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 tales of broken links | eliott

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Phoenix Ledger
Phoenix Ledger
popular monster

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : midtown. un appartement bordélique qu'il partage avec akim. un terrain neutre et sécuritaire pour ces deux frères de différentes mères qui n'aspirent qu'à se relever.
ombres et névroses : tatoué jusqu'au bout des doigts, la musculature dessinée grâce à son année de prison et entretenue, gardée, cicatrice à la joue droite qu'il doit à celui que euros a choisi d'aimer. médiocre gestion de la colère qu'il peine à dompter. c'est un hyperactif que rien n'a jamais su apaiser.
cicatrices : 726
crédits : chat.noir (c) astra (a)

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▬ Lun 9 Jan - 0:59 ▬



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Run, my love, I'm back from the dead. Let it go, it's all in your head. Oh, I could not believe that you will never let it be And nobody knows all the trouble you've seen. I get it, sweetheart, we're always "low, low, low", You're always pushing me away, but then you're pulling me close. So let's make a toast to all the years we've wasted, Hold your glasses high for all the tears we've tasted. I'm different now, you're distant how Will we ever work this out ?




Ne subsiste dans l'espoir que les souvenirs de cette étrange soirée, de cette colère qui s'était imposée. L'instinct en seule essence pour pouvoir l'enflammer – il a craqué, abdiqué. Conscience s'était éteinte pour parer aux blessures que les mots auraient pu causer. Il s'était fermé, abandonné à la noirceur d'un bref instant ; rien que pour imploser, exploser. Cracher son fiel, apposer ses coups – défaire le sourire que les prunelles avaient observé. Il s'était emporté, Phoenix, par besoin pour tout ce qui avait été nommé. Les tourments encore sulfureux dans les profondeurs de son être. Les plaies encore saignantes d'un échec qu'il porte sur ses épaules depuis de trop longues années. Et les péchés désignés, ceux qu'il s'amusait à évoquer quant à ce qu'il nomme « égarement » sur plusieurs mois, il s'était bien trop lié. Un souffle, enfin, pour se sevrer des souvenirs ressassés. Le regard qui s'attarde sur les alentours, qui craint parfois de le voir encore s'avancer, reprendre sa torture sur l'esprit qui n'a jamais su se stabiliser. Il n'a nulle réponse aux questions qui, plus tard, se sont soulevées. Pourquoi, pourquoi tout ce qui fut acté en est arrivé là ? Il a longuement cherché, n'y a trouvé que cette effroyable vanité pour briser les efforts osés. Il ne sait pas, ne sait plus vraiment comment tout accepter. Et s'il se souvient qu'un poison semblait courir dans les veines de cet ancien ami, conscience n'est pas tout à fait prête à lui offrir ce pardon s'il venait à le réclamer. Les paroles se sont enfoncées comme des lames trop chaudes, acérées qui lacèrent les chairs sans bavure, sans retraite laissée. La marque est intacte dans cet esprit si souvent échauffé. La marque est luisante qui rappelle trop souvent tout ce qui était pointé. L'échec vis à vis de ces âmes qu'il aurait dû préserver. Les bribes de honte et de douleur qui subsistent contre le palpitant vis à vis des sentiments passés. Il a tiqué, errant encore sur le trottoir qu'il n'a pas quitté. L'attention rendue au téléphone, un numéro qu'il cherche, mais sur lequel il hésite. Il sait ce lien qui semblait les lier, il se souvient de tout ce qu'ils semblaient à même de partager. Et s'il avait été le seul, Phoenix, à payer les affres de celui qu'il abîmait ? Et si les rancœurs se propageaient, finalement, jusqu'à celui qu'il pensait pouvoir trouver. Rien n'est sûr, rien n'est jamais acté. Et il a osé appeler, l'idiot. Il s'est risqué jusqu'en ces lieux ; bureaux nombreux qu'il n'ose pas encore déranger. Do you work today ? 'cause I'm downstairs. Il ne reculera pas, et au mieux, il aura cet instant avec cet ami que le temps lui a confié. Une trêve dans les réminiscences qu'il a trop laissé s'installer. Une pause dans les tourments qu'il a trop laissé s'avancer.

Il s'est approché, s'est risqué jusqu'au bureau désigné. L'ombre qu'il cherche avant que le regard ne parvienne à l'accrocher – et les traits sont bas, défaits de cette clarté, de cette jovialité qui semblait parfois tout surplomber. Ainsi les doutes se confirment et les attaques étaient gratuites qu'aucun n'a pu appréhender. Une moue désolée qu'il affiche déjà, Ledger, la main qu'il en vient à tendre quand les regards peuvent enfin se croiser. « So, this is where you're hidding yourself when you said no to a party. » Les alentours qu'une phalange désignée, un presque sourire qu'il s'affaire à lui servir pour essayer de l'éveiller. Immuable qu'il lui paraît, celui qui n'avait eu de cesse à parler quand ils se sont rencontrés. « Just kidding here, I wanted to know how you're doing, I've a strange visit last time, think that same visit didn't spare you, hm. » Il n'insiste qu'à peine, s'affaire simplement à mettre des mots sur ce qui ne quitte plus vraiment l'esprit. Il a tiqué, avant de s'en détourner, trouvant une assise pour pouvoir lui faire face, pour pleinement essayer de s'imposer là où sa connerie pourrait encore être nécessitée. Une parade, un instinct qu'il n'a jamais su réprimer. Les autres avant lui-même pour ne pas avoir à s'y concentrer. Une issue salutaire sur l'instant, avant que les ténèbres ne parviennent à le retrouver. Il n'y pare pas, s'y engouffre même pour tout appuyer. « You're okay ? » Elle est conne, cette interrogation soulevée. Il croit d'ores et déjà pouvoir envisager la réponse, à l'affût tout de même d'une moindre responsabilité qu'il aurait à porter. Si les maux qu'il lui imagine ne sont pas ceux pensés, s'il est la raison de ce désarroi qui dégueule des traits affaissés pour les blessures qu'il a infligé – il sait qu'il ne pourra aller contre cette relation plus ancienne que ce lien qu'ils ont réussi à se créer. Alors il appréhende le tout, Ledger. Il anticipe, au mieux, pour fuir si l'occasion lui est donnée, si les raisons de cet élan colérique peuvent être expliquées, crachées, avant que carcasse n'ait à s'éloigner.                               





