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Mark DeWitt
Mark DeWitt
shipwreck

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : southwest ; quand le motel bon marché est rallié. l'habitable d'un véhicule crade quand l'ivresse flirte avec les veines gonflées. parce qu'il erre, parce qu'il se perd. parce qu'il n'est finalement que chimère.
ombres et névroses : légion de vices, levé de coude récurent. l'amour des alcools pas chers et des cigarettes-cancer qui ravagent lentement la trachée. alcoolique, qu'elle disait. pathétique fut ajouté. il s'en contente, en plus de noyer sa peine dans une brève adrénaline derrière les jeux d'argent qui l'ont déjà bien dépouillé.
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▬ Mar 3 Oct - 11:33 ▬



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He wakes to find her in his bed, naked from the night before. She wakes and grins from ear to ear, thinking that she's won his heart. Then tells him "get your things and leave, until we meet again." He wonders if he's wrong or right, to have shared his love with her. If that's love then I don't know what is. If that's truth then I'm a fraud. If it's real then I must seem like such a fool to have saved my love for one.




« You can't keep doing this, Mark, you know it. » Il sait, n'a fait qu'acquiescer. Dans cette pièce froide, presque sans lumière, où les pas de l'étage résonnent comme pour l'oppresser ; il a gardé le silence, ne faisant régner que le bruit des pages qu'il tourne et tourne et tourne encore. Il avait promis de guetter, en une impulsion incompréhensible. Il devait se renseigner, trouver de quoi apaiser le cœur d'une femme étrangement guidée sur son misérable sentier. Ignorant qu'il est, l'idiot, de tous les secrets qu'elle préservait en usant de sa naïveté. Hope qu'il croit encore servir en s'enfonçant dans quelques tréfonds qui lui sont interdits ; mais rien ne lui vient. Il n'a fait que s'éloigner de cette principale quête, de fils en aiguilles. Les liens se sont emmêlés, les pas se sont pressés là où ils n'auraient dû s'aventurer. « He's clean, you won't find anything. Do you even listen when I speak to you ? » Il a laissé un rire s'échapper tandis qu'il persiste à feuilleter, les phalanges tremblantes forcent les rapports à brièvement se froisser. Et pourtant, il s'est figé. Il y a cette signature qui ne cesse de revenir, ces dates qui ne collent pas avec les affaires désignées. Des mois et des mois d'écart, quelques noms qui ne cessent de revenir – comme pour mieux les évincer. Les sourcils froncés, le souffle court tandis qu'il sursaute quand la paume de ce compère claque sur l'étagère dérangée. « It's enough, you need to leave. I could be fire if someone sees you here. » La main levée, le rapport qu'il préserve avec lui. « Thanks Kev, you were right. Rivera's clean. » Et il l'enfonce dans ses poches, ce bien qu'il ne tient pas à ranger. Il va pour tout remettre à sa place, jusqu'à ce bras sur son poignet. « You can't keep it. » Et les traits sont fermes, comme rarement. Ce n'est pas la tristesse qui prône sur le faciès creusé. Ce n'est pas cette déchéance qui flamboie au regard croisé. Détermination. Détermination en vient à s'éveiller. « I can 'cause it's fake. Thank you again, Kev, I owe you one. » On l'imagine sans courage, sans élan. On l'imagine las de sa propre carcasse, attendant la mort dans le fond des bouteilles qu'il persiste à éparpiller. Ils ignorent, ceux qui refusent de voir, qu'il ne vit plus que dans le succès que quelques affaires parviennent à lui apporter. L'impression de servir, ne serait-ce qu'encore un peu, à quelque chose à défaut d'avoir tout saccagé. On l'imagine sans courage, l'homme qui s'enfonce dans des profondeurs plus noires que toutes celles d'ores et déjà foulées. Lui qui s'éloigne, quitte les archives qui n'ont pas encore été traitées. Lui qui s'en remet à la vie du commissariat fade, dans ces allers et retours qui ne font pas même attention à sa présence dans les couloirs sécurisés. Il guette les attentions, s'assure qu'une certaine silhouette n'ait pas à le repérer. Leena esquivée, l'accueil qu'il rejoint pour réclamer un officier en particulier. « I would like to speak to Harvey Booker, please. »

On le connaît, on croit le connaître.
On n'imagine pas ce qu'il peut trouver, tout ce qu'il peut ébranler.
On ignore à quel point il peut être déterminé.
Lui qui s'engage dans une nouvelle bataille, qui ne laisse rien paraître.

