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 there is no humanity in this, only wrath | sandro

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Salvatore Valente
Salvatore Valente
vulture

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : midtown, dans les belles allées, là où toutes les haies sont taillées. dans les tréfonds de ruelles isolées, grande bâtisse qui dévoile le luxe d'une vie d'ores et déjà bien entamée.
ombres et névroses : un tatouage, une appartenance à une famille en laquelle s'est placée toute son allégeance. il est là, ancré contre la chair que les tissus onéreux habillent depuis des années. un œil de verre pour masquer les affres de bien des hostilités, couleur différente de cette prunelle qu'il lui reste pour l'instabilité que ce misérable détail parvient à insuffler.
cicatrices : 164
crédits : chat.noir (c) astra (c)

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▬ Lun 8 Jan 2024 - 23:41 ▬


no humanity, only wrath
▬ The only thing that scares me is being forgotten. I can survive most things, but not that. ▬

Sous les lueurs vacillantes, le cœur pompe avec maladresse. Dans les ombres qui occupent le manoir, il y a ces litanies qui serpentent, des prières infâmes qui s'élèvent pour régner. Les larmes se sont séchées, des cristaux toxiques éparpillés sur les tapisseries soignées. Il n'y a plus que l'absence qui se prolonge, un silence nauséabond qui oppresse pour corrompre. Et il y danse, Salvatore, un ballet morbide pour l'encéphale qui ne parvient plus à raisonner. Il y a ces mots qui résonnent, la trahison qui s'ancre contre l'endocarde fatigué. Les paroles bravent les lourdes portes qu'on garde, les couloirs et les escaliers jusqu'à la pièce devant laquelle il s'est arrêté. Poussière s'accumule, poussière persiste à s'y installer. Elle est terne, aussi livide que les traits du fils pour qui mille et une promesses étaient murmurées. Sous les lueurs vacillantes, par delà les fenêtres fermées, l'ancien Valente réapprend à respirer. Un soufre tumultueux, un air de colère. Des inspirations brisées, saccadées, qui chantonnent si aisément les comptines d'une haine soulevée. Puis un soupir, les poumons vidés. La vie qui flirte avec les pulpeuses quand la chambre reste immuable, linceul des souvenirs qui peuvent y rester préservé. La manette sur les draps défait n'a pas bougé, le voyant de la console continue de clignoter. Et sur la table de chevet, ce pauvre luminaire à l'ampoule brûlée. Les phalanges usées ajustent la veste, le col qu'il recourbe sur la chemise immaculée. Derrière l'iris clair, les images se sont imprimées. Le sang qui coule sur la nappe, le regard sans étoile de la progéniture qui s'attarde sur la sienne, figé dans le temps, figé dans sa douleur. Ainsi naissent les regrets, l'impuissance, la honte d'une soirée qu'il ne pourra effacer de cette mémoire exténuée. Elle surpasse les vieilles années, tout ce qui alimentait la fierté et les petites joies des décennies écroulées. Le souffle un peu plus rapide et le regard s'abaisse, lorgnant sur cette porte qu'il n'ose pleinement franchir. Il y a cette barrière qui y tient encore, même des mois après. Le deuil est là, pas moins violent qu'il ne le fut. L'absence, le néant qui enserre les muscles et l'humanité. Il en tremble légèrement, Salvatore, avant que la main de Sergio ne vienne l'aider à se retrouver. Une ancre dans l'immense océan agité qui n'aspire plus qu'à le noyer. Le phare dans ces ténèbres plus opaques à chaque jour que Dieu fait. Dieu, vile créature qui s'est détournée de sa lignée. Dieu qu'il a tant prié, le cauchemar qu'il voulait voir s'arrêter. Dieu et son silence, Dieu et son ignorance. Il a tiqué, l'accablé, avant que les mots ne percent le voile du mutisme dans lequel il en venait à se terrer. « It's time, sir. » Il a acquiescé, luttant contre lui-même pour se défaire du tableau qu'il observait. Ces lieux où nulle vie ne vient plus s'exprimer, là où les cris de rage et de joie ne peuvent plus être proclamé. Il n'y a rien que le grésillement des appareils qui surchauffent, rien que ce sifflement strident qui rappelle cette unique seconde où le tir explosait. Il a acquiescé, Salvatore, avant de parvenir à s'en éloigner.

