well, i'm pretty classy, so anal ?

Jughead McNulty

nom McNulty, le genre de nom qui sonne comme un mauvais coup du destin, pas de quoi en faire toute une histoire, juste un nom de malchance que tout le monde doit supporter.
prénom(s) On a fouillé un peu pour trouver une signification, et tout ce qu'on a découvert, c'est "imbécile", "idiot", "fou". L'un de ces adjectifs doit sûrement s'appliquer pour qu'on m'appelle Jughead. Quoi, ça fait pas très "féminin" ? Mon deuxième prénom, c'est Perrine. Même si ça ressemble à « périnée », même si ça commence par le son « pet » et que ça termine plus ou moins par le son « urine », je suis pas sûr que ce soit spécialement mieux. Ça aurait pu être pire, comme « fourchette », donc je me plains pas trop. Éabha, parce qu'il fallait rappeler quelque part les origines des géniteurs apparemment.
âge Ah, 34 ans, l'âge où il est recommandé de prendre soin de sa santé. Ces précieux conseils nous viennent, bien entendu, du magazine "Femme Actuelle". Encore une de ces farces qui vous incitent à vous inscrire à des régimes "healthy" et à ne vous nourrir que de carottes comme un lapin affamé. Et pourtant, c'est amusant, car je suis née à Halloween, ma fête préférée, où je peux me délecter de bonbons sans culpabilité. Ne vient-on pas de parler de manger sainement juste avant ?
origines Les pays du Nord, la patrie, la famille, tout ce folklore qu'on essaie de respecter malgré toutes les conneries qui s'y passent. L'Irlande, ouais, c'est ça.
nationalité L'Amérique, ce pays qui semble avoir plus de McDo que de personnes avec une vraie couverture médicale. C'est le pied.
metier Anciennement vendeuse, barmaid, caissière, serveuse, escorte, petsitter, nounou... J'ai porté tellement de casquettes qu'on dirait que j'ai ouvert un magasin de chapeaux. Jamais eu l'occasion de réellement réfléchir à ce que je voulais faire, à un rêve, propulsée trop vite dans le monde des adultes parce qu'il fallait trouver de quoi casser sa croûte et payer le toit sur sa tête, accessoirement. Mais voilà, maintenant je suis propriétaire d'une maison d'hôte, mon propre patron. C'est complètement absurde, j'vous le dit
statut / orientation sexuelle

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Je ne suis pas certaine que l'âme sœur existe, mais si tu es doué de tes dix doigts pour m'aider avec ma fiche d'impôt, alors tu as déjà une longueur d'avance. Si tu espères que je vais t'écouter parler de ton ex qui t'a plaqué pour ton voisin, attend que je te raconte comment j'ai surpris mon mari à quatre pattes sur la table du salon avec un plug dans le fion et le facteur avec un fouet. Je parie que tu m'offres une bouteille de vodka en moins de temps qu'il n'en faut pour dire "divorce". Sache que si tu viens à la maison, il est fort probable que tu te cognes dans des jouets trainant partout, car j'ai trois enfants. Je pourrais te dire qu'ils sont l'amour de ma vie, mais soyons honnêtes, tout ce qu'ils m'ont apporté ce sont des vergetures, du stress, des problèmes de dos et des cadeaux qu'ils m'ont offert avec mon propre argent. Super les gars, merci. Je ne brûlerai pas le monde pour le bien-être de ma propre famille, alors, pour le leur encore moins, mais je les aime. Je les aime suffisamment pour leur faire comprendre comment envoyer une fille au septième ciel et surtout éviter que je devienne grand-mère. Si tu n'as toujours pas fui après ça, on peut prendre un café, on dit Jeudi à 15h ?
groupe fatidique - Black Crows. crédits faceclaim chat.noir

Jug, la virtuose incontestée de la répartie mordante, jongle avec l'humour comme un maestro maniant son épée. Elle ne rate jamais une opportunité de taquiner et de piquer. Ses mots, plus acérés qu'un couteau de chef étoilé, fusent avec une désinvolture déconcertante, peu importe si des âmes sensibles en souffrent. Elle riposte toujours avec une ferveur qui rend hommage à ses années passées à endurer un grand frère grognon. Le genre de frère avec lequel elle avait des disputes héroïques, échangeant des répliques dignes des batailles épiques qui auraient pu rivaliser avec celles des dieux de l'Olympe. Et pourtant, malgré les crasses et les petites bousculades, ils sont restés inséparables... enfin, jusqu'à la prochaine dispute.