Patience qu'on lui réclame. Patience tandis que le regard erre. Ici et là, sur tous ces êtres qui se bousculent pour ces alertes parfois gueulées, parfois rapidement étouffées. Puis là, l'ombre qui s'avance ; coupable de ce qu'il a pu découvrir dans les archives qu'il fouillait. Lieutenant zélé qui lui offre un sourire, une main serrée – faux, faux qu'il est. « DeWitt, been a while. How you're doing ? You bringing us some work to do ? » Il feint la courbe aux pulpeuses. Il feint cette entente cordiale. Il feint, lui qui n'use que trop peu des masques qui lui sont à portée. Mais nécessité gronde et réclame cette perfection pour cette entrevue ; jusqu'à ce qu'il daigne enfin s'éloigner. Jusqu'à ce que respiration puisse enfin se calmer, ou presque. « Detective Booker ain't here. He's outside, leaving for usual patrol. I can... » Il n'a même pas écouté, les portes déjà passées. « Scheisse ! » L'air frais, pollué, pour gonfler les poumons comme il rejoint à la hâte les voitures stationnées. Les ombres qu'il étudie, la silhouette qu'il se met à chercher. Le souffle court, précipité. Le souffle brisé, jusqu'à ce soupir quand celui-là daigne enfin se révéler – accompagné. « Scheisse... » Et pourtant, il l'ose, ce pas en avant, cette enjambée. Il s'immisce, s'impose. « Sorry. Can I speak to you ? Someone can go with your partner ? » Il ne s'en soucie pas, de cet autre qui observe sans comprendre. Il ne s'en soucie pas, lui qui doit agir avant que les choses ne s'enveniment. Parce qu'il a entendu les histoires, les récits loués sur l'homme qu'il vient d'aborder. Une bonne âme, une lumière comme il en manque tant dans cette ville désacralisée. La bonté personnifiée, la justice dans son plus bel apparat qu'on voudrait pourtant étouffer. « It can't wait, really. » Sérieux. Sérieux qu'il n'a pas à feindre comme il suinte des prunelles levées. Et il souffle, et il essaie de reprendre son souffle. Il paraît fou, l'est bien moins que la plupart des spectres qui ont ici à traîner. Il paraît fou, pour ceux qui connaissent la misérable histoire de l'homme qu'ils voient parfois passer ; mais aucun n'ignore les prouesses dont il est à l'origine. « Please. You have to listen to me. »                              





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Well I came upon a man at the top of a hill, called himself the savior of the human race. Said he come to save the world from destruction and pain, but I said : how can you save the world from itself ?
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Harvey Booker
Harvey Booker
l'ogre joviale

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : Un petit appartement a Eight Milles Road.
ombres et névroses : Le physique est digne d'un ogre, certain disent qu'il fait deux mètres cubes... Un mètre quatre-vingt-huit pour une centaine de killo, fit. Ancien boxeur poids lourd et ancien joueur de foot américain au poste de défensive back.
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▬ Mar 3 Oct - 15:00 ▬

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Ft.Mark Dewitt

Journée comme une autre dans Détroit la tragique, aujourd'hui à notre grand loto, des meurtres brut et violent, corps décapité de Southwest, caches de drogues découvertes au abord du cimetière de Eight Milles, prostituée en train de marché libre sur les pavées de East side alors qu'à Midtown, des hommes sapés classe et fedora passent d'un bâtiment a l'autre...


Encore une belle journée en perspective a Détroit la merveilleuse, comme présenté par le lieutenant qui ta parler ce matin, t'a pris ton temps avant de partir en patrouille, café, trois donuts. Ta discutée avec ton collègue Johns, un chic type avec qui t'a noué de bons rapports, efficace comme un clébard quand il s'agit d'affaire reliée à la drogue, il a la truffe d'un chien de sang. Incroyable, ta jamais vu un type avec un piff si fin, l'mec a carrément prédit que sa gonzesse aller l'trompé, fort le type.


Bref, vous marchiez quand des bruits de pas rapide, de souffles rauques et rapides se font entendre, avant que l'accent allemand se face entendre, part le bon Marki Mark. Instantanément, tu te regardes pour regarder Mark, les sourcils se froncent en voyant son visage.


'' Herr Mark, guten morgen*'' que tu viens baragouiner en allemand. Les sourcille se froncent encore quand il demande à le voir seul à seul. Un rapide coup d’œil vers Johns, un hochement de tête alors que tu lances les clefs de la caisse à Johns.


'' Va y Johns, va avec Roarchsson. '' Ni une ni deux, le collègue commence a partir plus loin à la recherche du fameux Roarchsson. Alors que tes neurones commencent à s' activer, le cœur battant rapidement sous cette épaisse couche de graisse, si Mark venait le voir comme ça, aussi essoufflée au point de faire dégager un collègue, c'est que ça dois être vachement grave.


'' Qu'est-ce qui se passe Dewitt ? Ta vu le diable en bas du walmart ? '' que tu viens dire, pour ajouter un peu d'humour à l'étrange scène qui est en train de se produire.

:copyright:️ Belzébuth

*Monsieur Mark,bonjour
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Mark DeWitt
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▬ Lun 30 Oct - 0:51 ▬



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He wakes to find her in his bed, naked from the night before. She wakes and grins from ear to ear, thinking that she's won his heart. Then tells him "get your things and leave, until we meet again." He wonders if he's wrong or right, to have shared his love with her. If that's love then I don't know what is. If that's truth then I'm a fraud. If it's real then I must seem like such a fool to have saved my love for one.