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❝ insane ❞
I'm reminiscin' back to both of us laughin'. Playin' old records, thinkin' every one of 'em's classic. Windows down, we on the street up in Michigan rappin'. We talked about it, but never really knew it could happen. My confidence about as low as the gas is, we didn't have the money for it, so we'd turn the key backwards and sit in parking lots for hours till the battery crashes. I think that we related 'cause both of us were lookin' for answers. I know you've been callin', sorry I never call back. I know I've been distant, you know I never meant that. »
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Eliott Lloyd
Eliott Lloyd
sunflower, vol 6

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : Une villa à Midtown avec Sosthène - Adam, bien sûr, et leur fils Noah
ombres et névroses : Un accent du nord de l'Angleterre qu'il garde précieusement et n'a jamais voulu effacer en arrivant aux US. Des cheveux qu'il laisse pousser depuis son arrivée a Detroit, retour a ses années étudiantes.Une quarantaine de tatouages sur les bras et le torse, ,tous liés a des histoires, a son histoire, une cictrice sur le flanc apres une greffe de rein.
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▬ Dim 22 Jan - 19:19 ▬
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Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



Septembre 2022.

Septembre 2022, “the month that keeps on giving” . Eliott, la tête posée sur le bureau en face de lui, front collé contre le bois, cerveau en compote, pensées qui se bousculent dans sa boîte crânienne depuis plus d’une semaine, estomac massacré lui aussi par trop de réflexion, par ce trop plein d’émotions qu’il doit contrôler. Il ne peut pas tout faire ressortir trop violemment. Il doit être là, le Eliott souriant et en pleine forme, celui qui dit jamais non pour sortir . celui qui a le sourire même pour aller aider quelqu’un à déménager, celui qui prend du travail en plus pour rendre service ou se rendre service dès qu’il en a l’occasion. Aujourd’hui cette énergie il ne n’a pas. À force d’essayer de maîtriser la tornade dans sa tronche sans arrêt, il est à bout de forces.  Adam est dans des parages bien trop lointains. Trop occupé à essayer de sauver son job - à juste titre - d’un kraken relâché violemment, prêt à tout détruire sur son passage. La première victime est votre humble serviteur, le seul et unique d’habitude grand ami du renard blond… Brun. Ca compte pas. Le vrai Kit Jones n’est pas l’enfoiré qui a essayé de le chopper contre sa volonté et s’est battu avec Parker. Eliott le sait. Ca passerait? En attendant quoi. Il jongle, et pas comme il fait d’habitude si bien. Noah, les animaux, la solitude dont il n’a pas l’habitude, le manque d’attention sur sa personne qui n’est absolument pas normale. Et le manque. Ce satané manque.  oh jesus christ Tête qu’il relève de sa prison de bois synthétique lorsqu’il entend son téléphone sonner. Il décroche et se rend compte qu’il s’est encore perdu, qu’il n’a pas écrit une ligne depuis une demi-heure et qu’il a failli s’endormir . La voix de Phoenix résonne à l’autre bout du fil. I am… tell Janice upstairs you’re coming to see me. I’m letting her know I’m expecting you. Oui comme s’il connaissait le nom de la réceptionniste. Mais eh, Eliott raccroche rapidement et appelle la dite Janice pour lui dire de laisser entrer un Phoenix Ledger.

Installé dans un coin calme de l’open space, à un bureau vraiment pas à la hauteur de son ego, Eliott essaye de se réveiller mentalement en attendant l’arrivée de Ledger.  Une main passée dans les cheveux pour les remettre en place, une forme assez approximative mais eh. Il lève la tête vers Ledger. touché Et même coulé bientôt. Mais il accepte la main tendue , la serre dans la sienne et lui fait signe de s’installer en indiquant une chaise en face de lui. Bien sur qu’il vient pour Kit. à cause de Kit. looks like he did not spare you either. Luckily, I’m not too much of a fighter so there were no need to damage my pretty face. Can’t say the same for you. Les blessures sont bien différentes chez l’anglais. never felt better. And you? I’m sorry I didn’t return your text to go out the other night. I was with my son, we fell asleep watching Finding Nemo and then I caught up on my work around 2am. Un programme de qualité. Le père s’est d’ailleurs endormi bien avant le fils et les furets. next time… or you can come and watch a disney with us. I’m sure you’ll be thrilled. Loin des soirées qu’ils ont passé ensemble ces derniers mois, mais c’est une proposition comme une autre. Il est crevé Eliott mais heureux de voir un visage familier, de trouver ce soutien.



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My hands, your hands, tied up like two ships. Drifting, weightless waves try to break it. I'd do anything to save it. Why is it so hard to say it? So many words we're not saying. Don't wanna wait 'til it's gone.
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▬ Mar 31 Jan - 1:12 ▬



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Il y a ce soupçon défait qui règne, comme un vent lassé d'avoir à battre, à vagabonder. Il y a cette espèce de tristesse qui s'est mise à gouverner, aussi, une étincelle ternie par l'usure et le temps, par les mots qui résonnent dans certains esprits. Pour la même raison, finalement, la même terreur nouvelle qui s'est soulevée. L'idiot qui s'égare dans les profondeurs d'un mal qu'il n'a pas même nommé. Et s'il est presque à même de comprendre, Phoenix, il n'excuse pas encore pour autant tout ce qui lui a été susurré. Mais les pensées s'égarent quand elles doivent se stabiliser. Il s'en remet à celui qu'il venait déranger, celui qu'il s'est mis en tête de pouvoir éventuellement veiller – qui sait. Il se souvient du lien qui pouvait les animer, ces deux-là. Alliés actés dans un monde qui s'amuse pourtant à tout défaire, tout briser. Il toise les traits creusés, il écoute la voix presque monotone qui s'élève pour résonner – peut-être que l'univers, enfin, est parvenu à ses fins. Quelque-chose s'est brisé pour beaucoup, mais pour lui, le coup a dû être brutal. Tristement mémorable. « Looks like he did not spare you either. Luckily, I’m not too much of a fighter so there were no need to damage my pretty face. Can’t say the same for you. » Un haussement d'épaules, l'attention à peine portée sur ce qui semble finalement plus se voir qu'il ne l'aurait imaginé. Qu'importe, les maux sont ailleurs, accrochés à cette rage qui fut invoquée. Il a fait ce qu'il devait faire, le croit-il, encore bouillonnant d'une sourde colère qui refuse de le laisser en paix. Celle-ci même qu'il délaisse un instant, offrant un souffle un peu plus calme à celui devant qui il s'est installé. Là, il contemple les alentours quand les justifications tombent quant à cette occasion manquée, cette soirée repoussée. Son fils, un film et le travail désignés. Une normalité à laquelle il ne peut prétendre que trop rarement, les week-end devenant bien trop courts. Il comprend, n'ira pas s'en offusquer. Il comprend, Phoenix, ne pourrait alors que l'envier. « Next time… or you can come and watch a disney with us. I’m sure you’ll be thrilled. » Tentante, cette proposition. Le sourire s'installe qu'il peine néanmoins à maintenir. Il aurait bien d'autres projets, d'autres présences à réclamer pour ce style de soirée. Les traits se sont abaissés, un haussement d'épaules pour tout acter. « I'll see. » C'est tout ce qu'il parvient à articuler.