Son humour est teinté d'un noir profond, tel un café corsé qui réveille les sens tout en laissant un arrière-goût amer. Pour ceux qui n'ont pas le courage de s'immerger dans ses eaux cyniques, cela peut être un choc. Se demande-t-on parfois si derrière ce masque d'ironie se cache un cœur qui bat pour autre chose que son propre reflet ? Bien sûr, la réponse est oui, mais elle préfère garder jalousement ses sentiments et se moque éperdument des mots doux et mielleux. Déclarer son amour ? C'est comme demander à un poisson de marcher sur la lune. Une idée aussi farfelue qu'absurde.
Jughead, la perle secrète de la famille McNulty, se révèle plus brillante qu'on ne le soupçonne. Derrière son air nonchalant se cache une intelligence qui brille comme une étoile. Elle poursuit sans relâche les offres les plus alléchantes, dévoilant un talent inné pour économiser chaque petit sou et transformant ses présents en véritables trésors à prix cassés. Jug, la négociatrice hors pair qui fait briller votre portefeuille autant que votre journée.

Quant à ses peurs, disons qu'elle est intrépide à l'exception d'une personne : son voisin, qui a une tête à faire fuir un alien. Vous savez, cette silhouette étrange qui vous ferait préférer un voyage dans l'espace plutôt que de traverser le couloir pour aller chercher le courrier. C'est pourtant ironique, car Jug adore l'horreur et les frissons qui vous font faire un arrêt cardiaque, mais son voisin semble avoir pris ça un peu trop au sérieux. Les conventions sociales ? Elle les piétine, les regarde de haut avec un sourire narquois, se moquant de la bienséance comme si elle dégustait un délicieux bonbon. Sortir en pyjama pour acheter une pizza à l'ananas ? C'est pour elle une véritable déclaration d'indépendance, une bravade aux normes du bon goût qui font dresser les sourcils de la société.

DETAIL INUTIL:
Daltonienne, une petite révélation qui a illuminé ma vie au moment de passer mon permis. Franchement, qui a besoin de reconnaître un feu "soi-disant" vert ? Oh, et je suis bilingue en langage des signes, tout ça grâce à mon adorable gamin qui semble avoir choisi la surdité comme mode de vie. Je cuisine divinement bien, à défaut de faire une division correctement. Au moins, j'ai mes priorités !

caractere

(c) bird box.

pseudo/prenom Suzaaane, Dora, Bernard, Henrishore, faite votre choix où avez vous connu le forum ? Dans les fav ♡ présence ça ne change pas, j'ai pas de vie sur 7. avez-vous lu le règlement ? [x] oui - par cette case cochée vous vous engagez à avoir lu le règlement et le concept du forum, à vous soumettre à ses règles ; nous ne validons pas sans cette signature. un commentaire ? Je crois que j'ai jamais autant trouvé de connerie a dire dans une fiche qu'aujourd'hui.

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Vous savez ce qui est le comble dans une famille comme la nôtre ? Ce n'est pas d'avoir une mère atteinte du syndrome de Diogène, et de voir le salon se remplir lentement d'objets qui me parlent aussi peu que la trigonométrie m'a parlé en cours. Ce n'est pas non plus d'observer votre père, qui semble s'en moquer éperdument, et de vous demander à quel moment il va finalement perdre la boule. Et cela n'a encore moins à voir avec le fait d'être classés si bas dans l'échelle sociale que même les aides sociales semblent avoir de la pitié pour nous. Non, le pire, d'après mon expérience, c'est d'avoir une fratrie dont le quotient intellectuel n'atteint même pas les deux chiffres. C'est dans nos gènes, et franchement, ça fait mal. Ça fait encore plus mal quand je réalise que je fais partie du lot, et que je suis condamnée à croiser les doigts pour espérer m'en sortir un tantinet mieux que le reste. Je ne suis pas croyante, mais j'ai souvent souhaité l'être plus jeune, espérant un miracle qui me réveillerait un beau matin avec un QI de 180. Malheureusement, ce que je récoltais le plus souvent, ce n'étaient que des bleus pour avoir tenté de grimper aux arbres avec les autres.