Cinq mois sont passés. Cinq mois durant lesquels il ne s'est qu'à peine déplacé. Cinq mois à ruminer les mots de celui qu'il pensait loyal et fidèle, une figure d'autorité qui n'inspire plus que cette déception, cette rage affamée. Cinq mois durant lesquels de vieilles connaissances ont refait surface, au cours desquels des liens se sont faits. Il joue avec les ombres, Salvatore, il s'en remet à ce que le passé lui avait inculqué – servir les siens, leur épargner la déchéance qui s'accumule sous le joug du plus jeune qui refuse d'entendre sa vérité. Maurillo Calabria n'est plus un allié ; même s'il en prétendra le contraire jusqu'à voir la couronne lui être arrachée. Il se l'est promis, et cette simple idée en devient une nécessité. Pour l'honneur du nom qu'on a souillé, pour la mémoire de ce jeune fils qu'on lui refuse de venger. Cinq mois sont passés, déjà, et il quitte pour la première fois son repaire. Il redécouvre les brises légères d'un hiver qui s'est avancé, les éclaircies brèves des lampadaires insolents. Il s'avance dans l'allée du manoir, Salvatore, avec le poids de la perte sur les épaules et le feu de la colère sous les veines. « Do you want me to call him, sir ? Just to be sure he'll be there. » Négation mimée, l'improviste qu'il tient à acter pour parfaire tout ce qu'il se doit de monter. Il ne veut pas qu'on sache, il ne veut pas qu'on soit tenté de le veiller. Il ne veut pas de cette attention qui autrefois le faisait vibrer. Pas encore, pas de suite. Cinq mois sont passés, et il pose pour la première fois depuis un pied dans le centre de cette ville triste et méprisante, là où la sécurité est fiable et vérifiée. Il laisse tout de même Sergio s'élancer, prendre les devants pour s'assurer que Falconi père est bien présent, pas réellement accompagné. Un signe de la tête et carcasse s'élève, retrouve comme un semblant de splendeur. Les émotions dissimulées, le poids du monde ravalé – la prestance qui s'affirme quand les portes sont passées. « Sandro, old friend. Il s'avance, la voix est dénuée de tristesse, dénuée de ce vide qu'on lui suppose encore. Différent, à jouer encore un rôle quand la vérité est toute autre. Il se drape d'assurance, l'ancien qu'on a su pleinement faire vaciller. Lara supposait un dernier combat, il en fait une guerre à part entière et s'affaire à retrouver une armée pour la parfaire. I see you're doing good. » Les alentours qu'il désigne, ce sourire qu'il affiche avant de réellement le saluer. Les embrassades légendaires des italiens aux sombres secrets. La bise, puis les pas qui s'avancent dans ces lieux prisés. « I assume your son isn't here, doesn't it ? »    

.tetra




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Heartless and left for dead.
close your eyes, so many days go by. easy to find what's wrong, harder to find what's right. i believe in you, i can show you that. i can see right through all your empty lies. i won't stay long in this world so wrong. because hell is my home, and home is all i got. »
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Sandro Falconi
Sandro Falconi
Martyr

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : Downtown
cicatrices : 48
crédits : tag