C'est un souffle profond qu'il se met à chercher, un besoin d'air nouveau réclamé par les poumons compressés. Finalement, il s'en remet à lui, sachant que ses dernières syllabes sonnaient fausses pour l'invitation qu'il supposait pouvoir accepter. « Thing is... I try to do more hours at work so I don't have to think, y'know ? And I've my daughter all week ends. But, hey, really, I'll see to be here at least once. » Une promesse, finalement. Le cœur qui n'est pas apte à orchestrer la déception – soutien qu'il pensait pouvoir devenir pour celui qu'il est venu visiter. « Depends the movie... » Un sourire, cette fois. Les lèvres qu'il laisse s'animer, guettant la réaction, cet autre rictus qu'il pourrait lui tirer. Mais la trêve se doit d'être légère, il a encore tant à supposer, tant de questions qui n'ont nulle réponse à laquelle se raccrocher. « It's my turn to be sorry for you, man. En une inspiration avortée, les aises qu'il prétend trouver quand les mains s'emmêlent pour faire cesser la nervosité. About Kit and what happened between you two. You can tell me you're fine, I'll pretend I believe it but in the end, you're not, hm ? » Enfin, les prunelles dépareillées s'élèvent, s'apposent sur ce faciès exténué. Il guette les éclats brisés dans l'aura des orbes cernées. Il guette la trahison des sens, des sentiments piétinés. « Look, I don't care about what he did, I just need to know you'll be fine with time and I wanted to tell you that... well, I'm here if you need to talk. »                                





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Eliott Lloyd
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▬ Dim 19 Fév - 19:05 ▬
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Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



Phoenix a rencontré Eliott le fêtard, le mec de bonne humeur, celui qui ose parler à un inconnu, le suivre au bout de la nuit pour tout et n’importe quoi, celui qui oublie parfois le fait d’avoir un seul rein fonctionnel et boit plus que de raison, celui qui se fout de la poudre dans le nez dès qu’il a besoin d’un coup de boost, celui qui n’a pas de problème avec la drogue, il en prend juste quand il fait la fête. Il fait souvent la fête, c’est tout. Phoenix a vu les artifices de celui qui gravite dans l’orbite de personnes bien plus intéressantes que lui depuis des années. Eliott Lloyd, satellite naturel de la planète Kit Hones depuis cinq bonnes années. Et quand sa planète l’a rejeté, il est paumé.

Phoenix connait maintenant le Eliott Lloyd qui bosse derrière un bureau, qui s’endort en regardant la télé avec son fils au lieu d’aller faire la fête. Ce n’est pas tellement une conséquence du comportement de Jones. Juste une autre réalité de la vie du journaliste. Des vies du journaliste. Voir Phoenix ici aujourd’hui le touche vraiment… parce qu’ils ont passé ce stade. S’ils ont parlé des prénoms de leurs actuels et futurs gosses quand ils se connaissaient à peine, maintenant, Eliott le considérait assez proche pour rencontrer son gamin, pour faire partie intégrante de sa vie. On est loin de la blague des t-shirt avec sa tronche. Alors quand il parle de travail, de jongler avec ses heures, de sa fille qu’il voit que les weekend… ils sont tellement sur le même alignement que ça pourrait faire peur. same as you my friend…you can… bring you daughter? If you like? We can watch a film together. Noah is younger but he likes being around other children… she can meet Eugen too. You know, my ferret Des vrais plans de papas sérieux tout ça. Regarder un disney et s’occuper des animaux de compagnie autant que des gosses.

Le sujet revient vite vers Jones. Normal, en même temps. Il soutient le regard de Phoenix, sans savoir vraiment par où commencer. it will be fine. I know…I… refuse to admit it’s the end of us. And I won’t give up on him but… I feel like he has given up on himself.  I’ve never seen him behave like this. Not with me. I’ve never been scared of him before…I think I was for a fraction of a second. But it was enough to step back for a moment… Il se passe la main dans les cheveux en soupirant mais… malgré tout en offrant un sourire à Phoenix.  I’m glad to see you here man. Really appreciate.. You’re a great guy, Phoenix Compliment gratuit mais qui fait souvent du bien à entendre. Surtout quand on s’y attend pas, et qu’il est si sincère qu’Eliott pourrait lui répéter encore. On ne s’inquiète pas pour quelqu’un comme ça d'avoir un bon fond et là il peut se dire chanceux d’avoir Phoenix parmi ses amis.