Si vous avez eu le "plaisir" de connaître mon frère, sachez que ma vie n'a pas été beaucoup plus reluisante. J'étais peut-être un peu plus studieuse et, soyons honnêtes, sacrément plus belle. Cela m'a permis d'échanger mes goûters dans la cour de récréation avec une facilité déconcertante, mais bien souvent, j'ai quand même fini dans le bureau du directeur. Qu'est-ce que vous voulez, il semble que le talent pour être un cancre soit une histoire de famille

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Sautons les détails d'une enfance qui n'a jamais connu le mot "joie" et plongeons directement dans l'épisode qui a fait sortir de ses gonds mon père, au point où j'ai pensé qu'il allait faire une syncope. Pourquoi donc ? Eh bien, à l'âge tendre de 17 ans, me voilà avec un gamin sur les bras. C'est ce qui arrive quand vous vous laissez séduire par le cliché vivant : un type un peu trop vieux, beaucoup trop Bad-boy, qui vous promet la lune et les étoiles, vous fait découvrir des choses qui vous font regretter de les avoir découvertes, et jure que vous êtes le centre de son univers. Vraiment, une idée brillante. Mais voilà, je suis tombée dans le panneau. J'ai quitté le nid familial pour échapper aux jugements et aux regards désapprobateurs de ma mère. Mais les remarques acerbes de certains, je n'ai pas pu y échapper. Tout ça pour finir dans son petit appartement, à jouer les équilibristes entre un job, les couches et les cours. Car, bien sûr, même s'il m'a mise enceinte et m'a juré que nous nous en sortirions sans l'aide de qui que ce soit d'autre, il fallait quand même que je décroche mon bac. Comme si c'était la clé du succès, au cas où le plan foirerait et qu'on me trouve suffisamment intelligente pour m'embaucher dans n'importe quel boulot.
Spoiler alerte : rien n'a fonctionné comme prévu.

Bien sûr, j'ai réussi à décrocher ce fameux diplôme de fin d'études, mais le soutien de mon petit-ami aimant et présent a fini par devenir aussi rare qu'une licorne dans un supermarché. Il a dû prendre un long congé. Il est parti, m'a laissé son appartement en guise de souvenir, mais il avait de "très importantes réunions de travail" à gérer, ce qui ne collait pas du tout avec notre supposée vie de famille. Pas de problème, mec, je me suis comportée comme une adulte responsable dans ce genre de situation : j'ai pris un pot de glace, allumé "Orgueil et Préjugés" en fond sonore, et je me suis demandé si M. Darcy pouvait réellement rivaliser avec la douceur du chocolat double caramel.

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Ah, les Black Crows, le choix le plus logique au monde. Parce que quoi de mieux que de rendre hommage à ses racines, ou quelque chose du genre, non ? Ce n'était pas vraiment pour l'appel du sang, mais plutôt pour la promesse d'argent qui remplissait mes poches plus rapidement que mon boulot de caissière au coin de la rue. Danser avec mon frangin à proximité n'était pas exactement mon idée du divertissement, mais bon, l'argent c'est l'argent, non ? Il préfère peut-être payer une caravane, mais moi, j'aime un chauffage de meilleure qualité pour affronter les hivers.
Puis, bien sûr, ma tendance à répéter mes erreurs a fait surface, et mon ventre s'est une fois de plus arrondi. Et non, ce n'était pas l'un de ces types mal-rasés qui assistait à mon spectacle. C'était juste ce cher Bad-boys qui revenait encore, m'enivrant avec ses mots doux et ses regards brûlants. Faible, moi ? Assurément

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Résumons ce qui s'est déroulé au fil des années suivantes. J'ai multiplié les petits boulots en plus de danser sur la table, parce que, soyons honnêtes, être caissière, c'est charmant, mais répéter inlassablement des refrains sur les courgettes à -25 %, cela finit par lasser au bout d'un moment. Je me suis dit : pourquoi ne pas reprendre les études et décrocher un diplôme qui nous permettrait d'acquérir un appartement plus spacieux pour notre petite tribu de trois ? Les cours du soir semblaient prometteurs, non ? Eh bien, non, pas vraiment. J'ai à peine tenu cinq mois. Adieu, rêve de travailler dans une galerie d'art et de vendre des toiles peintes avec les pieds pour des millions. Car, il faut le dire, il existe des gens assez crédules pour acheter ce genre de choses et dépenser leur argent comme si c'était de la confiserie.