Le sourire des bons jours, la lumière qui éloigne les ténèbres qui attendent leur tour. Le sourire des bons jours, il apaise d'ordinaire, il éclaire jusqu'au devant des sentiers sinueux et des horizons grisés ; pourtant, l'inquiétude persiste et grandit. Elle prend les devants, s'acharne à maltraiter l'endocarde compressée. Inquiétude, pour cette corruption qui persiste à s'étendre. Celle qui s'avance, ronge les chairs, les certitudes – la sérénité. Elle s'approprie les lueurs qui persistent à scintiller, elle tente de les étouffer ; une mort lente, douloureuse, imparable. Aussi brève et violente qu'une simple signature sur un papier oublié, sur un rapport enroulé dans une poche intérieure où il n'aurait jamais dû se retrouver. Il en a soupiré, Mark, cherchant à reprendre son souffle. L'attention captivée de cet homme qu'il cherchait, mais la trachée est serrée, oppressée. Elle suinte un sang léger jusqu'à l’œsophage qui peine à l'encaisser. Mais calme. Calme qu'il parvient à leur accorder, compréhensif et intrigué qu'il est sûrement, Harvey. Il congédie celui qui se tenait à ses côtés, il instaure cette tranquillité, cette espèce d'intimité pour les mauvaises nouvelles qu'il se doit de présenter. Les lippes se pincent, les phalanges usées font leur chemin jusqu'à la poitrine ; toux légère, toux inquiétante, toux réprimée. Il ignore la boutade, n'y concède qu'un bref rictus tandis qu'il reprend de sa hauteur. « No, not really. I mean... If the Devil have a name, I know which one it is but... » Mais ce n'est pas le sujet, l'attention est ailleurs, impatiente. Le temps passe, les secondes s'écoulent et chaque pas en dehors de ce sentier mène celui qui se trouve à ses côtés au plus proche d'une porte qu'il ne pourra plus passer. Les doutes. Les doutes s'installeront sur ses épaules. Les rumeurs serpenteront jusqu'aux sièges usés des lieux qu'il vient de quitter, et les mensonges commenceront à se répandre ; comme la peste dans les rues sales d'une ville en plein déclin. Un désastre. Aussi simple et efficace, imperturbable, et le nom de celui qui incarne pourtant la justice et la raison sera sali. Il veut épargner cette chute à l'officier qui lui fait face. Il veut chasser les ténèbres qui s'avancent, asphyxier le brasier qu'on alimente. « But it's not... I've to talk to you 'cause... » Et le regard s'abandonne sur ces vitres à peine dissimulées, sur ces bureaux qu'on devine à l'intérieur des murs devant lesquels ils se sont arrêtés. Là, il les croise, ces prunelles qui guettent et observent. Le démon cherche à lire sur les lèvres, contemple la scène qui lui est donnée. Les doutes. Les doutes pourraient avoir à s'élever, à gangrener les faits et les gestes – la sérénité. « Not here. » Pour conclure, pour affirmer l'urgence de la situation. Not here ; parce que les malins sont nombreux qui se cachent derrière des masques trop bien portés.

Marche lente, marche hasardeuse. Le nid infecte qu'ils quittent pour rejoindre ces pauvres terrasses, ces cafés isolés. L’œil est curieux et alerte, l'iris devient sentinelle sur ces alentours explorés. D'une main légère, il invite l'officier à se joindre à lui là où chaleur semble peu à peu irradier, en plein cœur d'un lieu public où les oreilles ne peuvent décemment pas traîner. « You... You want something ? » Il propose, sans savoir si le portefeuille loge dans ses poches. Il était parti dans la précipitation, cherchant un élément avant qu'un autre ne s'appose à son regard. Une enquête qui en apporte une autre – et tout se lie, tout se rejoint sans qu'aucune ligne ne puisse être appréhendée. Une pause alors, la pulpe des doigts qui flirte avec ce que la poche intérieure de son manteau dissimule. Un vol dans les archives de la maison des autorités. Un vol qu'on pourrait lui condamner, mais il l'a fait pour le bien commun, pour que la gangrène puisse au moins d'un quart être soignée. Il ne laissera pas cette noirceur étendre son règne sur ceux qui bataillent encore en un nom méprisé. Justice. Justice qu'on moque pour ce qu'elle devient, le contraire de cette définition désormais bafouée. « Ok... I may have done something stupid, well... almost. But... there's a but in this story. I found something, in the archives... I know I've not right to look at them, I know. Just, let me finish... ; les mains levées, l'accusation qu'il est prêt à encaisser. Mais les raisons sont bonnes, les volontés louables. Il le fait pour le bien commun, il le fait parce qu'il refuse de voir ces étincelles s'évaporer. Here... There's your name in this. It's about a woman, she hang herself last month. I don't know what happened, I know you were in it, but the report says you could be the reason of why she had take her own life. » Il l'a tendu, non sans trembler, ce papier volé. Il lui délaisse cette preuve arrachée, cette pièce manquante à une affaire qu'on essaie de falsifier. « It's Hartman signature, I know it too well. » Il hausse les épaules, presque dépassé par la situation. Ce ne sont pas ses affaires, il emprunte un chemin qui n'est d'ordinaire pas le sien – mais l'instinct, encore. L'instinct réclame de le voir un peu plus lutter – quitte à s'y salir les mains, tant que vérité est rétablie et celui-là épargné. « Did you know about all of this ? »                               





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▬ Lun 30 Oct - 13:34 ▬

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Ft.Mark Dewitt
L'air grave, les sourcille qui se froncent encore. Un mauvais vent commence à se pointer, t'a croisé un oiseau noir perché à ta fenêtre ce matin... Ouep, cette journée serra définitivement une journée de merde, pour que le bon Mark se dépêche comme un beau diable... ouais, ça a l'air d'être niqué pour aujourd'hui.

Les perles marron acérés se pose sur Herr Dewitt, qui cherche ses mots, respiration saccadée et rapide, le regard fuyant sur les personnes présentes. Tu commences à douter toi aussi, regard que tu viens lancer maintenant aux personnes environnantes. Un simple hochement de tête a son : not here.