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ombres et névroses : tatoué jusqu'au bout des doigts, la musculature dessinée grâce à son année de prison et entretenue, gardée, cicatrice à la joue droite qu'il doit à celui que euros a choisi d'aimer. médiocre gestion de la colère qu'il peine à dompter. c'est un hyperactif que rien n'a jamais su apaiser.
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▬ Jeu 2 Mar - 23:54 ▬



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La fille désignée, ces heures supplémentaires qu'il vient de dévoiler. Il s'enfonce dans une spirale épuisante, étouffante – par nécessité, pour davantage s'élever. Mais les liens sont tenaces qui tirent encore sur les poignets. L'humanité qui reste, qui subsiste. L'humanité qui tente son ascension sur les nécessaires préoccupations d'un esprit qui s'était éteint. Les rôles qu'il tente de concilier. Père, propriétaire, mais aussi amant qui craint l'abandon quant à la situation pas encore nommée. Ce n'est qu'un soupir qui brave les pulpeuses, rien qu'un souffle léger en écoutant, en prenant en compte cette énième invitation proposée. Une toute autre réalité de ces existences qu'on a fait se croiser. Il en a sourit, il en a même rigolé rien qu'à imaginer cette toute autre facette de leur personnalité. Mais le sujet, le vrai sujet sur lequel il venait échanger – les causes qui ont fait naître cette inquiétude qui réside sous les côtes, elles se dévoilent lentement, en quelques notes délaissées. « It will be fine. I know… I… refuse to admit it’s the end of us. Les traits qu'il anime, mais les prunelles qui s'abaissent. Il est plein d'espoir, celui-là. Il est empli de cette espèce de bonté qui pourrait tant lui coûter. Il l'a appris à ses dépends, celui dont les ailes se sont embrasées. Il a laissé ce trop grand cœur s'exprimer, jusqu'à le sentir se fracasser – jusqu'à ce que les braises de son existence n'aient plus qu'à s'étioler. Un souffle violent qui n'a rien épargner, pas même les anciennes structures sur lesquelles il pensait pouvoir reposer. Il sait, Ledger, plus que quiconque ô combien ces amitiés peuvent être déterminantes de tout ce qui aurait à se jouer. Non, il ne peut pas vraiment le blâmer pour cet espoir nourrit – mais s'inquiéter, oh il ne s'en empêchera pas. And I won’t give up on him but… I feel like he has given up on himself. I’ve never seen him behave like this. Not with me. I’ve never been scared of him before… I think I was for a fraction of a second. But it was enough to step back for a moment… » Il a tiqué, enfin. Les émotions qui rattrapent l'écoute et l'attention. Il retient pourtant les mots et tout ce qu'il aurait à confier, rien que ces paroles qui lui ont été balancés. Le soupir est bref qui ne sert qu'à libérer les poumons qui se compressaient. « Yeah, I see... » Parce qu'il en a fait les frais, parce qu'il a réagit comme il l'a toujours fait – sous l'impulsion et l'indomptable flamme qui s'était mise à crépiter. Les instincts jamais muselés, la stupidité ce soir-là plus flamboyante que par le passé. Il est à bout de nerf, Phoenix, derrière ce calme qu'il croit être à même de feindre. « I’m glad to see you here man. Really appreciate... You’re a great guy, Phoenix. » Les sourcils qu'il a froncé, Phoenix, pris de court. S'il s'attendait à tout, le cœur en vient à frapper sous ces quelques notes inimaginées. Les mains qu'il a croisé, cette attention qu'il s'est mis à détailler.

Tenté qu'il est, en l'instant.
Tenté de rappeler la légèreté, de faire valoir tout ce qu'il a négligé.

« You know... » Une pause, parce qu'il s'est légèrement redressé. Une pause tandis que les bras s'attardent sur le bureau, que cette silhouette-là est détaillée. « Journalist are fucking good at lying. » La seule réponse, la seule qui parvienne à faire naître ce nouveau rire qui englobe les lieux jusqu'à y résonner. Un semblant de vie qu'il tient à lui apporter, comme une once de paix dans la tourmente qu'il se doit de porter. Fuir la réalité, défaire les maux qui persistent à s'accrocher. Il voudrait y croire, Phoenix, en ce qu'il osait lui confier. Un gars bien, il l'a été avant que les paumes ne soient maculées. Il l'a été et tente parfois de faire valoir cette ancienne parcelle de vie saccagée. « But I don't blame you, I want to believe you. Means you're doing a great job, right ? La main levée pour le désigner, il l'invite à l'avouer avant de tout simplement se relever. But enough 'bout that. Let's go find something to eat, I'm fucking starving and you too. » Le choix qu'il ne lui laisse pas, les devants qu'il se risque à prendre. Parce qu'il en a vu quelques uns s’apitoyer sur leur sort quand le destin choisissait de les frapper – il ne laissera pas celui-là perdre cette glorieuse lumière qu'il s'était mis, un soir, à pleinement lui distiller. « They don't mind, hm ? If you're out for an hour or two. I can tell everyone you're sick. » Un haussement d'épaules, parce qu'il force et insiste. Parce qu'il y tient, étrangement, à lui offrir comme un repos mérité pour taire les voix nauséabondes qui pourraient lui faire tout ressasser. Nouvelle et brève mission qu'il se donne, pour honorer ce lien qu'ils se sont appropriés. Comme pour donner un certain sens à ce compliment qu'il lui servait – l'espoir contagieux quant à la manière dont, malgré les ombres, il peut être partagé.                                 





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▬ Jeu 6 Avr - 16:12 ▬
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Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



L’incompréhension dans laquelle Kit l’a mis par son attitude est le pire, dans l’histoire. En plus de quatre ans de relation, il pensait le connaître, il pensait tout savoir ou presque du renard, de ses réactions, de comment le gérer, comment lui répondre, comment être proche de lui, comment vivre à ses côtés tout simplement. Le mode d’emploi de Kit Jones se révèle être beaucoup plus complexe que ça. Surtout lorsqu’il a décidé d’être destructeur, pas seulement avec Eliott mais le monde entier. Comme l’oiseau de feu là devant lui, dans ces bureaux qui ont vu passé tellement de gens que personne ne prêtait vraiment attention à la nouvelle compagnie de Lloyd.
La présence du brun qu’il apprécie , compliment offert, un mec bien, ouais… mais sa réponse? Et bien elle a le mérite de lui tirer un léger rire. Un journaliste bon à mentir, hm? Lloyd hausse les épaules. I’m not lying. I’m telling my version of the truth. It’s up to you to believe me or not… I think you should, though. As you said… I’m pretty good at my job. L’ambition, la fierté d’être au poste où il est, d’être à sa place, de pouvoir coucher ses mots sur le papier, d’être lu, d’être entendu… Contrairement à beaucoup de personnes, Eliott ne veut pas réussir pour rendre sa mère fière. Tout simplement parce qu’elle l’est et le sera peu importe la situation dans laquelle le journaliste est. Fier de lui pour être lui, tout simplement. Facile de grandir avec elle comme ça… protectrice… et qui lui manque tellement à ce moment précis. On efface pas plus de 27 ans à vivre très proche en si peu de temps. On ne peut pas remplacer une présence aussi importante dans les moments difficiles. Mais il n’est pas seul, Eliott, La preuve est devant lui.

