sur les lippes réinstallée, bien ancrée. Parce qu'ils s'égarent, les deux hommes que rien ne pouvait rapprocher. Ils s'égarent en ces notes plus sérieuses, moins insouciantes, presque responsables si on oublie ce qui accompagne le sang dans les veines malmenées. Avenir fantasmé qu'ils en viennent à nommer, ces quelques fantasmes confiés qui ne font qu'un peu plus tout égayer. Curieux, Phoenix. Curieux qui suit avec volonté tout ce qui est dévoilé – question nouvelle qui s'immisce et à laquelle les traits s'animent à l'horizontal, sans honte, sans hésiter. Loin des livres, loin de ce temps qu'il ne possède pas, loin de cette tranquillité qu'il ne parvient pas à faire régner. Hyperactif qui sait qu'il n'y tiendrait pas puisque tout parviendrait à l'en détacher. Non, il n'a pas lu le livre nommé, mais ça ne l'empêche pas d'y prêter une oreille intéressée. Lyra, et il ne peut qu'acquiescer.

« Kinda lovely for sure. » Sincère, celui-là. Sincère puisque les notes suintent cette originalité qui fait écho aux prénoms qu'il porte, syllabes improbables mais adorées. « Well, you know what you have to do now. » Et le rire – ô intelligent qu'il puisse être – qui se rappelle à cet instant volé, à cette insouciance qui parvient à régner sur cette étrange, mais glorieuse, soirée. Un appel à la sérénité, à la normalité. Comme si rien ne pouvait souiller ses songes, comme si les marques immatérielles sur ses mains s'étaient effacées. Comme si, finalement, tout ce qui continue de le ronger n'était en l'instant qu'un écho de quelques cauchemars trop violents, trop réalistes pour la conscience effrayée. Il y trouve une certaine paix, Phoenix, dans cet échange plus profond que ce qu'il aurait en premier lieu imaginé. « For what I know, they're wonders and now that I've her in my life, I can't imagine what I could've became without her, you know ? » Trop profond, perdu en quelques songes psychologiques qui remontent, qui s'immiscent, qui gangrènent jusqu'à faire taire la bêtise légendaire, l'immaturité d'ordinaire spectaculaire. Il n'a pas sa veste d'idiot, mais celle du père. « So, yeah, I can only say : try to have that daughter and enjoy it as much as you can. » Et il l'a levé, ce verre qui traînait – comme pour célébrer ce futur projet, comme s'il venait d'avouer sa concrétisation à un vieux frère que les années n'auraient pas éloigné. L'alcool qui joue son rôle, qui change les êtres, qui transforment jusqu'aux automatismes déréglés. Plus convivial qu'il en devient, plus encore qu'à la normale en vérité. Plus sociable que jamais, Phoenix libéré des chaînes qui ne faisaient que l'écraser. Et il va pour boire avant qu'un semblant de raison ne lui vienne, avant qu'une petite idée ne s'immisce. Ridicule, mais prenante. Le geste arrêté dans son amorce, et les prunelles dépareillées qui s'arrêtent sur cette présence à ses côtés. « Wait a minute. » Les paupières qui se ferment, les réflexions qui tentent de se faire. Vaines tentatives qui forcent finalement la voix à s'imposer. « How ? » Simple, mais égaré. Le sens qui manque à cette interrogation tout juste posée. « Didn't you said that you're... you know... Les mains qui s'animent, qui tentent de mimer, mais les geste sont désordonnés qui ne veulent rien dire, rien exprimer. I mean... you've talk about a 'boyfriend' or something, na ? » Erreur système que la raison pourrait résoudre, mais que l'alcool et son trouble distillé persiste à faire subsister. Là, l’œil concentré sur ce nouvel ami tout désigné. L'index qui pointe sa silhouette comme pour s'assurer qu'il comprenne que ces paroles lui sont destinées. Figé, l'oiseau, à encore lutter pour comprendre puisque tout lui échappe ; trop défait de ce monde puisqu'il n'aspire parfois qu'à ne plus penser.                      





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❝ insane ❞
I'm reminiscin' back to both of us laughin'. Playin' old records, thinkin' every one of 'em's classic. Windows down, we on the street up in Michigan rappin'. We talked about it, but never really knew it could happen. My confidence about as low as the gas is, we didn't have the money for it, so we'd turn the key backwards and sit in parking lots for hours till the battery crashes. I think that we related 'cause both of us were lookin' for answers. I know you've been callin', sorry I never call back. I know I've been distant, you know I never meant that. »
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Eliott Lloyd
Eliott Lloyd
sunflower, vol 6

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : Une villa à Midtown avec Sosthène - Adam, bien sûr, et leur fils Noah
ombres et névroses : Un accent du nord de l'Angleterre qu'il garde précieusement et n'a jamais voulu effacer en arrivant aux US. Des cheveux qu'il laisse pousser depuis son arrivée a Detroit, retour a ses années étudiantes.Une quarantaine de tatouages sur les bras et le torse, ,tous liés a des histoires, a son histoire, une cictrice sur le flanc apres une greffe de rein.
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▬ Jeu 29 Sep - 14:39 ▬
the songs on the radio are ok.
But my taste in music is your face.

Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



Willow. Prénom de la fille de Phoenix qui fait sourire Eliott instantanément. Il pense à une Willow en particulier...Il espère d'un coté que la petite de son nouvel ami - parce qu'il a décidé - soit pas aussi perchée mais... elle est adorable aussi Lawson. Le coeur sur la main même si elle l'admettra jamais. Plus proche d'Adam que de lui même, son homme en dit que du bien et Noah a l'air de l'apprécier aussi donc pourquoi s'inquiéter plus que ça. such a beautiful name. you got good taste... I mean... not for using nickname. what kind of name was Puff already? Une tape qu'il lui met sur l'épaule, comme pour rappeler ce passé qui était y a pas si longtemps en fait. Mais il lui en veut pas, un petit mensonge, pour se marrer, et puis vu les confessions qu'ils se font maintenant, tout est oublié. Merci Kit et ses t-shirts. Eliott s'est aussi livré, un prénom qu'il aime et ce futur qu'il imagine avec l'homme de sa vie. Phoenix lui dit de se lancer, et il hoche la tête, ouais, il sait très bien ce qu'il lui reste à faire MAIS c'est pas le moment. Techniquement il vient d'adopter Noah, et leur couple est encore dans un équilibre précaire... Relation libre et nouvelle confiance, nouveau rythme et relation qu'ils essayent d'apprivoiser tous les deux. Mettre un deuxième enfant dans l'équation ne serait pas la bonne solution mais qui sait, dans quelques années? C'est peut-être égoiste comme ça mais Eliott a vraiment envie d'un enfant à eux deux, où ils feraient tout de A à Z, ensemble, même s'il est très heureux d'être le père de Noah. Il aurait aimé le connaitre avant.

Ça donne envie, rien qu'à entendre l'experience de ce presque inconnu qui se livre pourtant, à propos de sa fille, et Eliott qui peut pas s'empêcher de sourire, des étoiles plein les yeux. Il vit déjà ça avec Noah et l'envie de le faire encore plus... voila quoi.... I will yes...we don't want our son to be an only child either. I am one and I always missed having a brother or a sister. I feel like Kit might be like my brother now. En quelques sortes... et puis les Jones, c'est un peu une deuxième famille, pour lui qui a grandi avec uniquement sa mère pendant des années. Un peu rêveur Eliott, il fixe Phoenix, les yeux plissés. Qu'est ce qu'il voulait dire par comment? ..... Ah oui, la question du boyfriend... Eliott qui le regarde très sérieusement, pas très longtemps. Rire très proche mais ne voulant pas se moquer de lui non plus, techniquement Phoenix a pas tord. La question est légitime. well... I mean... we've been trying quite often lately and yeah it's a shame it doesn't work like this... my partrner... boyfriend, he had a son with his ex. A woman. I adopted him later on. I signed the adoption papers last Christmas actually. But let me tell you, there is no way he's having another child with her. She's a proper bitch and abandonned his son. Une réflexion qui va un peu trop loin c'était pas ça la question de Phoenix à la base. but anyway if we want a second one there's a few options... I'd really like a baby so we'll probably have to go through a surogate. We could adopt a kid too. Il se gratte la joue, pour répondre à une autre question sous-jacente du tatoué. and I'm not gay by the way, I'm bi. What about you... are you still with Willow's mum? C'est un peu comme s'ils se connaissent depuis des lustres alors que non, ils ne connaissaient pas l'existence l'un de l'autre y a quelques heures à peine. A part sur les pyjamas de Kit Jones.




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My hands, your hands, tied up like two ships. Drifting, weightless waves try to break it. I'd do anything to save it. Why is it so hard to say it? So many words we're not saying. Don't wanna wait 'til it's gone.
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Phoenix Ledger
Phoenix Ledger
popular monster

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : midtown. un appartement bordélique qu'il partage avec akim. un terrain neutre et sécuritaire pour ces deux frères de différentes mères qui n'aspirent qu'à se relever.
ombres et névroses : tatoué jusqu'au bout des doigts, la musculature dessinée grâce à son année de prison et entretenue, gardée, cicatrice à la joue droite qu'il doit à celui que euros a choisi d'aimer. médiocre gestion de la colère qu'il peine à dompter. c'est un hyperactif que rien n'a jamais su apaiser.
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▬ Sam 15 Oct - 22:48 ▬



The songs on the radio are ok.
But my taste in music is your face.
CODAGE PAR TETRADKE


Run, my love, I'm back from the dead. Let it go, it's all in your head. Oh, I could not believe that you will never let it be And nobody knows all the trouble you've seen. I get it, sweetheart, we're always "low, low, low", You're always pushing me away, but then you're pulling me close. So let's make a toast to all the years we've wasted, Hold your glasses high for all the tears we've tasted. I'm different now, you're distant how Will we ever work this out ?