Ça ne serra pas ici, tu respectes son choix alors que vous commencer à traverser la rue, pour ironiquement pas trouver du travail, mais trouver un petit coin isolé. C'est à la table extérieur d'un vieux café que vous posez vos culs, Dewitt qui propose ? Eh beh, il n'est pas fauché s'mois ci ?

'' Ouais, j'veux bien un café serrer, merci. '' Tu prépares quand même ton portefeuille dans ta poche au cas où il n'a rien pour payer. Juste part acquis de conscience. Sourcille qui se fronce, nez plissé alors que Mark commence à baragouiner des choses, à s'expliquer, à trembler dans ses propres mots. Tu ne dis rien, ne le jugeant pas... il fait des choses pas très légales, mais si tu peux l'aider à coffrer quelqu'un, c'est déjà ça.

Papier que vient attraper, yeux avides de connaissances qui se poses sur le papier, des preuves... ouais, il n'a pas à fouiller comme ça normalement. '' July Blake...'' que tu viens marmonner entre tes dents, avant que tes sourcilles se haussent, alors que tes yeux se relever vers Herr Dewitt dès que les mots sont lâché.

''C....'est impossible. J'ai pris ça plainte pour compagnon abusif et violent ! J'lui ai parlé genre trois fois ! '' poing qui vient s'éclater sur la miséreuse table en bois qui se met à craquer.

'' Hartman... C'est quoi ce bordel ?! '' que tu viens grogner, et taper encore une fois pour exprimer ta colère. '' J'savais qu'on l'avait retrouvé pendue, mais pas que c'était ma faute. ''épée de Damoclès qui commence à être au-dessus de toi.

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▬ Dim 26 Nov - 19:15 ▬



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He wakes to find her in his bed, naked from the night before. She wakes and grins from ear to ear, thinking that she's won his heart. Then tells him "get your things and leave, until we meet again." He wonders if he's wrong or right, to have shared his love with her. If that's love then I don't know what is. If that's truth then I'm a fraud. If it's real then I must seem like such a fool to have saved my love for one.




L'invitation est prise, mais l'esprit est ailleurs. Il en oublie déjà ce qu'il proposait, la conscience s'ancre sur tout ce qui pourrait désormais se passer. L'injustice, la diffamation – une carrière qui pourrait si aisément partir en fumée. Il craint l'humanité et son infâme besoin de chaos, cette immondice qui pullule dans les consciences depuis que la ville se replie sur elle-même, comme un piège pour ces âmes qui y errent sans possibilité d'y échapper. Il observe, Mark. Il ne fait plus que détailler ; les informations sont données qu'il ne cherche plus à reprendre. Les dés sont jetés et pourtant, une part de lui réclame que cet instant soit effacé. Une part de lui insiste sur le fait qu'il aurait dû se taire, ne pas s'en mêler – au pire déchiffrer les incohérences de son côté avant d'en informer le policier. Il hésite et les traits se tendent. L'esprit devient le foyer d'un vortex sans nom, un maelström d'une et mille possibilités qui s'emmêlent jusqu'à ne provoquer que des maux, que des confusions. Il guette celui qu'il invitait, DeWitt, jusqu'aux murmures crachés, jusqu'à ce nom qu'il fait vivre dans un chuchotement délaissé. Pauvre femme dont on se serre à des fins personnels, son histoire qu'on module pour ternir la réputation d'un homme qui l'aura probablement aidé par des mots, des conseils, un réconfort avisé. On transforme la réalité, on salit une mémoire pour en bousiller une autre dans la foulée. Il est fatigué du monde, Mark. Il est fatigué de cette perfidie qui ne fait que s'accentuer. Las de tout ce qu'il ne peut pas contrôler. Un sursaut prend cependant les chairs, un frisson mauvais serpente contre le dos jusqu'aux épaules. Conscience s'éveille en un élan, l'instant se rappelle avec l'effet d'une claque froide et belliqueuse. Il l'a sent qui flirte avec les environs, cette colère qui vient de naître. Elle s'approprie jusqu'à l'air qu'elle rend vicié, jusqu'à ces façades qu'elle rend un peu plus grisées. Elle creuse les traits de celui qu'il conviait à le suivre et elle l'oppresse lui, Mark, puisqu'il peine si pitoyablement à l'encaisser. Dépassé par les événements, à se penser à même de canaliser cette incompréhension qui fulmine ; mais le cœur est déjà aux abois, à craindre les conséquences des révélations confiées. Il s'emporte encore, Harvey, et lui ne lève que brièvement la main pour tenter de lui faire comprendre qu'il leur faut rester discret, ne pas trop attirer l'attention sur les places qu'ils se sont appropriés. Ils ne sont pas assez loin des lieux méprisés. « I know it is not your fault. Everyone knows it. » Vérité qu'il clame, qu'il ne laisserait personne nier. Vérité qu'il prononce, DeWitt, comme si ça pouvait aider l'âme voisine à se calmer. Mais les orages sont puissants quand ils ont à se manifester – l'esprit est indépendant dans sa tumulte, il frissonne dès qu'il se sait en danger et les menaces implicites qui viennent d'être relevées sont réelles qui ne sont plus à négliger. On essaie de le faire tomber.