En 2013, j'ai pris la décision de me marier avec un homme qui semblait un peu trop bien habillé pour le bar où je travaillais occasionnellement. Il m'offrait des verres pour attirer mon attention, et, je dois l'admettre, je le trouvais un peu pathétique. C'est peut-être pour cette raison que je n'ai pas jugé bon d'inviter ma famille à la cérémonie. J'avais un certain embarras à l'idée d'avoir cédé si facilement, bien que, au fond, il semblait bien intentionné. Ou peut-être était-ce simplement parce qu'il était si différent d'eux, et que nos deux mondes ne pouvaient coexister dans la même pièce pendant plus de cinq minutes sans perturber l'équilibre de l'univers. En fin de compte, cette union n'a pas duré bien longtemps.
Au bout de deux ans, je l'ai découvert à quatre pattes, offrant une vue imprenable sur son postérieur bien exposé, en charmante compagnie du facteur, dans une scène que je ne suis pas prête d'effacer de ma mémoire. J'ai revendu la bague, qui s'est avérée être une vulgaire contrefaçon, pour cinq dollars que j'ai réussi à extirper de son sort peu enviable. Ensuite, j'ai incendié sa voiture, partagé un moment de pure vengeance en m'amusant avec son petit frère dans la demeure de ses parents – il serait plus précis de dire dans leur lit –, vendu la guitare dédicacée par Jimi Hendrix, et avec une partie de l'argent que je n'ai pas investi de manière particulièrement judicieuse – il faut bien être un peu folle de temps en temps –, j'ai fait l'acquisition d'un cheval pour mes enfants. Oui, je sais, je suis une mère formidable, mais l'entretien de l'écurie me coûte un bras.

J'ai assisté à l'inauguration du fight club et malheureusement, j'ai emmené mon aîné qui a découvert sa passion pour la baston. Trois semaines plus tard, j'étais convoquée chez le directeur parce qu'il avait fracturé le bras d'un de ses camarades. Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, le charmant bad-boy est réapparu, la bouche en cœur, pour me gratifier d'une troisième grossesse surprise. Autant dire que celle-là, je ne l'avais vraiment pas anticipée. C'est là, sur la table d'accouchement, en train d'incendier l'infirmière qui voulait que je respire comme un petit chien, que je me suis dit qu'il était peut-être temps de songer à la contraception, histoire de ne pas inonder la planète de marmots plus différents les uns des autres.

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Il semblerait que, selon l'expert en bien-être autoproclamé, Jean-Michel DuGland, ma vie soit un échec cuisant parce que je n'ai pas eu l'insigne honneur de posséder une caravane. Pardonnez-moi, DuGland, mais vivre dans une boîte de conserve dépourvue d'eau potable ne figurait pas en tête de ma liste de souhaits. Il semblerait que Junan, tout comme le reste de la famille McNulty, n'ait pas pu digérer l'idée que je sois soudainement devenue la fière propriétaire d'une maison qui aurait pu être le pied-à-terre d'un prince. Et pour être encore plus honnête, moi non plus. Tout ce que je peux vous dire, c'est que légalement parlant... eh bien, non, c'est encore bien trop compliqué pour votre petit cerveau. Contentons-nous de dire que j'ai abandonné les petits boulots qui ne rémunéraient guère plus qu'un vieux slip usé, j'ai claqué la porte de mon appartement trop exigu et j'ai acquis un business que je n'avais jamais envisagé. Cela peut sembler simple comme ça, sur le papier, mais en réalité, pas du tout ! Saviez-vous qu'il fallait établir un devis pour refaire la toiture ? Et qu'il fallait passer des heures au téléphone à négocier les tarifs de réparation ? Parce que moi, je ne le savais pas. J'ai détesté ces longs mois, je me suis même demandé pourquoi j'avais signé cet accord...