L'alcool qui guide, qui force l'esprit à essayer de s'y concentrer. L'alcool qui trouble, qui embrume les songes qui s'étaient emmêlés. Cette question, il l'a osé – il s'est risqué sur ce terrain malgré tout ce qui pourrait avoir à se rappeler. Ces notes de son existence qu'il ne tient pas à ressasser, ces déviances qu'il peine à accepter pour un seul homme, une seule présence qui aura percé jusqu'au plus profond de son être fracassé. Le silence, alors. Le silence qu'il a tenu en guettant cette présence à ses côtés, réponse qu'il en viendrait presque à réclamer pour savoir quoi en penser, pour savoir comment imaginer ces fantasmes qu'ils se sont partagés. Attentif qu'il est devenu, loin de cette éternelle agitation qui peut avoir à l'animer, à trop l'affoler. Loin de cette énergie indomptable que beaucoup pourrait avoir à lui reprocher. Là, l'oreille tendue aux paroles de ce nouvel ami, cette compagnie improbable qu'il s'est approprié pour cette soirée isolée. Un soupçon de légèreté dans les tourments qui s'amusaient à creuser cette tombe lui étant réservé. Il s'en abreuve, il s'y enivre davantage. Il s'en abreuve, Ledger, pour parfaire ce baume qu'on dépose sur l'âme fracturée. Et s'il pensait pouvoir y trouver ce répit nécessaire, les dires ne viennent que tout accentuer. La douleur, les regrets, la honte – la culpabilité. Ces frères et sœurs qu'il possède, qu'il ne pourra jamais réellement approcher. Ces présences éloignées, qui errent ailleurs, il l'espère, en des sentiers plus éclairés que celui qu'il continue d'arpenter. Qu'ils soient en paix, ceux-là. Qu'ils soient sereins, loin des immondices que cette ville persiste à distribuer. Qu'ils vivent et prospèrent quand, ici, tout n'est voué qu'à s'effondrer, même malgré tout ce qu'ils essaient de préserver. Égaré, enfoncé dans sa douleur avant que le sujet ne soit écarté, avant que ces petites légèretés n'aient à s'en mêler. Il essaie d'y concentrer, il essaie de s'y enfoncer pour taire la mémoire et tout ce qu'elle parvient à faire remonter. L'écho de quelques rires que l'usure déforme, année après année. Récit qu'il écoute. Récit qu'il tient à s'approprier, bonheur qu'il tient à lui porter pour tout ce qu'il lui concède. Les félicitations qu'il glisse entre les mots pour ces papiers signés, ces responsabilités prises malgré la situation particulière qu'il s'est risqué à lui dépeindre. Pas très au point sur les lois, sur tout ce qui pourrait être sous-entendue dans ce pas qu'ils ont pu faire pour que le rôle de père lui soit attribué. Il retient les interrogations qui pourraient s'échapper, les raisons qui auraient poussé cette femme a être déchue de ses droits sur l'enfant désigné. Qu'importe, qu'importe puisque seul le bonheur de ce nouvel ami vient en l'instant importer. Bitch. Ça lui suffit alors à s'en faire une idée. « But anyway if we want a second one there's a few options... I'd really like a baby so we'll probably have to go through a surogate. We could adopt a kid too. » Il acquiesce, essaie de tout imaginer. Il acquiesce, les prunelles perdues ailleurs tandis que l'esprit essaie de procéder à cette compréhension manquante et altérée. « And I'm not gay by the way, I'm bi. » Il acquiesce toujours, la tête qui s'anime puisqu'il écoute, puisqu'il ne tient pas à lui faire supposer qu'il puisse s'en détacher. Pas cette fois, pas en sachant que les mots qui suivent font manquer un battement au palpitant empoisonné. « What about you... are you still with Willow's mum ? » Blessure qui saigne, blessure réanimée. Blessure qui saigne et que rien ne saurait panser.

Il soupire, Phoenix. Il soupire tandis que le regard dévie, s'éloigne des vérités qu'il aurait à confier. Cette douleur lancinante qui stagne, qui creuse les chairs jusqu'à n'en plus rien laisser. Partagé entre bien des émotions, bien des sentiments, bien des traits qui se confondent dans l'esprit teinté d'instabilité. Il voudrait pouvoir se trouver une ligne de conduite, un axe à suivre, mais tout se mélange, tout s'entrechoque et il jure sur tous ces parties, il compte sur toutes ces parcelles de sérénité. Une vie tranquille avec cette famille qu'il a pu retrouver, la promesse d'un avenir plus clair avec l'une des présences qui s'est tenue depuis des années à ses côtés. Tout et rien. Rien pour l'instant, rien puisqu'il est idiot, irresponsable, abruti fini qui ne sait plus comment se comporter. Sur deux lignes, Phoenix, à oublier comment faire pour réussir à avancer. « No, it's... well, it's complicated. » Pour bien des raisons qu'il ne se sent pas de nommer. Parce qu'il l'a brisé, en partie, dans sa connerie, dans ses frayeurs indomptées. Parce qu'il a saccagé bien des promesses qu'ils s'étaient donnés ; en plus d'accorder trop d'importance à celle qu'il persiste à veiller, à retenir pour ne pas la laisser sombrer dans ces croyances trop bien insufflées. Euros qu'il a bafoué par sa connerie, Ari qu'il voudrait pouvoir relever à lui-même s'y piéger. Un souffle alors, la paume qui cherche cette ancre sur l'un des verres à porter. Poison pour tout apaiser. Venin pour taire la mélodie des pensées qui s'amuse à tout gangrener. « I may have be an idiot with her. We were back together for few weeks and... I've ruined everything, like always, because I was already with... someone ; genre qu'il ne tient pas à préciser, la honte qui ronge encore les veines jusqu'à manquer de l'en faire trembler. She leaned about it and... I ran. » Un haussement d'épaules, cette fois. Minimisation qu'il ose pour essayer de ne pas raffermir ce poids sur les épaules déjà affaissées. « But, somehow, I just can't stand away from her. Because of Willow and... yeah, because of how I feel about her in the end. » Pathétique qu'il est, misérable qu'il reste. « But, she's with someone else now so, you know, that's the way it is. I ruined everything and now, I just have to watch her being happy far from my... stupidity. Autre poison qu'il lève, par instinct, par nécessité. Amen to that. L'ivresse pour tout enterrer, l'ivresse pour parer à cette misère qu'il ne tient pas à laisser le submerger. Anyway. I'm happy for you, man, no matter what it worth for you. » Une main sur l'épaule, contact bref qu'il apporte pour tout acter.                        