Il essaie de réfléchir, il observe autour de lui ; c'est l’instinct du détective qui s'éveille pour s'approprier le moindre indice, le moindre impair au paysage qui lui est donné de contempler. Les curieux qu'il évince, ceux qui se foutent de tout ce qui pourrait être en train de se jouer. Ils sont en terrain neutre, éloignés des vautours qui pourraient leur trouver autour. « Do you know why he's doing this ? » Présent qu'il utilise, vilenie qu'il ne pense pas à son coup d'essai. Combien de rapports ont été faussés ? Combien de carrières ont volé en éclat avant que quelqu'un parvient à déjouer les tours insensés ? « What happened between you and him ? » Une ancienne querelle, la promesse d'un poste convoité. Un rien qui pourrait tout expliquer, Mark qui ignore encore ô combien l'humanité peut être cruelle. Il croit que le concept de racisme est effacé, il croit en des circonstances atténuantes pour celui dont la signature semble flamboyer de rouge sur le papier concédé. Un malentendu, peut-être, qui sait. Il croit en cette simplicité, DeWitt, parce qu'il est las de se confronter à l'odeur nauséabonde du mal qui se répand comme coule l'eau des rivières endormies. « What did she told you the last time you saw here ? » Comprendre pour ne rien laisser au hasard. Il s'enfonce dans cette affaire que personne ne lui a commandité, Mark. Il s'enfonce dans cette nouvelle enquête sans même y prêter attention, plus que décidé à aider celui qu'il a laissé s'installer à ses côtés. « We... I don't know. We need to understand why he's doing that, but we can't spoke to him. He's to the police station and I could be arrested because I take this... » Les mains se joignent, à l'image d'un gosse qui sait qu'il a fait une connerie. Il veut aider, mais son premier élan résulte d'un vol pour lequel il pourrait être condamné ; surtout en sachant que ces biens appartiennent à la ville et à sa justice ; aussi corrompue soit-elle. « Do you remember the name of her boyfriend ? Maybe Hartman knew him ? »                                





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▬ Sam 9 Déc - 14:48 ▬

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Ft.Mark Dewitt

Le stress monte, te prend directement dans les tripes pour les envoyer dans les cordes, pour se prendre un bon vieux combos de jabs crochets et uppercuts, pour qu'ils s'écroulent au sol. Heureusement que les mots de Herr Dewitt viennent te tirer de ta torpeur mentale, tes yeux se balancent vers lui. '' Merci... '' que tu viendras souffler rapidement, les doigts qui pianotent rapidement, nerveusement, frénétiquement la table. '' J'ai été droit dans mes bottes, voilà le remerciement que j'en ai... '' tu grognes dans ta barbe, t'enfonçant encore plus dans cette colère.

Instinctivement, ta main libres s'enfonce dans une de tes poches, venant caresser l'amulette de bois que tu conserves avec toi, une prière silencieuse a ton saint patron. Les yeux bougent, rapidement vers Mark. '' Je suis nouveau... ça ne fait même pas un an que je suis là... Qu'est-ce que j’aurais pu lui faire ? '' les pensées se remettent a galopé aussi rapidement que possibles, cherchant toutes les causes, possible et inimaginable... certaines te viennent en tête pour le coup. Et il enchaîne le détective privé, te forçant à te remémorer ce qui aurait pu se passer.

'' On a jamais trop parlé... les rares fois ou on l'a fait, ça a été cordial. D’après des collègues, y'aurrais de remarques sur ma couleur de peau, mais l'habituel quoi. '' pas grand-chose de significatif dans tes souvenirs. '' P'être parce que j'suis pas de Détroit et qu'on m'as fait venir de Denver... est-ce que ça pourrais jouer dans la balance ? Peut-être... Surtout si j'ai pris la place de quelqu'un sur lequel Hartman pouvais compter, c'est une piste comme une autre.'' que tu balances dans un premier temps. '' Ou il peut pas blairer ma gueule au point d'essayer de me faire tomber...'' nouvelle piste à explorer, nouvelle question de Her Dewitt.

'' L'habituelle, merci de m'avoir aidé monsieur l'agent, je vais pouvoir respirer de nouveau. Fin.. Rien de spécial, elle avait l'air soulagée. J'lui ai dit de rien et j'ai pris la poudre d'escampette...Elle semblait si heureuse, le fait qu'elle s'est fait passer l'arme à gauche... me fait tiquer.'' que tu viendras souligner. '' La piste d'un meurtre maquillé peux être envisagé aussi...''

Tu l'écoutes, le plus vieux qui a pris des risques pour sauver ton cul et t'éviter l'inquisition espagnole qui débarque chez toi en pleine nuit pour t'arrêter. '' Merci Mark, pour tout ce que tu fais. J'sais que tu prends des risques... ça ne serra pas oublier.'' que tu viens lui assurer, alors que le nom du copain est évoquer. '' Drake Leighsson Il n'est pas allé en taule, mais il a une mesure d'éloignement... je sais où il habite.'' presque instinctivement, tu viens attraper tes clefs affublées du logo nissan. '' On peut aller lui demander...''

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sanctuaire : southwest ; quand le motel bon marché est rallié. l'habitable d'un véhicule crade quand l'ivresse flirte avec les veines gonflées. parce qu'il erre, parce qu'il se perd. parce qu'il n'est finalement que chimère.
ombres et névroses : légion de vices, levé de coude récurent. l'amour des alcools pas chers et des cigarettes-cancer qui ravagent lentement la trachée. alcoolique, qu'elle disait. pathétique fut ajouté. il s'en contente, en plus de noyer sa peine dans une brève adrénaline derrière les jeux d'argent qui l'ont déjà bien dépouillé.
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▬ Dim 14 Jan - 23:22 ▬



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CODAGE PAR TETRADKE


He wakes to find her in his bed, naked from the night before. She wakes and grins from ear to ear, thinking that she's won his heart. Then tells him "get your things and leave, until we meet again." He wonders if he's wrong or right, to have shared his love with her. If that's love then I don't know what is. If that's truth then I'm a fraud. If it's real then I must seem like such a fool to have saved my love for one.