Un nouveau rire à la proposition d’aller manger. Eliott hoche la tête et éteint l’ordinateur posé devant lui. Il se lève et remballe l’ordinateur portable pour le mettre dans son sac. I’m kinda hungry too… you chose the place. I’m also vegetarian. Otherwise I got no preference Tant qu’il peut manger quelque chose… = L’ordinateur remballé, tout comme le reste de ses affaires, il se lève et enfile sa veste. I’ll work from home after don’t worry. I think that’s the best thing to do … you know… when you’re sickIl lui fait un clin d'œil puis fait signe à Phoenix de le suivre vers la sortie des bureaux. Il salue sa collègue à la réception au passage, feignant une toux rapide, oulala il se sent pas très bien mais est courageux et va travailler quand même. De toute façon avec sa gueule de déterré, personne n’aurait de doutes. you’re working in a restaurant yourself, right? Maybe I should hire you to cook at mine sometimes… I can do about three dishes correctly and I got the feeling my dear fiancé will be bored of it at some point Combien de chili végétarien un homme peut manger dans une vie sans en avoir marre, hein? Ou d’omelettes feta épinars? Mais eh, aujourd’hui il n'aurait pas besoin de se poser la question.




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My hands, your hands, tied up like two ships. Drifting, weightless waves try to break it. I'd do anything to save it. Why is it so hard to say it? So many words we're not saying. Don't wanna wait 'til it's gone.
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Phoenix Ledger
Phoenix Ledger
popular monster

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : midtown. un appartement bordélique qu'il partage avec akim. un terrain neutre et sécuritaire pour ces deux frères de différentes mères qui n'aspirent qu'à se relever.
ombres et névroses : tatoué jusqu'au bout des doigts, la musculature dessinée grâce à son année de prison et entretenue, gardée, cicatrice à la joue droite qu'il doit à celui que euros a choisi d'aimer. médiocre gestion de la colère qu'il peine à dompter. c'est un hyperactif que rien n'a jamais su apaiser.
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▬ Lun 8 Mai - 10:47 ▬



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Run, my love, I'm back from the dead. Let it go, it's all in your head. Oh, I could not believe that you will never let it be And nobody knows all the trouble you've seen. I get it, sweetheart, we're always "low, low, low", You're always pushing me away, but then you're pulling me close. So let's make a toast to all the years we've wasted, Hold your glasses high for all the tears we've tasted. I'm different now, you're distant how Will we ever work this out ?




Sans mensonge, celui qui s'exprimait ; et Phoenix n'a fait que secouer la main, incitant à la fuite. Loin des murs froids de ces locaux, loin des attentions diverses et variées qui peuvent traîner – loin d'un quotidien qui s'amuse à tout saccager, qui empiète sur la bataille de l'esprit pour encore subsister. Il veut faire le bien, Ledger, rien qu'une fois en ces temps troublés. Il veut pouvoir s'assurer qu'au moins celui-là parvient à respirer ; à la recherche d'une bouffée d'air salvatrice pour les poumons compressés. Il lui donne tout ce qu'il lui reste maintenant que les songes sont emmêlés et fissurés. Et il cède, ce dernier, l'ensemble délaissé qu'il range pour suivre les pas qu'il cherchait à lui imposer ; déterminé, Phoenix, à sortir du brouillard. Il y a cette once solaire qui se rappelle, comme un vieux souvenir finalement réanimé. Il y a ce spectre du passé qui se dévoile, comme si les voiles venaient à tomber, comme si pouvait enfin gueuler cette pleine et entière vérité. Phoenix relevé, quoi qu'encore chancelant quand tombe le silence, quand s'immisce la nuit autour de la carcasse fatiguée. « I’m kinda hungry too… you chose the place. I’m also vegetarian. Otherwise I got no preference. » Les bras se sont levés, théâtrale déception qu'il essaie de surjoué. Là, il maudit un Dieu qui n'existe pas pour ces âmes qui choisissent la difficulté plutôt que ce qu'il appelle « plaisirs de la vie » ; comme à chaque fois qu'on lui révèle cette particularité. « Fucking vegetarians... » Il peste, il feint l'indignation, le timbre témoignant de ce sourire qu'il s'affaire à masquer. Ou presque, puisqu'il n'a jamais su être sérieux plus de quelques minutes d'affilé. Moins encore aux sous-entendus rappelés, moins encore quand, enfin, la porte est franchie et qu'une once de liberté revient les bercer. Lui qui en profitait déjà, l'autre qui en a grandement besoin. « You're working in a restaurant yourself, right ? » Une seconde de battement, les traits qui affirment ce qui vient d'être souligné. Il s'attendait à d'autres questions, il s'apprêtait à assouvir cette nouvelle curiosité avant que le reste ne s'implante, cette parfaire légèrement qui use de son pouvoir sur cet être qui s'écrasait. Pour sûr, il a encore du mal à accepter la manière dont celui-là parle de son compagnon ; mais les habitudes commencent à s'instaurer d'elles-même, Phoenix parvenant à faire l'impasse sur ces secrets conservés, sur ces images qui hantent encore parfois l'esprit sans qu'il ne puisse totalement s'en détacher. La faim, malgré lui, vient de passer. « I might be a little expensive for you. Un haussement d'épaules, bien trop fier de cette réplique improvisée ; l'assurance suinte à nouveau puisqu'il sait pouvoir s'en vanter sur ce sujet. I do wonders with these, les phalanges désignées, agitées avant que l'habitacle de sa voiture ne soit approchée. And it takes extra time. » C'est comme un avertissement quant à ce qu'il osait prononcer, comme un avant-goût de ce talent qu'il n'a pas à cacher. Mais il surjoue encore, Ledger, puisque tout réside dans le tableau qu'il aurait à faire contempler – le sien, sa brillante et glorieuse remontée des ténèbres. De moitié feinte, de moitié faite de réalité.