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Eliott Lloyd
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▬ Lun 24 Oct - 0:23 ▬
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Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



Rien que de penser à Kerry, et Eliott sentait la pression monter. Lui d’habitude assez calme, à voir le bon en chacun, ne pouvait absolument pas en voir dans cette personne. Bien sûr, elle avait été un vaisseau pratique pour permettre d’avoir son fils, Noah, gosse parfait, souriant, adorable, intelligent, de bonne composition (oui il en fait des tonnes mais c’est son fils ok) , elle n’est pas moins qu’une horrible personne. Déjà au lycée elle jouait les stalkeuses avec Eliott, allant même jusqu’à l’attendre à la sortie de chez lui le matin pour aller marcher avec lui. Imaginez la crise cardiaque du Lloyd en se trouvant avec une hystérique de bon matin? Lui qui avait d’yeux que pour Adam d’ailleurs… Comment Adam avait pu tomber pour elle des années plus tard? La malédiction des quartiers comme où ils avaient grandi. Toujours voir les même gens, toujours se retrouver dans le même cercle de personnes. Bien pour ça qu’Eliott avait quitté la maison familiale de Staten Island pour aller à l’université. Une colloc à Brooklyn avec quatre inconnus c’est bien plus sain pour sur…

Il aurait pu s’énerver s’il n’avait pas autant bu et n’était pas autant en confiance avec le tatoué. Inconnu y a quelques heures déjà tout deux à se raconter des histoires de vie que pas grand monde connaisse.Alors il pose des questions, Eliott, sur la parentalité de Willow, la fille de Phoenix. Et quand il dit que c’est compliqué… il ne peut que hocher la tête d’approbation, toujours compliqué. Alors il parle de se remettre avec elle… mais de quelqu’un déjà dans sa vie. so… you’re torn between these two women then? Verre qu’il attrape pour trinquer avec lui, tout en sentant sa main se poser sur son épaule. C’est quoi cette soirée exactement? Comment ont ils pu en arriver là? thanks mate. I hope one day you’ll find the good way, with the good person…her, or another one, we don’t know. You’re a good guy. And quite handsome too. You’ll find the one Il boit son verre une nouvelle fois et scanne le bar du regard vite fait, il s’arrête sur une jolie blonde. maybe it’s her, we never know! She’s cute. You want her number? I’m sure I can get that for you. I can even pretend to be gay so she won’t be interested. et ça, c’est déjà une preuve de future amitié.




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▬ Dim 6 Nov - 2:46 ▬



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Il y a ce souffre qui torture la trachée. Il y a cette lave qui s'immisce, qui s'amuse à tout corrompre dans l'esprit malgré les brumes qui s'y sont installées. Il y a ces regrets qui pèsent, cette appréhension qui ne cesse de gronder. Il y a ce tout qui s'emmêle jusqu'à défaire les pitoyables chaînes que la stabilité cherchait à préserver. Assez pour s'en remettre à cette brûlure qui assassine la gorge, à cette liqueur dont il a d'ores et déjà trop abusé. Il s'enfonce dans ses ténèbres autant qu'il s'essaie à s'en extirper. Misérable, la carcasse qui essaie de faire valoir cette prestance qu'elle ne sait plus comment honorer. Et pourtant, les prunelles dévient un instant pour s'égarer, un souffle est expié pour se libérer des parasites qui l'encombrait. Infection tenace qu'il tente d'apaiser pour ne rien gâcher. Il aurait voulu s'en éloigner, se défaire des vérités qui n'ont de cesse de se rappeler. En vain, finalement. En vain puisque celui-là y revient, matérialisant une partie des tracas sans imaginer la portée de leur poids. « So… you’re torn between these two women then ? » Oh, il n'était pas femme, cet autre. Mais le silence qu'il tient, le silence qu'il laisse planer. Un maigre sourire, les traits qui acquiescent quand ces dires ne sont vrais que de moitié désormais. Tourmenté, Phoenix, entre deux cœurs. L'un est le même qu'évoqué, l'autre est différent, présent également depuis bien des années. Présence dont il ne s'est jamais défait, qui bravait même les couloirs d'une prison froide pour essayer de venir lui insuffler ce courage qui s'étiolait. Il a tiqué, essayé de parer tous ces souvenirs qui auraient voulu se soulever. Il se laisse faire, Phoenix, quand cet autre s'anime, s'en remet finalement à ce qu'il lui espérait, un bonheur si difficile à empoigner qu'il souhaite réellement voir à sa portée. Elles sont trop peu nombreuses, les âmes qui méritent ces éclaircies embusquées – et, peut-être à tort, il croit réellement que celui-là serait à même d'y prétendre. Parce qu'il n'a pas cette aura noire que beaucoup traîne avec eux, que lui-même supporte depuis quelques temps désormais. Ce souffre néfaste qui s'abat sur les sentiers en même temps que les pas emmêlés. Qu'il prospère et qu'il vive quand d'autres ne peuvent plus y prétendre à cause de bien des méfaits. Le sourire est léger qui s'installe sous ce qu'il ose lui faire entendre. Une impression, la matérialisation de cette image qu'il essaie de donner. You’re a good guy. Putain qu'il voudrait pleinement y croire. You’ll find the one. Et il pensait l'avoir trouvé, croit encore pouvoir y prétendre quand, néanmoins, d'autres traits s'imposent à cette possibilité. Dans l'imaginaire parfait qu'il s'imagine de cet avenir paisible et forgé de sérénité, il y a ces deux présences qui entrent en conflit pour tout faire trembler. « Maybe it’s her, we never know ! She’s cute. You want her number ? I’m sure I can get that for you. I can even pretend to be gay so she won’t be interested. » Les prunelles qui se sont relevées, le rire qui s'échappe sous l'absurdité de ce qu'il en vient à supposer.