Cependant, les sacrifices en valaient la peine. Je peux le dire maintenant, avec le recul. Trois années se sont écoulées depuis que l'établissement tourne plutôt bien. À tel point que le genre d'idiot qui se fait passer pour mon frère a eu l'audace de s'immiscer dans les recoins les plus sombres de la propriété. Il m'a servi tout un baratin du genre : « T'inquiète, ça va le faire. Tu ne risques pas grand-chose. En plus, ça sert les intérêts des Crows, alors ferme ton clapet et accepte que je planque des trucs dans ta cave. » J'ai eu droit au discours du "c'est pour le bien commun", du " tu feras une bonne action pour ton karma " et même du " Puis tu me dois bien ça, grognasse, tu n'as partagé ton fric avec personne ". Comment résister à une telle effusion d'affection fraternelle ?

Les enfants :
* Ambrose né en 2006, 17 ans, ado qui pourrait dangereusement suivre le chemin de son père
* Eidric né en 2012, 11 ans, diagnostiqué HPI et asthmatique, une vrai partie de plaisir
* Oriana né en 2017, 6 ans, soude, pas de bol pour toi gamine

La maison :
La maison d'hôte comporte 4 chambres du coté Ouest qui ne sont pas accessibles aux résident puisqu'il s'agit de celle de Jughead et ses enfants.
Il reste 5 chambres louables du côté Est.

twitter is stupid and instagram is twitter for people who can't read

OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII je vais te péter les couilles puissance mille !!! ommmmg

Bon je te l'ai déjà dit en privé mais j'adore ma race, cette sale tête de con !!
OU EST LA KARAT-VANNE ??

Hâte d'apprendre aux neveux à voler un scoot et allumer une clope

Y aura jamais de vanne, va chier.

ET JE REFUSE DEGAGE DES GOSSEs

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unnecessary

Life is too short to be encumbered by convention and the judgements of others.

Bordel déjà rien qu'en lisant le profil je me marre, ça promet hihi

Re bienvenue chez toi !

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But it’s no use, it’s a dream to be broken. I run and run, but I’m not getting anywhere. Just burn me out, yes keep pushing me away. This is a fool, crazy in love, chasing in circles

--- Sweet smiles, while dominoes keep falling.

Haha, plaisir de faire rire héhh

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Le titre du sujet est déjà une expérience en soi, ça promet !

héhé

Expérience tout en finesse et délicatesse Héhé

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Bienvenue parmi les futures victimes de Fate.

En tant que nouvelle âme torturée, tu peux désormais accéder à l'univers de DARKSHORE dans son entièreté. Afin que l'orientation soit plus aisée, et parce que Fate peut avoir bon fond, voici quelques liens importants à ton orientation dans Detroit.

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ET BAH ON N'EST PAS SORTI DU SABLE HEIN - rebienvenue avec cette petite pépite <3
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▬ afin de faire le point sur ceux qui alimentent l'histoire de ton personnage, tu peux créer ta (( ta fiche de liens )) et te recenser dans le bottin des (( logements et métiers )).
▬ des parties (( portable )) et (( réseaux sociaux )) sont disponibles pour laisser ton personnage échanger et s'afficher.
▬ les demandes et dépenses d'animas -points RP- se font dans (( l'antre de FATE )) ; que ce soit pour un multicompte, un rang, etc... ce que tu veux, c'est là que tu l'obtiendras.
▬ tu peux t'aventurer dans la (( recherche de partenaire )) pour trouver des liens/sujets.
▬ si tu as déjà des idées de personnages que tu souhaites proposer "à l'adoption", nous te dirigeons vers la partie (( pré-liens & scénarios )).
▬ tous les autres liens utiles à ta navigation sur le forum sont disponibles dans la toolbar, en haut à droite, pas très loin de ton profil et de ta messagerie.
▬ tu as désormais DEUX SEMAINES pour lancer ton premier RP.
▬ en tant que membre affiliée aux black crows, leur repaire se trouve juste ici : https://darkshore-detroit.forumactif.com/f91-black-crows - tu pourras y parler lien et projet pour ton personnage qui gravite autour de cette communauté.

Si tu souhaites voir de nouvelles victimes nous rejoindre, tu peux (( puber et voter pour le forum )) ; sache que la communauté est très active sur DISCORD - tu peux nous rejoindre en suivant (( ce lien )). Le staff se base énormément sur la communication, n'hésite jamais à nous MP pour la moindre question ou suggestion ou à te diriger vers ce sujet.

Sur ce, bon jeu parmi nous et n'oublie pas : une promesse est une promesse.

Personne n'est à l'abri du hasard.

‡ ▬ BEYOND THE VEIL ▬ ⚖