Il a craché toutes ses questions, il tente cette enquête alors que l'instant ne s'y prête pas. Il y a l'orage qui se prépare, la marée qui commence à monter. L'épave s'enfonce un peu plus loin dans les profondeurs, en proie aux monstres que le néant peut abriter. Il s'égare dans sa lancée, le valeureux lâche qui ne mesure pas l'impact des suppositions qu'il vient d'imposer. Mark et ses erreurs, Mark qui ne voit pas le danger avant d'y être pleinement confronté. Le regard va et vient, s'abandonne sur les alentours, puis sur la table – sur les phalanges qui y pressent, qui tapotent, qui trahissent l'agacement, les grondements du tonnerre pour lequel il s'était fait sourd. Puis le silence, l'attention rendue. Il écoute, les mots bus avec une certaine concentration. Il essaie de faire le lien, il essaie de relier les faits aux réalités qui lui sont confiés. La vérité sur la gangrène qui pullule en ces lieux désolés. Detroit et son racisme ancré. Detroit et son indéniable cruauté – Dieu fuyant devant les ténèbres qui s'y sont amassées. Il en soupire, l'homme qui ne parvient plus à respirer sous cette brume nauséabonde, sous ces houles infectes qui suintent l'irrespect et la haine. Elle n'était rien qu'une affaire pour l'homme qui se tient à ses côtés. Rien qu'une jeune femme parmi tant d'autres que sa bonté a permis d'aider. Il croit pouvoir imaginer ses dires, le sourire sur les traits de cette victime que les démons ont choisi d'ignorer. Enquête classée, un faux rapport en guise de chapitre final – quoi que désormais subtilisé. L'unique preuve de cette fausse accusation dort sagement entre ses mains, sous le joug d'un homme dont le courage manque affreusement – et pourtant. Il risque bien plus qu'il n'y paraît, rien que pour l'honneur d'un être qu'il n'a que trop peu fréquenté. Le cœur sur la main, la bonté en bourreau qui prend son temps pour sévir et abattre sa proie décidée. Il est au bord du cratère qui engloutira l'épave, mais il le fait par nécessité. Par besoin. Pour que l'infection soit plus ou moins endiguée. Sûr de lui, DeWitt, à d'ores et déjà envisager ces pistes énoncées – jusqu'à frissonner, jusqu'à en sursauter. Là, cet élan que l'autre en vient à clamer ; un aller jusqu'au domicile d'un homme instable, violent, probablement aliéné à la colère, à la haine des uniformes locales. Ses yeux se sont écarquillés, les lèvres encore pincées et scellées. Il croit s'être figé, en vient à douter de la paix qui devait régner sur cette journée. « I don't... I don't think it's a good idea... » Il s'y essaie, la raison qui tente de s'imposer.

Mais il l'a vu, Mark, cette légère flamme qui flamboie dans les prunelles croisées.
La détermination qui s'en mêle, qui tient à s'élever.
Elle veut grogner, elle veut gronder. Elle implose cette justice qu'on tente de chasser.

Fermement enfoncé dans son assise, il essaie de sous-entendre qu'il ne tient pas à s'y risquer. Il n'a que trop connu les affres de la déraison, cette légère démence qui peut prendre les esprits quand ils sont acculés. Il en a fait les frais, le naufragé, portant encore les cicatrices des violences qu'il a provoqué. La vitre qui explosait, sa carcasse qui y baignait, son sang qui maculait le sol de cette maison où vérité n'aurait jamais dû être prononcée. Il en frissonne encore, le pauvre bougre, avant que de toussoter. « What if he try to hit you ? Or me by the way, because you were thinking about both of us going there. And if he knows him, he could give us some wrong news and then tell him we're on his footsteps. » Ce serait alarmé le démon qui se drape d'un masque de justice. Ce serait l'alarmé sur l'épée qui pèse désormais au-dessus de sa tête et le rendre plus imprévisible encore – peut-être même plus impitoyable. « No, I don't think it's a good idea at all... Maybe you're right and it's because you took one of his friends place. » Il préfère imaginer cette alternative, unique éventualité qui lui semble saine et sans danger. Lâche qu'il est, l'homme que les filets de la déchéance ont déjà condamné. Il ne veut pas songer au fait que tout ait pu être maquillé, que des raisons bien plus viles encore se cachent derrière tout ce qui n'a pas été résolu. Il craint le véritable visage de ce supérieur, l'implacation du fou que fut le petit ami de cette pauvre demoiselle désormais enterrée. Il craint tout ce qui pourrait advenir s'ils s’avançaient plus avant dans cette affaire. Il se sait voué à l'oubli des crevasses sous-marines, mais souhaite tout de même ne pas y reposer de suite – pas en sachant que tant de choses sont encore à honorer. « In the end, I've his record about this case, so no one's gonna read it now. You're safe as far as he doesn't know that we know. See what I mean ? » Si déterminée, cette tentative de le faire revenir sur ce qu'il était prêt à orchestrer. Mais il sait, Mark, qu'il ne sera pas assez fort pour le retenir s'il décide de tout de même y tenter sa chance. Il le sait, lui qui suivra malgré tout – parce qu'il a l'endocarde qui ne peut rester immuable face à ces infectes faits, parce que sa loyauté envers ceux qu'il estime est plus accentuée qu'elle n'y paraît.                                 