Non, le cœur s'est déjà arrêté – ou presque – sur ce qu'il peut souhaiter.
Le cœur est déjà menotté, encore tourmenté par ce qu'il a brisé.

« It could be her, but just for one night, trust me. » Parce qu'elle n'a rien de tout ce qu'il pourrait avoir à imaginer d'une vie pleine et entière à ses côtés. Elle n'est qu'illusion, qu'image – un point commun qu'il se refuse à admettre, lui qui ne jure que par ce qu'il peut avoir à laisser observer. Constat qui s'impose brièvement avant que le verre ne soit terminé. Là, redressé l'oiseau déplumé. Là, les prunelles qui s'en remettent à cet ami qu'il vient de s'approprier. « Wait. La main qu'il a levé, les mots qu'il cherche puisque toute la conscience commence à se laisser anesthésier. Did you just supposed that I couldn't have a number by myself ? » Là, le sérieux qu'il essaie de garder, mais le sourire qui manque de se trahir sur les lippes qu'il a scellé. L'attention donnée à celui qu'il en vient à toiser. « That being said, you dare to say that just after telling me I'm... handsome... Sans pleinement s'y arrêter, occultation nécessaire pour permettre à cette brève panique de ne pas davantage s'avancer. So, or you were lying, or you think I'm too drunk or too stupid to get her number without your help. » Les bras qu'il a croisé en essayant de se poser pour ne pas tituber. Conscience embrumée s'amuse de tout ce qui pourrait être supposé, donnant finalement raison à l'un des points. « In the end, I can agree... If I try to follow her, she'll be disappointed. » Le rire cette fois qui s'impose. Le rire qui lui vient puisqu'il ne peut y parer. « Let her decide who she wants in her bed tonight, she saw that we were looking at her already. » Parce que les regards se sont croisés, direction qu'elle s'est mise à observer depuis quelques secondes désormais. « Maybe it's for you. » Et il ne s'en plaindra pas, Phoenix – lui qui n'aspire à rien de plus qu'une tranquillité d'esprit, néanmoins presque accessible maintenant l'alcool fait son effet.                         





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▬ Mar 8 Nov - 19:18 ▬
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Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



Eliott qui dit à un mec qu’il vient de rencontrer qu’il trouverait l’amour, la bonne, le bon, peu importe, un jour. Lui pour qui ça parait si évident maintenant qu’il est de retour avec Adam… mais au fond, est ce que ça l’est? Ils ont commencé leur histoire bien trop jeunes, et y a eu les départs, les trahisons, les tromperies, les nouveaux départs… presque dix ans de douleur, d’attente, d’autres histoires aussi.. Il aurait pu se poser et faire sa vie avec d’autres… avec un certain Franco-Australien qui avait volé son cœur d’un regard, qu’il avait lui-même poussé à aller vivre ses rêves en acceptant son départ. Il y avait une Canadienne qui avait pareil pour Eliott. Le pousser à retourner vers Adam… jusqu’à ce qu’il le quitte de lui-même en venant à Détroit. Tout un bordel sentimental mais il gardait la tête haute et des bons conseils pour les autres. Ceux qu’il aurait dû s'appliquer à lui-même. Il proposait même d’être son wingman s’il avait besoin, Phoenix. Il entend son rire raisonner et surtout son raisonnement. Juste pour une nuit alors. Well, that can be an amazing night, who knows Et quand Phoenix s’arrête de de rigoler, Eliott relève les yeux vers lui et… oh merde. Eliott a fait une connerie… Le voilà qui cherche ses mots. HEY ! no I didnt lie ! you’re handsome, kinda hot even, but I’m not looking at you in that way…Sometimes people can be very very hot and don’t have the confidence or nerve to talk to someone, I was just offering to help because.. You see.. My dear friend… I don’t give a shit Il sourit bien trop, la confiance qui est revenue dans son petit corps. Eliott a trop bu, certes, mais Eliott n’a absolument peur de personne aussi. Il a l’habitude de parler aux gens, de draguer avec beaucoup de naturel également…

Heureusement que Phoenix s’est remis à rire parce que l’anglais allait encore parler pendant au moins vingt minutes. Le voilà qui l’accompagne dans son hilarité. Il lui tapote la joue en regardant la jeune femme de loin. you know there’s a chance she just loves reading boys love story and thinks we’re together, right? We already agreed, you’re not, I’m hot. Il se gratte la tête en regardant Phoenix. are we these kind of assholes betting on girl though? I’m not sure we are… I need another drink ! what would you like, dear Phoenix? Ils sont dans ce bar depuis combien de temps? Eliott se sent déjà sur la stratosphère, flotter dans un petit nuage d’alcool et d’euphorie. Il aime déjà son nouvel ami, pas étonnant que Kit l’aime aussi.