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▬ Sam 20 Jan 2024 - 16:24 ▬


Il y a ces rêves récurrents en ce moment. Trop réels pour ne pas l’être. Les moments qu’il revit. Le sourire d’Eva, les rires de ses fils qui remplissent leur maison, tous les quatre, famille presque parfaite construite par des gamins devenus parents trop jeunes…Ils ont tout fait plus vite que la moyenne. Ils se sont connus à l’église, gamins, ils se sont cherché à l’adolescence, se sont trouvés au lycée et ont fondé leur famille à peine diplômés. Livio était un gamin précoce, intelligent, parfait, à l’image de sa mère. Ezio aussi, plus réservé, plus calme… brillant aussi…  Et tout se casse la gueule.
Si vite. Un lit d’hôpital, un repas, un cercueil. Mais ce n’est pas le corps d’Eva qu’on lui prend, qui rejoint le crématorium, mais celui de Livio. Coincé dans sa boite en bois, qui tape contre, avant de disparaître dans les flammes. La voix d’Eva. C’est sa faute. Il le sait… Le réveil est brutal. Pas autant que le rêve, pas autant que cette soirée de juin qui leur a enlevé un des plus jeunes. Pas autant que la douleur partagée, que la peur et la trahison d’autres.  
Sandro est devenu veuf bien trop tôt…. Mais il ne peut imaginer perdre un enfant.  
Et Dieu sait qu’il menace son aîné de lui faire bouffer son ego violemment parfois. Qu’il n’en peut plus de son comportement, qu’il fait tout pour éponger ses conneries, sans aucune reconnaissance derrière. Ingratitude qui mérite des claques. Comme celles que son père lui a foutu quand il était plus jeune.
Le calme de cette journée se fait d’ailleurs sans la présence d’aucun. Pas le père, pas le fils, juste lui. Pas au Casino non plus mais à leur boutique. L’hiver amène pas beaucoup de clients, et une bronchite cloue au lit le vieux Falconi depuis quelques jours. Un petit rhume comme il dit, mais ça l’empêche pas de gémir comme un mourant toute la nuit à cause d’un nez bouché et d’une toux, selon sa femme. Et Livio? Son jour de congé. Sandro est donc seul derrière le comptoir de casse à vérifier des points de comptabilité, de la gestion..

La cloche qui tinte à l’entrée, le regard qu’il lève et croise celui de Sergio. Un petit signe de tête, une salutation, il sait très bien qui va suivre. Il pose son style, éteint l’écran de la tablette qu’il pose dans l’étagère cachee au comptoir et s’approche de Valente, un sourire poli aux lèvres. Il apprécie toujours la présence de Salvatore, comme un oncle, comme une figure qui a toujours été là dans sa vie. Il était l’adulte à respecter, celui qu’il respectait plus que son propre père, parfois. Les annés ont passés et le respect s’est instauré entre les deux hommes, d’égal à égal. Ou presque.
La nuit de Juin se voit toujours sur les traits de Valente. Plus fatigué, mais toujours la tête haute. thank you, my friend. We’re here, still standing. So are you La bise, la tape dans le dos qu’il lui offre, accueillant, il est ici chez lui. you assume correctly, neither is my dear Father.. Coffee? You too, Sergio? La machine à café de grande marque italienne dans un coin de la pièce, les canapés luxueux au milieu, tout est fait pour qu’on se sente bien, qu’on prenne le temps, qu’on désire vraiment ce costume qui nous donnera le même rythme de vie. Please, sit down. What brings you here?  What can I do for you? Il pourrait avoir une idée, il sait que ce n’est pas pour parler costumes. Ou que ça serait une excuse qu’il était prêt à accepter.