Quelques instants, un quart d'heure à peine. Quelques instants avant que le moteur ne se coupe, avant que la hauteur ne soit retrouvée, l'air frais des ruelles polluées. Il désigne un devanture fatiguée, Phoenix, il a ce sourire satisfait que les lippes quand, pourtant, le paysage est triste au possible. Dans les tréfonds de la ville, là où les veines palpitent à peine, il y a cette merveille qu'il ne peut plus ignorer. Petit restaurant en fin de vie qui, pourtant, l'a illuminé quand il s'y risquait. « Here, you'll find what you like and me as well. » Une main sur l'épaule pour le rassurer ; un contact bref, mais nécessaire. Parce qu'il sait ses idées en train de batailler contre la morosité. Il veut lui faire comprendre qu'il pourrait être là, qu'il ne suffirait que d'un mot pour le voir rappliquer. Ils en ont besoin tous les deux en vérité, quoi que lui soit plus à même de prétendre cette espèce de jovialité. « You tell me, but now we're here and that you're gonna try what they can do... maybe you could have the power to save them from their destiny. » Du temps ensemble, de quoi raviver une espèce de clarté en chacun, mais aussi la possibilité d'offrir à ces lieux un tout nouveau regard, des mots adéquates pour créer cette publicité dont ils peuvent tant manquer. De quoi sauver bien des journées, bien des avenirs en vérité. « What do you think about that plan ? You try and you decide. C'mon ! » Grince la porte vers laquelle il s'était dirigé, l'explorateur des lieux délaissés. Lui qu'on reconnaît pour ces nombreux soirs où il peut passer, lui qu'on accueille avec un sourire et des exclamations – pour ne rien changer. Lui à qui une place est offerte ; parce qu'il n'y a personne d'autres pour s'y installer.                                  





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❝ insane ❞
I'm reminiscin' back to both of us laughin'. Playin' old records, thinkin' every one of 'em's classic. Windows down, we on the street up in Michigan rappin'. We talked about it, but never really knew it could happen. My confidence about as low as the gas is, we didn't have the money for it, so we'd turn the key backwards and sit in parking lots for hours till the battery crashes. I think that we related 'cause both of us were lookin' for answers. I know you've been callin', sorry I never call back. I know I've been distant, you know I never meant that. »
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Eliott Lloyd
Eliott Lloyd
sunflower, vol 6

▬ BEYOND THE VEIL ▬
sanctuaire : Une villa à Midtown avec Sosthène - Adam, bien sûr, et leur fils Noah
ombres et névroses : Un accent du nord de l'Angleterre qu'il garde précieusement et n'a jamais voulu effacer en arrivant aux US. Des cheveux qu'il laisse pousser depuis son arrivée a Detroit, retour a ses années étudiantes.Une quarantaine de tatouages sur les bras et le torse, ,tous liés a des histoires, a son histoire, une cictrice sur le flanc apres une greffe de rein.
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▬ Dim 25 Juin - 22:02 ▬
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Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



Air choqué sur le visage du britannique. Comment ça… fucking vegetarians? Son indignation à lui est légitime… et puis… il ne trouve rien d’autre à dire que de faire un trait d’esprit, le sens de l’humour approximatif. right, but tell yourself vegetarians are like… gay guys for you. Not eating your meat or taking your girls either Pour le côté d’Eliott c’est un peu faux … Well, I like women too but… you know what I mean. Il lui tapote le dos amicalement, tout en se dirigeant vers la sortie des bureaux , discutant du prix de Phoenix en tant que chef à domicile. Un haussement d’épaule du brun qui rentre dans la voiture avec lui. Cette belle voiture qu’Adam adorerait, il s’était déjà fait la remarque la dernière fois. Lui, n’a pas encore de véhicule à titrer mais il va pas tarder à faire un petit craquage… Il a des vues sur une Mini toute électrique, parfaite pour la ville…Un peu moins pour les grands voyages. La façon de parler de Phoenix arrive à lui tirer un rire. Ses phalanges qui font des merveilles alors… glad to know you’re pretty gifted with your hands… Un rire d’adolescent qui se rend compte des doubles sens, qui pourrait en profiter pour faire des fausses avances déguisées à Ledger. Il n'a pourtant pas la force. S’il est heureux de voir sa tronche, s’il est heureux de sortir du bureau, de le suivre et de foutre derrière lui un peu la noirceur des dernières semaines… Il n'a néanmoins pas toute la force nécessaire pour plaisanter là dessus.

Garés, Eliott regarde un peu autour de lui…Un restaurant qui a vécu. Un endroit qui a l’air d’avoir été ouvert y a deux générations, et que les deux générations étaient déjà là depuis longtemps, vous voyez le genre? Il sourit en sentant la main de Phoenix sur son épaule. La présence qu’il lui fallait… l’air frais dont il avait eu besoin. if it’s as amazing as you say… I can write the best article they ever had written about their place… I got my fair share of followers online you know à force d’être ami avec des personnes connues, de se faire un nom aussi sur New York avec son blog, avec son site personnel en plus de ses articles dans la presse… ok I follow you, I trust you mate Il sort de la voiture en se donnant un élan d’enthousiasme qu’il a pas nécessairement aujourd’hui. Il fait un effort, il fait l’effort ultime…celui d’accepter de l’aide, celui d’accepter la main tendue.
Alors il est descendu de la voiture, il l’a suivi et s’installe en face de lui dans ce restaurant d’un autre temps mais que l’odeur réveille l’estomac de Lloyd. thanks for coming today … I needed that… I didn’t know I needed it but.. Yeah I did. And now I’m starving ! Didn’t eat much for the last few days actually… Pas la fin, pas l’envie… au moins, il retrouve celle de sourire là. Et regarde le tableau avec le menu derrière, essayant de déchiffrer si le menu du jour est vraiment du jour ou de l’année dernière.





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▬ Dim 9 Juil - 19:03 ▬



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Run, my love, I'm back from the dead. Let it go, it's all in your head. Oh, I could not believe that you will never let it be And nobody knows all the trouble you've seen. I get it, sweetheart, we're always "low, low, low", You're always pushing me away, but then you're pulling me close. So let's make a toast to all the years we've wasted, Hold your glasses high for all the tears we've tasted. I'm different now, you're distant how Will we ever work this out ?