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▬ Mar 15 Nov - 2:17 ▬



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Run, my love, I'm back from the dead. Let it go, it's all in your head. Oh, I could not believe that you will never let it be And nobody knows all the trouble you've seen. I get it, sweetheart, we're always "low, low, low", You're always pushing me away, but then you're pulling me close. So let's make a toast to all the years we've wasted, Hold your glasses high for all the tears we've tasted. I'm different now, you're distant how Will we ever work this out ?




Savourée, la manière dont il a lutté pour essayer de se rattraper. Savourée, cette accalmie offerte dans les tourments qui s'amusaient à ronger. Savourée, pour parer à la noirceur qui condamne l'endocarde depuis bien des années. Le souffle pris, le sourire qu'il n'a pas chassé. Il s'en abreuve presque, de cette compagnie lunaire improvisée. Hors du temps, hors du monde. Hors d'un tout qu'il ne parvient plus à soutenir – le poids qui s'écrase sur les épaules pour un temps oublié. Il veut s'enivrer de la vie qui lui revient, de cette pause concédée. Il veut pouvoir respirer, rayonner comme fut un temps avant que les orages n'aient à gronder. Et les songes pourraient s'y perdre jusqu'à tout lui faire cracher, ces remerciements sortis de nulle part qu'il aurait à lui adresser. Mais cette nouvelle proximité parvient à l'éveiller, autant que l'attention délaissée à la joue quand les prunelles reviennent s'y concentrer. « You know there’s a chance she just loves reading boys love story and thinks we’re together, right ? Ce n'est qu'un frisson qui parcoure la colonne, rien qu'un souffle léger qui provoque – quoi que sans méchanceté – ce dégoût trop bien ancré. Il a laissé le regard dévié, s'aventurer sur le verre vide qui devant lui traîner. Un ancrage qu'il se met à chercher, une parade pour forcer la trachée à rester serrée au lieu de se mettre à beugler à qui veut l'entendre que, non, il n'est pas en couple avec celui qui se tient à ses côtés. Une chose en entraînant une autre, le rappel est instantané – cette connaissance commune qu'ils peuvent avoir posséder. Et peut-être a-t-il sous-estimé la réputation que celui-là pourrait posséder. Cette glorieuse ouverte d'esprit que rien ne semble entraver, cette manière de tout assumer puisque l'éducation n'a pas été la même – lui enfermé dans la déchéance de deux quartiers aux idées fermées. We already agreed, you’re not, I’m hot. » Le rire néanmoins, instinctif. Le rire qui lui vient pour parfaire la balance des deux émotions qui bataillent sans relâche. « Are we these kind of assholes betting on girl though ? I’m not sure we are… Un haussement d'épaules, finalement. Les pensées qui vont et viennent, tentent de suivre cette cadence. Les prunelles dépareillées qui s'élèvent, qui s'attardent sur la demoiselle qui s'en est déjà détournée. I need another drink ! What would you like, dear Phoenix ? » Il ne sait pas, ne sait plus. Ni ce qu'il aurait souhaité, ni sur quel sujet. Les songes se sont emmêlés. L'ouragan est violent qu'il ne cherche même plus à réellement contrer.

« Everything ? » Les mots à peine prononcés, rongés par ce rire qui lui vient dans la foulée. Réponse presque précise, presque inutile. Il ne sait pas, ne sait plus – s'est brièvement perdu. « I don't know, whatever you like man ! I don't care ! » L'euphorie qu'il cherche à retrouver, à pleinement accentuer. Ce tout qui doit brûler, calciner les veines jusqu'à l'implosion tant réclamée. Ces regrets et ces douleurs qu'il se doit de chasser et qu'importe, qu'importe tous les poisons qu'il aurait alors à ingérer. Qu'importe puisque cette soirée sort de toute normalité, défaite des conventions habituelles qu'il s'essaie à suivre, parfois déboussolé. « It would help me to get so clear ideas about what that girl was thinking, y'know ? If I've to bet, it's fucking necessary. » Un haussement de sourcils pour habiller cette réflexion déchirée. Là, le plat de la main qu'il laisse claquer contre le bois qui se trouvait à sa portée – déterminé à s'enfoncer un peu plus dans cette brume bien installée. « And then, we'll leave before I crall on the floor tryng to remember where I live. I don't even know where we are at this time. » Confession bourrée qu'il lui délaisse volontiers, confidence à peine masquée de la manière dont tout ce qu'il a déjà avalé parvient si aisément à le corrompre. Qu'importe, encore. Qu'importe puisque les malins n'auront pas l'ascendant sur cette courbe aux lèvres qu'il en vient à imprimer. S'il savait, celui-là, tout ce qu'il parvient en l'instant à lui apporter – un semblant de souffle pour les poumons atrophiés. Ainsi s'acte sans qu'il n'ait à le forcer ce tout nouveau lien d'amitié.                          