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Salvatore Valente
Salvatore Valente
vulture

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : midtown, dans les belles allées, là où toutes les haies sont taillées. dans les tréfonds de ruelles isolées, grande bâtisse qui dévoile le luxe d'une vie d'ores et déjà bien entamée.
ombres et névroses : un tatouage, une appartenance à une famille en laquelle s'est placée toute son allégeance. il est là, ancré contre la chair que les tissus onéreux habillent depuis des années. un œil de verre pour masquer les affres de bien des hostilités, couleur différente de cette prunelle qu'il lui reste pour l'instabilité que ce misérable détail parvient à insuffler.
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▬ Dim 25 Fév 2024 - 23:27 ▬


no humanity, only wrath
▬ The only thing that scares me is being forgotten. I can survive most things, but not that. ▬

Sécurité qu'il vient chercher, la loyauté à rappeler, les croyances à accentuer. Sécurité qu'il vient réclamer, Salvatore, pour taire le vortex incessant de son âme, pour que s'apaisent les rafales infâmes de la perfidie sur la mémoire vacillante. Il croit ne plus entendre l'écho des rires de son fils, ni la voix magnifique de sa fille. Ils s'étiolent, appartiennent de plus en plus au passé. Ils s'envolent, suivent le courant des vents imparables vers des contrées qu'il ne peut encore fouler. Trop vieux pourtant, pas assez pour succomber au plaisir de la sérénité. Il lui a fallu du temps pour se relever, trouver le courage d'affronter le monde et ses murs qui n'ont pas bougé. Les fondations putrides de cet univers où Dieu s'acharne à essayer de le tenter – pour que sagesse soit abandonnée, pour que le soldat d'autrefois puisse enfin s'éveiller. Il s'est animé d'un nouveau feu, Salvatore. Il vient récolter les graines d'un prochain pré ; plus verdoyant, lavé des mauvaises herbes qu'il vient d'y découvrir. Foi bâclée, insultée. L'honneur sur lequel on a craché. Il veut laver son nom, sa dignité. Il veut réparer l'affront qui lui a été fait. Alors le sourire reste, maigre, mais bien installé. Il s'est avancé, Salvatore, comme si le deuil n'était pas à peser sur ses épaules fatiguées. Qu'on le voit, qu'on se souvienne de ce qu'il est – le serpent caché, le poison qui patiente dans l'ombre de leur soleil adoré. « You assume correctly, neither is my dear Father... Coffee ? You too, Sergio ? Il a acquiescé, l'offre alléchante qu'il ne peut réfuter. Les pas s'orchestrent dans la boutique, il va et vient pour reprendre ses marques, retrouver sa place d'antan. Il a tant foulé ces sols, Valente, qu'il en a oublié les bienfaits des visites qu'il y menait quand le temps lui était donné. Du temps, il en possède désormais plus qu'il ne l'aurait souhaité. Please, sit down. What brings you here ? What can I do for you ? » L'assise, il s'en approprie aussitôt. Il s'arme de prestance, d'assurance. Il s'arme de cette grandeur qu'on lui connaît, celle qu'on craint de voir plier. Il ne donnera aucune satisfaction à ceux qui espèrent le voir s'effondrer. Il tiendra, Salvatore, parce qu'il a choisi de se battre plutôt que de succomber. « I wanted to know what were the news, that's all. » Les nouvelles, les rumeurs, les chuchotements qu'il aurait pu ignorer. Ceux qui auraient pu passer sans qu'il ne soit à même de les écouter, bouffé de chagrin avant que les tambours de la rage n'aient à résonner.

« And I wanted to know how you're doing. Precisly after what happened. »