Les prunelles qui vont et viennent, qui s'émerveillent toujours de l'ambition qui suinte des murs abîmés. Quelques pétillements qui s'y ancrent, l'instinct qui beugle pour qu'un coup de main soit donné, pour que perfection puisse revenir couvrir ces lieux d'une gloire passée. Il a l'espoir enfantin, trop grand, trop fantasque pour cette ville désolée. Il y a cette humanité qui se révèle parfois et qu'un rien pourrait si aisément fracasser. Pas ici, pas maintenant. L'attention rendue au malheureux qu'il venait tirer de ses ténèbres, faisant fuir les siennes dans la foulée. Il se libère brièvement de la compression qui guettait les poumons, de cette asphyxie silencieuse qui réclamait de se l'approprier. Un air neuf, un air léger. La possibilité de pouvoir respirer quand, pourtant, les coups passés supposent une strangulation imparable et appuyée. Mentalement, physiquement. Un souffle, un sourire rendu. Clarté timide qui tente son ascension pour cette grandeur autrefois enterrée. Qu'il lui fasse confiance, rien que pour cette fois – parce qu'ils se sont éloignés, les démons qui l'acculaient. Il n'y a que cette version d'un temps révolu, que l'homme trop plein de vie qui essaie de rappeler son vécu. « Thanks for coming today… I needed that… I didn’t know I needed it but... Yeah I did. Une main levée, ces remerciements qu'il ne tient pas à glaner. C'est le cœur qui s'animait, cette amitié sincère qu'il s'est mis à lui louer depuis une bien étrange soirée. Il l'a fait en se souvenant de tout ce qui avait été confié, il l'a fait parce qu'il a vu l'une des étoiles les plus lumineuses de ces sentiers calcinés subir le même sort que tant d'autres avant elle ; elle a implosé, transformée en noirceur indomptée. And now I’m starving ! Didn’t eat much for the last few days actually… » Compréhension accordée, Phoenix qui ne fait qu'acquiescer. Il connaît ce sentiment, cette perdition soudaine qui prend jusqu'à l'âme pour l'encercler, la serrer ; la pulvériser pour n'en rien laisser. Que des débris éparpillés, des promesses brisées matérialisées en des larmes silencieuses et cachées. Il avait suivi ces routes sinueuses, fut un temps, s'y engouffre encore parfois – davantage depuis que certains univers collapsent avec celui qu'il peine à relever. « Take wha' you want then, it's on me. » Qu'il perde l'ombre qui errait sur ses traits, qu'il se libère ne serait-ce que légèrement des poids qui se sont multipliés. Qu'il se défasse du souvenir de cette étoile brisée ; rien qu'un instant, pour s'enivrer de ce qui reste, des éclaircies qui brillent encore derrière ce voile épais. « And just... really, don' thanks me for tha'... » Et il aurait pu continuer, davantage s'exprimer.

Une pause, un sourire nouveau.
Une pause, cette présence avancée qui salue et remercie trop.
Les mêmes syllabes pour l'hôte qui accueille avec cette joie non feinte.
Il y a dans son regard cette étincelle qui ne semble plus si éteinte.
Commande passée.
Et tranquillité.

Les couleurs dépareillées qui s'en remettent à cet ami qu'il a traîné, sorti du néant dans lequel il s'enfonçait. « I wasn't that close with him, y'know. But I can imagine wha' you're thinking. I've been there too. Well... It was my fault in this case but still. I've lost... so many people in just two years, man. But in the end, we're still here. » Ils sont encore là, lui n'a pas cédé aux voix qui beuglaient, aux murmures qui terrassaient cette volonté de vivre et prospérer. Il a insisté, il a essayé de se relever – il s'est reposé sur les éclaircies qu'il lui restait à portée. « You just need to accept it like it's, y'know ? Life still goes on, with or without those people. Yeah... ; un haussement d'épaules pour accompagner la tirade, la conviction moins présente qu'il ne l'aurait souhaité. Parce qu'il n'a rien accepté, Phoenix, il ne fait plus que prétendre – jouer cette comédie pathétique pour espérer parfois s'y retrouver. Bercé aux souvenirs, nostalgique d'une époque empoisonnée. Il a tiqué, conscient du manque d'enthousiasme des conseils soufflés. It's gonna haunt you like hell, but you still have people around you and, most of all, your son needs you big and glorious. Don't let him see you can be vulnerable, he'll need a superhero in this fucking town. » Là, le seul et unique lien qui ne puisse pas se briser. Le phare qui éclaire dans les ténèbres, qui chasse les crépuscules les plus longs. Partie d'eux pour lesquelles ils ont à tenir ; il lui offre le rappel de cette seule et unique motivation qui soit à se remémorer. Il ne s'agit plus que d'eux, mais bien d'un tout dans lequel ils ont à être pilier. Tremblant, certes, mais solide. Tremblant, l'homme qui songe alors à tout ce que cet ami commun a pu lui rappeler ; ces parcelles de vie défaites qu'on venait insulter, ce rappel à un passé qu'il peine encore à encaisser. Les erreurs et les dérives, la perdition dans l'infection des sentiments déformés. Un poids sur le cœur, mais ce sont ses propres avertissements qu'il en vient à se répéter. Le souffle pris pour ne rien avoir à montrer ; il n'est pas le plus à plaindre, puis présence se rappelle qui apporte déjà ce qu'ils commandaient. Diversion parfaite pour étouffer ces relents de douleur qui tentaient leur terrible percée.                                   





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▬ Lun 7 Aoû - 17:00 ▬
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Phoenix Ledger & Eliott Lloyd