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❝ insane ❞
I'm reminiscin' back to both of us laughin'. Playin' old records, thinkin' every one of 'em's classic. Windows down, we on the street up in Michigan rappin'. We talked about it, but never really knew it could happen. My confidence about as low as the gas is, we didn't have the money for it, so we'd turn the key backwards and sit in parking lots for hours till the battery crashes. I think that we related 'cause both of us were lookin' for answers. I know you've been callin', sorry I never call back. I know I've been distant, you know I never meant that. »
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Eliott Lloyd
Eliott Lloyd
sunflower, vol 6

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : Une villa à Midtown avec Sosthène - Adam, bien sûr, et leur fils Noah
ombres et névroses : Un accent du nord de l'Angleterre qu'il garde précieusement et n'a jamais voulu effacer en arrivant aux US. Des cheveux qu'il laisse pousser depuis son arrivée a Detroit, retour a ses années étudiantes.Une quarantaine de tatouages sur les bras et le torse, ,tous liés a des histoires, a son histoire, une cictrice sur le flanc apres une greffe de rein.
cicatrices : 490
crédits : setsu - tumblr

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▬ Mer 7 Déc - 14:45 ▬
the songs on the radio are ok.
But my taste in music is your face.

Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



Quand on grandit avec l'idée bien ancrée qu'on est un être parfait en tout points - du moins - parfait parce qu'il est lui - parfait parce que tout le monde est comme il est - avec cette idée qu'il peut aimer qui il veut et être lui même - on oublie parfois que certains sujets peuvent être sensibles ou problématiques pour d'autres. C'est naturel pour Eliott de faire une blague sur le fait que le monde extérieur, cette femme là en particulier, puisse les imaginer en couple tous les deux. Parce que... y a rien de "mal" là dedans. Parce que c'est pour rire. Parce que l'anglais aurait pu faire exactement la même réflexion si les places de Phoenix et la jeune femme étaient échangées. La main qu'il pose toujours sur son épaule, ancrée là, normale. Ils se connaissent par coeur maintenant, non? Depuis quelques heures, quelques jours, quelques mois ,plusieurs années, le temps compte pas vraiment. Juste leurs présences et la promesse d'une nuit qui finirait pas de si tot. it's time for shots then. I'll get a selection Les shots de vodka colorés attendront un tout petit peu.. Phoenix a énoncé des faits, il veut savoir. Il veut savoir ce que pense cette femme, comme s'il avait quelque chose à prouver, à se prouver? Ou juste... parce que c'était la suite logique des choses? by the way I know where I live so if you're too drunk you can crash the sofa[/b]

Un Eliott Lloyd n'est dejà pas timide en temps normal mais rajoutait de l'alcool et c'est l'être le plus sociable de la terre. whatever you like, my dear. I'll be back Est ce qu'il avait imité Terminator dans son "I'll be back" ? mais oui tout à fait. Et il avait remis une tape sur son bras avant de s'éloigner - de manquer de se casser la gueule sur une marche invisible, se rattraper de justesse dans l'air et marcher jusqu'à la demoiselle. hey, how are you? nice place, right? not to bother you , would you mind answering a simple questions? we noticed you were looking our way earlier, so... what was in your mind? who did you think were were. to each others Kit lui dirait qu'il parle trop, encore. Mais le pire? Il parle lentement, il pèse chaque mot, Eliott, c'est un mélange un peu lourd rendu charmant par son accent du Nottinghamshire et sa belle gueule. Elle se demande ce qui se passe mais lui sourit, rigole même à la question et la réponse elle la fait dans l'oreille de l'anglais, sourcil arqué et haussement de sourcil comme seule réponse. that's very .... nice of you... to share this... I'll...let him know. Have a good evening if we don't see each other again Se retenir de rire mais le sol est vachement hilarant au fur et à mesure des pas qu'il fait jusqu'à Phoenix. she thinks you're cute,  and I look like her brother apparently. and she thought I was hitting on you. but I'm not. so ... it's up to you my friend. I'll be happy to continue drinking or... Mais en se retournant vers la demoiselle qu'il n'a même pas nommée..elle a été rejoint par tout un groupe de ses copines, rires qu'ils entendent d'ici. shots? S'il voulait aller la voir il le laisserait, mais là, la soif, l'envie de tout lâcher, de ne plus être lui quelque heures est plus forte.