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Well I came upon a man at the top of a hill, called himself the savior of the human race. Said he come to save the world from destruction and pain, but I said : how can you save the world from itself ?
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Harvey Booker
Harvey Booker
l'ogre joviale

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sanctuaire : Un petit appartement a Eight Milles Road.
ombres et névroses : Le physique est digne d'un ogre, certain disent qu'il fait deux mètres cubes... Un mètre quatre-vingt-huit pour une centaine de killo, fit. Ancien boxeur poids lourd et ancien joueur de foot américain au poste de défensive back.
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▬ Lun 22 Jan - 10:58 ▬

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Ft.Mark Dewitt

[justify]Her Dewitt se met à parler, pour... T'impressionner. Il s'oppose à ta folie fougueuse, avec un peu de recule, car il a peur de la baffe, tu penses. Ton sourcil ce hausse. '' S'il essaye de te frapper ou de me frapper, il va finir avec un coup de poing dans les chicots, je vais tellement le maraver qu'il va ramasser ses putains de dents et sa mère ne le reconnaîtra même pas. ''

Rageur, rempli de colère alors qu'un coup de poing est donné dans la table. Colère qui monte, qui vient comprimer le crâne pour laisser les parties les plus connes de toi évidentes. Tu as beau être calme, grâce à ton métier de flic... mais quand tu le fais bien, que tu ne fais chier personne et que tu es évidemment plongée dans la merde juste pour te faire dégager... ça te fous la rage.

'' C'est probablement ça ! Ou ce bâtard ne peut pas me piffer.'' Les doigts qui viennent mécaniquement tapoter la table tel un piano, si c'était un vrai piano, les notes seraient fausses. Tu cherches, recherches et retournes la chose dans tous les sens... Trouver la meilleure façon de régler cette affaire qui semble déjà interminable et minable.

'' Pour le moment mon cul est sauf grâce à toi. Le but étant que tu ne sois pas dans la merde... '' que tu viendras ajouter, alors que les yeux vadrouillent à droite à gauche. À la recherche d'une meilleure idée. '' La seule chose que je vois, c'est de brûler ce maudit rapport pour brouiller les pistes un peu plus longtemps, mais le problème se reposera rapidement. ''

Tu pensais que ça serait mieux ailleurs, mais... non. Détroit est un rivage sombre qui réveille la cupidité des gens, même chez en théories les plus droits ils se tirent dans les pattes, pas étonnant que le crime ait encore de beaux jours.

La main qui vient frotter ton crâne. '' Si tu as une idée probante… C'est maintenant '' les nerfs que t'essayes de calmer pour ne pas faire tout foirer, pas de précipitation. Les yeux qui se reposent sur la carrure de l'Allemand, qui n'est pas rassuré non plus.

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Mark DeWitt
Mark DeWitt
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ombres et névroses : légion de vices, levé de coude récurent. l'amour des alcools pas chers et des cigarettes-cancer qui ravagent lentement la trachée. alcoolique, qu'elle disait. pathétique fut ajouté. il s'en contente, en plus de noyer sa peine dans une brève adrénaline derrière les jeux d'argent qui l'ont déjà bien dépouillé.
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▬ Dim 3 Mar - 17:02 ▬



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He wakes to find her in his bed, naked from the night before. She wakes and grins from ear to ear, thinking that she's won his heart. Then tells him "get your things and leave, until we meet again." He wonders if he's wrong or right, to have shared his love with her. If that's love then I don't know what is. If that's truth then I'm a fraud. If it's real then I must seem like such a fool to have saved my love for one.




Elle gronde, la rage qui s'est immiscée. Elle se trahie sur les prunelles de l'homme qu'il contemple, Mark, un peu pris de court – autant qu'effrayé en vérité. Pas de la personne en question, seulement des conséquences qui auraient alors à s'imposer. La perte d'une place où sa droiture et sa raison sont nécessaires pour que certains puissent encore prospérer. Il est un exemple de la justice, la grande, Harvey. Il craint pour son intégrité, pour tout ce qu'ils auraient alors à inventer sur cette présence qui ne jurait que par des valeurs et une trop grande bonté. Les lippes pincées, il acquiesce encore aux soubresauts haineux qui viennent reprendre leur droit. Oh, il l'entend parfaitement, cette colère qui ne cesse de crépiter. Elle en devient venin dans les veines de celui qu'il venait avertir. Mark dépassé, Mark qui craint désormais d'avoir fait une connerie – déterminé, cependant, à ne pas laisser cette espèce d'ange saccager le destin qui lui incombe. Les phalanges s'activent, s'agitent – il écoute en essayant de raisonner. Il fouille l'esprit à la recherche d'une idée, captivé par tout ce que Harvey peut encore cracher. Ces mille et une possibilités qu'ils passeraient l'après-midi à supposer. C'est plus profond, c'est plus infecté. Il a vu dans le regard de ce supérieur toute la haine et tous les vices auxquels il s'est laissé drainer. Sa vision lui inspire des sueurs froides, des frissons nauséabonds. Il aurait dû s'y prendre avant, fouiller davantage les profondeurs-boucliers que cet autre à ériger autour de lui. Il aurait dû, le peut encore. L'idée est là qui ne germe encore que de moitié. L'idée est là qui commence à émerger avant que l'attention ne soit récupérée. Il a secoué la main, DeWitt, comme pour faire comprendre qu'il n'a encore rien fait. Il a volé, il a enfreint quelques lois en s’avançant dans les archives d'une police censée être alliée. Il est devenu criminel, le détective, mais pour une cause qui en vaut clairement la peine. Et il en appelle à ses idées, justement. Harvey s'en remet à lui en dernier espoir – un poids nouveau sur les épaules de la carcasse fragilisée. « I... I don't know. » C'est tout ce qu'il parvient à avancer – même malgré les petites voix qui commencent à s'imposer. Il y a un moyen, il y a une solution à ce qui est en train de se jouer. Il pourrait en devenir acteur, au péril de tout ce qu'il a tenté de sublimer. Sa carrière, le dernier lien qui le maintienne encore à cette triste réalité. Il aurait à tout risquer, Mark, pour que la vérité puisse être rétablie et l'âme de cet autre alors mise en sécurité.