Sans nommer les faits, le sang qu'il ne veut pas se remémorer, le regard vide du fils – les étoiles qui n'y dansent plus, les ambitions éteintes et la perdition sur ses traits figés. Sans nommer les faits, Salvatore, parce qu'il craint que le tableau immonde que la mort lui a concédé ne revienne hanter ses longues nuits d'errance et d'insomnie. Il doit se relever, un peu plus grimper les marches vers les rayons chaleureux et glorieux. Il a encore à faire, Valente père, avant que son sort ne soit scellé. « Most of all, no one seems capable to give me news about my daughter. » Personne n'a osé l'approcher depuis le meurtre impuni qu'il a essuyé. Personne n'a osé rappeler l'avancement de ces recherches pour celle qu'il tient encore à retrouver. Il la croit vivante, piégée dans un sous-sol quelque part. Il la sait vivante, Salvatore, le cœur encore à même de trembler fébrilement de quelques battements volés. Il ne s'est pas totalement éteint, l'espoir subsiste sous les chairs fatiguées. « I was wondering why, so I came to see you. » Un haussement d'épaules, enfin. La confiance qu'il rappelle au centre de l'attention, l'honnêteté de cet homme sur laquelle il espère pouvoir se reposer. Il cherche ses alliés, Salvatore, pour parfaire les rangs de ce qui s'annonce autant prometteur qu'insensé. Folie qu'il orchestre dans l'obscurité de sa demeure-mausolée. Une nouvelle ère pour cette famille qui a trop souffert – un empire plus sûr, plus stable, plus meurtrier pour ceux qui oseront les approcher. Il veut parfaire ce règne qu'ils avaient à s'approprier. Il veut parfaire l'héritage qu'ils auront à laisser à la jeunesse qui reste – pour que paix puisse alors réellement s'instaurer. Une paix de l'âme, une paix du cœur.     

.tetra




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Sandro Falconi
Sandro Falconi
Martyr

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sanctuaire : Downtown
cicatrices : 48
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▬ Jeu 18 Avr 2024 - 23:18 ▬



Tout commence toujours par un café.
Machine à espresso italienne, de qualité supérieure qui ferait pâlir certains coffee shop du coin. Importée d’Italie y a des années pour donner une touche luxurieuse à la boutique, aussi. On vient ici pour les costards, mais aussi pour le personnel qualifié, chaleureux, autant que le nectar amer et doux servi dans une tasse d’une taille que les américains n’ont pas l’habitude. Pas un tonneau comme dans les chaînes qui vendent de la flotte aromatisée à des prix indécents.
Les trois tasses servies, la première pour Valente, puis Sergio , et enfin la sienne. Sandro va s’asseoir dans un fauteuil en face de son aîné. Il scrute ce visage fermé, les traits qu’il avait vu beaucoup plus animés, l’âge qui semblait se refléter de plus en plus, accompagné de la douleur. Pas moins charismatique, pas moins lui-même mais légèrement éteint, ou plutôt allumé d’une flamme d’une couleur différente. everything is quiet here. My father doesn’t want to stop working even if he can’t walk for two days after spending the full day working on a costume…You know him, I’ll be hanting this walls way long after his death. La tasse portée à ses lèvres, il a eu la décence de ne pas mentionner la situation de ses fils pour l’instant.

Il n’a pas eu à les enterrer, il n’a pas eu à leur dire adieu. let’s say… the wait is quite frustrating, not gonna lie to you Salvatore. I am wondering what we are waiting to give them their change. You know what we say, “Short reckonings make long friends”… should work for enemies as well. Ils ont été bafoué dans leur intimité, dans leur vie privée, dans leur famille. L’inaction des Calabria le laisse perplexe, il faut dire. Mais il reste assez évasif pour ne pas parler de tout ce qui se passe dans les moindre détails. I’m sorry about your daughter… I don’t know what happened either… I don’t think this is all connected I …we know how they operate S’il était arrivé quelque chose à la jeune femme, volontairement, il le saurait, non? Le plus important dans tout ça, souvent, c’est le message, savoir exactement qui a fait quoi, qui a blessé qui. Sinon quel est l'intérêt?
La tasse portée une nouvelle fois à ses lèvres. Il réfléchit, Sandro. and you my dear friend? What is on your mind Pas assez de temps est passé. Assez pour qu’ils aient cette conversation cependant. Il regarde vers Sergio, qui a l’air d’apprécier aussi la boisson. if someone is holding information about her, I’ll find them, and have a polite conversation with. Sandro et les conversations, les négociations… pour ne pas dire intimidation et plus. On pèse chaque mot ici.


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