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My hands, your hands, tied up like two ships. Drifting, weightless waves try to break it. I'd do anything to save it. Why is it so hard to say it? So many words we're not saying. Don't wanna wait 'til it's gone.
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Phoenix Ledger
Phoenix Ledger
popular monster

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : midtown. un appartement bordélique qu'il partage avec akim. un terrain neutre et sécuritaire pour ces deux frères de différentes mères qui n'aspirent qu'à se relever.
ombres et névroses : tatoué jusqu'au bout des doigts, la musculature dessinée grâce à son année de prison et entretenue, gardée, cicatrice à la joue droite qu'il doit à celui que euros a choisi d'aimer. médiocre gestion de la colère qu'il peine à dompter. c'est un hyperactif que rien n'a jamais su apaiser.
cicatrices : 726
crédits : chat.noir (c) astra (a)

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▬ Mer 14 Déc - 23:00 ▬



The songs on the radio are ok.
But my taste in music is your face.
CODAGE PAR TETRADKE


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Les secondes s'écoulent, lentes et éternelles. Le temps lui-même se fige dans cette aliénation amenée, engendrée plus qu'elle ne le devrait. Les secondes s'écoulent et lui, il s'y noie sans réellement s'en débattre – enveloppé dans cette espèce de bulle improbable qui protège des tourments qui guettaient. Ambiance salvatrice, les souffles plus légers qu'ils n'avaient pu l'être il y a des heures, des jours, des années désormais. Il en oublie tout ce que l'âme doit porter, tout ce qui déchire les chairs intérieures depuis une durée incertaine en vérité. Là, il respire, s'abandonne au néant parfait que l'alcool distille avec facilité. La voix qui s'élève est à peine marquée, pourtant plus claire que tout le reste autour de lui, autour de la carcasse vacillante qui manque parfois de pencher. L'attention qui tente de s'y concentrer, les mots qu'il capte enfin – quoi que trop tard. Parce qu'il ose, celui-là. Il ose s'avancer vers la demoiselle qu'ils s'étaient mis à toiser. Les yeux écarquillés, les prunelles qui veulent en dévier, mais qui y restent – happées un instant par les orbes de la belle dont le sourire vient de s'animer. Il appréhende déjà les dires, plus encore les questions que celui-là pourrait avoir à poser. En silence, Phoenix, il lorgne le tableau qui s'est peint à quelques mètres de cette place trouvée. Le verre qu'il cherche, les phalanges qui tâtonnent jusqu'à pouvoir l'enserrer. Le poison en dernier recours, comme une excuse toute trouvée pour celui qui n'aspire qu'à cette ivresse pour mieux se reposer. Parce qu'il lui revient, cette courbe sur les lippes qu'il ne sait pas vraiment comment interpréter. Il lui revient, Eliott, ce rire qui brave les pulpeuses avant que les mots n'aient à résonner. Ils lui semblent plus forts que les notes qui résonnent, plus forts que ces rires qui se sont mis à tout déranger. « She thinks you're cute, and I look like her brother apparently. Il a acquiescé, avant de grimacer. La première supposition qu'ils évoquaient qui lui reste en mémoire et lui en vient à se demander ce qu'elle a bien pu imaginer d'autres. Le reste n'est qu'un flou que seuls certains dires parviennent à troubler. So... it's up to you my friend. I'll be happy to continue drinking or... » Un fracas de voix. Ces rires qui virevoltent jusqu'à cette attention détournée. Les traits de la demoiselle en question retrouvés, plus ceux de ces amies qui semblent l'avoir jointe dans cette nouvelle hilarité. Il a l'air con, Ledger, à sourire en retour à celle dont le nom ne sera jamais prononcé. « Shots ? » Il a acquiescé, par instinct. Il suit le mouvement, refuse de se coucher dans cette partie de poker-liquide qu'ils se sont mis à honorer. « I'll need it to forget how to walk before I try to have all of them girls in the fucking same time. » Semblant de sérieux qui accompagne ces ignobles paroles soulevées. Mais le rire qui s'y joint, le rire qui vient tout briser. Oh, il était sérieux, Phoenix – mais s'abstiendra cette humiliation publique pour la soirée.

Une tape sur le mobilier. La paume qui claque pour amorcer les hostilités. « How about a game ? » Là, cet élan qu'il saisit sans s'en détacher. Once de sérieux qu'il retrouve, cette fois bien tenue – elle règne sur les traits qui sur ce comparse se sont levés. « Fifteen shots each and the one who survive this without kissing the ground win the fight. » Là, déjà chaud – les épaules qu'il étire comme se préparant à la bataille du siècle. Les anciennes folies qu'il rappelle au présent, ces jeux stupides que lui et Ronnie pouvaient orchestrés quand les responsabilités étaient ignorées, quand ce monde était tout autre que celui qu'ils s'étaient inventés. Là où débauche et ivresse étaient maîtresses incontestées. « I bet if you want, I already win some fights like that so I'm fucking ready ! » La main qu'il manque de tendre dans la foulée, prêt à tout conclure avant que la réponse ne lui soit donnée. Il s'est animé, Phoenix, couvé d'une toute nouvelle énergie embrasée. Ils ont à profiter de cette soirée, et tant pis si le trottoir ou ce canapé promis ne parviennent pas à trouver leur place dans la mémoire ; en l'instant, il sait être libre et défait de ce qui l'entravait. La compression aux poumons est moindre, mais la conscience est en berne de cette démence qu'il a laissé s'approcher. Il devait se sortir des vices, pas plus encore les embrasser. Il devait se relever, croit pouvoir le faire en empruntant ce sentier. Et il s'y laissera prendre, Ledger, jusqu'à pouvoir s'émanciper des maux qui grondaient. Soirée plus agréable qu'il ne l'aurait imaginé, même malgré les nausées qui accompagneront l'aube, qu'importe où carcasse se sera échouée.                           





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