« Well... I may have an idea. But... »
Les épaules haussées, les traits encore abaissés.

Sur la table, les phalanges dessinent quelques volutes qui appartiennent au passé, des schémas que l'esprit ne cesse de dessiner pour tout ce qu'ils parvenaient à supposer. Sur la table, le souffle s'écrase, le soupir se perd alors que l'être se redresse dans son assise, le dos qui épouse le bord de la chaise, l'éclat faible des prunelles qui va et vient avant de s'abandonner sur les rues bondées que les vitres dépeignent. Detroit est triste. Detroit est infectée. Detroit est sur sa note finale, sur le chemin de la déchéance. Mais les lueurs persistent, ici et là, elles émanent des silhouettes inconnues et discrètes. Des parcelles de bien qui voguent en silence pour se masquer à la pourriture qui continue de s'élancer. « But you have to let me do it. I can find something about him, something that will leads him to a trial. I know he's hidding something, I just need to know what. » Il expose les faits, il dévoile ses pensées – ses doutes quant à celui qu'il a salué avec toute l'hypocrisie qu'il était en mesure d'user. Instinctivement, la paume se frotte au jean délavé, cherchant à faire disparaître les restes de cette présence en ces lieux éloignés. « I don't know how many time I'll need to do it, but you're right. We can make that dissapear ; le rapport qu'il désigne, l'auteur des mensonges que nul ne doit lire. It will buy us a little bit of time. » Une possibilité, l'espoir qui porte la voix à s'exprimer. Il lui offre une porte de sortie, il en vient à lui supposer la sérénité pour l'avenir qu'ils auraient à jouer. Il se propose, DeWitt, pour fouiller la vie de cet être qui en cache plus qu'il ne le devrait. « But you have to promise me you won't go after him. » Les efforts que l'instinct de Harvey aurait à ruiner, il essaie de se convaincre qu'il sera assez rationnel pour acquiescer. Qu'il n'y aille pas, qu'il laisse les choses se jouer jusqu'à pouvoir prouver que l'autre est une pourriture à enfermer. Encaisser encore un peu les faux semblants de ce supérieur dangereux, jusqu'à ce que le métal puisse orner les poignets de celui qui ne mérite ni le badge, ni le grade dont il a hérité. « Ok ? I'll find something, but you have to keep a low profile until then. »                                  





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▬ Mar 19 Mar - 16:05 ▬

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Ft.Mark Dewitt

[justify]Les doigts pianotent la table de plus en plus rapidement, durement. À en faire craquer les os, alors qu'une veine vient maintenant se former sur le côté de ton front, les traits se durcissant plus que d'habitude.

Ça gronde à l'intérieur, ça gronde de colère, de rage. Mais de justice... Justice qui t'est très chère, qui fait battre le cœur qui aurait dû être mort une paire de fois en voyant les pires atrocités de la race humaine. Ton saint patron spirituel a décidé de te mettre sur cette voie. Il est normal que des épreuves injustes soient positionnées sur ton chemin.
Sans crier gare, le poing vient s'abattre sur le plastique de la table, faisant trembler les cafés englobé de plastique de mauvaise qualité, avec nos noms écrit avec des fautes d’orthographe. '' Putain de bordel de merde ! J'suis furibard !'' que tu viendras grogner, les traits du visage se déforment pour laisser place à la colère, la plus pure.

Les yeux se reposent sur le pauvre Herr Dewitt qui doit faire avec ton mauvais caractère qui ressorts bien trop. Mais, dans cette tempête, il arrive à faire face avec ses mots. L'idée qu'il n'avait pas, arrive.
'' Je t'écoute. '' Voix qui trépigne, toujours le poing serré alors que les mots se distillent dans ton esprit, yeux river sur la carrure presque tremblante du détective. Les précieuses informations tombent. '' ça m'étonnerait pas qu'il ait quelque chose à cacher, s'fils de pute. '' que tu viendras dire. Laissant le temps de parole au plus vieux.

'' On peut emprunter du temps supplémentaire, ça te laissera le temps de fouiller. Dans le pire des cas... J'peux m'faire mal sur une intervention. '' Toujours gagner du temps, seule optique viable sur laquel, vous pouvez jouer. '' J'irai pas lui enfoncer mon poing dans ça gueule. Je vais pas risquer ta peau Dewitt. ''

Simple hochement de temps. '' Courage soldat. Merci pour ce que tu vas faire. ''

:copyright:️ Belzébuth
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