Il a besoin de remplir le vide qu’il éprouvait depuis cette soirée chez Kit, depuis ce regard qu’il avait croisé, celui qu’il devait réserver à ses amants ou autre, pas à lui. Pas ça entre eux. Pas de sentiments négatifs, pas de prendre l’autre de haut, pas d’imposer quoi que ce soit… Il a besoin de combler le manque affectif, la présence de son meilleur ami qui a été plus que présent depuis son arrivée à Détroit l’année dernière. Jamais avant ça ils avaient été vraiment colocataires. Alors bien sûr, Eliott a presque sa chambre réservée chez Kit à New York même s’il finissait souvent par dormir avec lui et passer plusieurs jours pour ne pas retourner dans sa minuscule colocation à Brooklyn… C’est cette proximité qui lui manque. Il en crève et au lieu d’avancer, de compenser avec des choses saines, il a pas mangé grand chose, il a trop bu, pris trop de cachets et s’est défoncé la gueule comme pas permis une fois seul. Le repas avec Phoenix lui semblait être juste la perfection à ce moment-là. I owe you one. Next time I’m taking you to the best veggie restaurant in town. And…. if one day we have the chance, I’ll take you to the best one in the world. It’s in New York. have you been there? I lived there for 12 years Si on compte Staten Island comme New York. Techniquement c’est un des boroughs. C’est juste plus loin et faut prendre un ferry. Y a pas que Manhattan dans la vie.

Il a commandé une entrée et un plat, tous végétariens,une bouteille de vin pour eux deux, qui iraient bien avec. Et il écoute, Eliott, il se repose mentalement sur cet ami qu’il avait trop sous-estimé. Les mots de Phoenix sont ce dont il avait besoin. Ils font mal, mais ils résonnent…terriblement. he’s like my brother even if I never told him that…and I don’t have a big family… it’s always been me and my mum. He’s the closest thing I’d have to a brother… and I guess… I guess that is what it is. Family matters are tough… right? But…. we’re here… and… I know I’ll be here the day he’s back being himself. En parlant de famille, c’est ses paroles sur Noah qui font sourire l’anglais de plus belle. Ça réchauffe l’intérieur de son estomac. Il n’a été un père officiellement que depuis quelques mois, moins d’une année. Et pourtant, ce gamin, il lui donnerait tout, plus même que ce qu’il n’a. S’ildoit garder la tête haute c’est pour ce petit bonhomme qui l’appelle Papa tous les jours. you’re so fucking right, mate. You know that? you…I’ll try. I’m no superhero but I’m good at pretending. You said it’s my job right, being a journalist? Une gorgée bue des verres posés dorénavant devant eux avec leurs plats. Verre qu’il lève finalement à l’intention de Phoenix. right, let’s drink to… whatever the hell you want. Oh I know… to the little ones. To your daughter, to my son… and to the fathers we’re trying to be Il espère vraiment qu’il aura de la patience, Noah, à devoir le supporter. Au moins, il ferait de son mieux. Et si la famille d’Eliott se résume sur les doigts d’une main, celle qui l’a choisi vient encore de s'agrandir…






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▬ Mar 15 Aoû - 16:50 ▬



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Il a laissé le cœur parler. Il a laissé les émotions s'exprimer. Responsable, parfois. Responsable, quand l'endocarde est martelé, molesté par ces maux qui vont, viennent, s'ancrent jusqu'à trop être ressassés. Usés par le temps. Usés par l'autodestruction qu'il n'a jamais su parer. Il a laissé le cœur parler, Phoenix, parce que celui-là devait entendre le fin fond des songes partagés. L'incompréhension stagne, surplombe la raison qui voudrait d'ores et déjà tout excuser. Raisons qu'il n'a pas cessé d'essayer d'énumérer, en vain ; colère sourde encore présente, bien que cachée. C'est un soupir qui brave les lippes, un souffle maigre pour parer à ce qu'il aurait pu rajouter. Le trait à supposer, la ligne épaisse sur toute une histoire – un lien à couper. Mais l'espoir reste, ronge jusqu'à la déraison sous-entendue. Il récite ce que son palpitant à lui aurait à clamer, Eliott. Il s'aventure sur un sentier sinueux, où patience est maltraitée et torturée. Il attendra que l'orage passe pour essuyer les pluies diluviennes sur les traits qu'ils ont vu transformés. Il envie cette sympathie, il envie ce cœur bien plus pur que celui qu'il doit supporter. Il envie, parce qu'il sait son âme à lui détraquée ; incapable de savoir comment raisonner. Phoenix emporté dans une spirale infernale d'impulsivité, d'imprévisible méprisé. Il envie ce sourire qui lui semble sincère quand la voix se tait. Eliott, bien plus à même d'affronter le monde qu'il ne le sera jamais. Ledger premier calciné à l'infamie de quelques sombreurs embusquées. Il prétend pour donner le change, mais les chairs pourrissent sous le soufre qui s'y est accroché. Il prétend savoir comment s'élever, n'a jamais fait que creuser sa propre tombe en attendant un dernier glas pour tout sceller. « You’re so fucking right, mate. You know that ? You… I’ll try. I’m no superhero but I’m good at pretending. You said it’s my job right, being a journalist ? » C'est un rire qui le tire de ses réflexions, le rappel de ses propres mots précédemment cités. Qu'il prétendre, jusqu'à s'en convaincre. Qu'il soit celui que ce petit bout d'homme espère, parce qu'il en a toutes les capacités. Lui, il jouera le jeu jusqu'à devoir ployer le genou et tout abandonner – jusqu'à ce que ses vérités ne viennent à nouveau le condamner. Il n'a rien à apporter à cette fille adorée, rien que des craintes silenciées et des cauchemars répétés. Il y a ce sang sur ses mains qui ne peut être oublié. Néanmoins, il suit les mouvements et il l'imite, Phoenix. Le verre prit, le verre levé. « Right, let’s drink to… whatever the hell you want. Oh I know… to the little ones. To your daughter, to my son… and to the fathers we’re trying to be. » Une courbe aux lèvres, les mots manquent qu'il risquerait d'entacher de sa stupidité. Il a laissé ce sourire s'installer, Ledger, acquiesçant avant que les pulpeuses n'aient à se noyer.

Une gorgée pour taire les vérités.
Une autre pour tenter de s'apaiser.
Le verre pour parfaire le mensonge qu'il continue de donner.
L'esprit libre pourtant enchaîné.
Oppressé des secrets.

Le masque bien accroché sur les traits.
Phoenix s'improvise pilier.
Il n'est que cendres éparpillées.
« Amen to that, bro. »
                                   




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SUJET.TERMINÉ



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