catch me if you can I ft Akim.

catch me if u can.

Akim & Vassily

18h40.
Les traces du passages de ses pieds semblent presque s'effacer au fur et à mesure qu'il court. Une histoire, t'as peur. Un truc d'merde dans lequel il s'est foutu, il sait plus trop comment et la stupidité de la situation paraît le rattraper à chaque tournant qu'il emprunte. Les douleurs à ses muscles s'intensifient à chaque fois qu'il croit voir une de leurs ombres le rattraper dans sa course. Tandis qu'il s'engage dans l'ombre d'allées plus sombres, les souvenirs flous de cette journée mouvementée lui reviennent en mémoire. Des gars qui pensaient qu'il leur cherchait des emmerdes, qui l'accusaient d'être un gros bouffon qu'il connait même pas mais peu importe qui il est, c'est à cause de ce mec dont il est obligé de porter le nom qu'ils le suivent. Vass a la myocarde qui défonce sa poitrine et l'horrible sensation qu'à chaque respiration, sa vue disparaît derrière un épais voile opaque.
T'endors pas, t'endors pas, t'endors pas.

Une vague impression, de tourner en rond et de visiter les mêmes paysages depuis une bonne demi-heure. Détroit c'est grand, mais les mecs des gangs connaissent Détroit. Surtout quand t'es un Devils Disciple et qu'un connard de russe est en train de sillonner tes quartiers comme une fouine. Il est en train d'prendre un tournant mais heurte violemment quelque chose en le contournant : c'est un homme, qui a l'air aussi surpris qu'lui en le voyant débarquer. À l'en voir comment ils s'regardent, c'est pas fameux de son côté non plus. Vass' comprend rien qu'à la couleur de ses yeux. Un hochement d'tête. C'est chelou mais y a pas à réfléchir. Le russe le chope par le col, puis par la manche pour le tirer à venir dans la même direction qu'lui.

« Dis-moi qu'j'suis pas l'seul, là, cours man.

Il désigne une espèce de trappe à moitié ouverte derrière une benne à ordure, et collée à la porte arrière d'un bar. Vassily s'en approche, tape dans la serrure ferreuse d'un coup brusque du talon. Aucun résultat. Il s'tourne vers le mec, prend l'temps de le dévisager. C'est en restant presque immobile que son pitoyable état le rattrape ; si y avait pas l'adrénaline, si y avait pas la rage... Vass tourne le regard sur le côté : l'image de son corps tabassé sur le bitume apparaît en flash. Une torpeur étranglante qui renforce l'angoisse entassée au fond de son ventre, remue ses entrailles dans un bordel pas possible.

« T'as une solution ? J'sais que dans la même situation là, qui t'poursuit, qui t'veux du mal ?

catch me if u can.

Akim & Vassily

Les courses poursuites, c'était toujours un plaisir. Le comment et le pourquoi n'avait pas d'importance face à une lame de couteau. Il savait même pas qui lui courait après, si c'était un membre de gang ou n'importe qui d'autre, mais il savait qu'il n'avait pas envie de rencontrer le papillon tranchant. Du coup, il galopait, passant par des ruelles qu'il connaissait bien trop... C'était pas la première fois et ça serait pas la dernière qu'il courrait comme pour sa peau... Même si parfois, c'était juste pour éviter de se prendre des coups sur la gueule... Ca faisait longtemps qu'il avait appris à courir... Sauf que ce coup ci, quand il percuta quelqu'un, il paniqua sérieusement. Merde! L'autre avait fait un contournement? Mais non. Un autre gars aux abois. Vu son souffle court et son attitude, lui aussi, il se faisait courser. L'autre réagit en premier, embarquant Akim pour la suite de la course poursuite. Il avait pas intérêt à être dans ses pattes, sinon il lui marchait dessus! On était face au hasard d'une rencontre.

"Nan t'es pas le seul, alors ta gueule et galope, on a pas le temps!"

Bon, il était un peu vulgaire sur le coup, mais sérieusement... Ils avaient vraiment pas le temps. Il freina des quatre fers quand l'autre s'arrêta pour tester une possibilité de planque... Il ne savait pas trop s'il préférait se planquer ou continuer à courir, mais dans les deux cas, la grille, elle bougerait pas. Il se fit demander s'il avait une idée. Il analysa rapidement la ruelle. Un escalier de secours pas accessible depuis le sol et une porte entreouverte. Bingo. Il hocha la tête et avisa la gouttière qui passait pas loin de l'escalier. Il y alla et se mit à l'escalader souplement avant de sauter sur l'escalier. Il s'assura que la porte était bien ouverte et non piégée et vint se pencher dans le vide en lui tendant le bras.

"Amène toi!"

Il pourrait le hisser et ils pourraient au moins reprendre leurs souffles sans trop de risque... Du moins l'espérait-il... Et que l'autre n'allait pas reculer au mauvais moment à ne pas lui faire confiance. Il répondrait à ses autres questions après, pour l'instant, l'important était de se mettre à couvert.

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All that is gold does not glitter, not all those who wander are lost; The old that is strong does not wither, deep roots are not reached by the frost. From the ashes a fire shall be woken, a light from the shadows shall spring

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Akim & Vassily

Aucune réponse. La beauté du suspense. Sa mélodie qui serine dans ses oreilles, l'odeur de l'adrénaline qui plane tranquillement. Un intérêt éclair qui disparaît soudain quand le russe se rappelle à l'ordre: C'n'est pas l'moment d'en avoir quelque chose à foutre. Nul combat ne sait le faire reculer mais c'est une de ses situations qu'il a quand même envie d'fuir pour éviter l'inutilité de ses conséquences. S'foutre sur la gueule. Se battre, toujours. Encore. Gueule dans la terre, pieds dans la boue, à baver les efforts d'un acharné d'la vie. Il y pense, au fur et à mesure qu'il juge la situation plus compliquée qu'elle ne devrait l'être. Il y pense, à n'pas essayer d'faire confiance à celui qu'il a jugé être un bon allié sur un coup de tête. Akim, peut-être, est l'ennemi juré qu'il aura demain.

« Ouais. On posera nos questions plus tard,
qu'il dit d'une voix qui en dit long sur sa forte envie d'en finir avec toute cette merde.

Akim entreprend de faire le singe sur le mur d'en face et de ses yeux avisés, dont les pupilles suivent à la fois ses mouvements et les ombres vaquantes, Vassily garde son attention portée sur chaque parcelle de danger qui se cache derrière le tournant. Il répond à l'appel de l'inconnu, gardant dans un coin de sa tête que les risques qu'il décide de lui lâcher le poignet sont à peu près proportionnels à ceux qu'les mecs aient le temps de débarquer pour lui tirer dans le dos. Pourtant il s'accroche à son bras et se hisse sans mal. Un rapide hochement de tête pour le remercier, et il juge la hauteur de l'escalier au sol. Raisonnable. Situation de crise durant laquelle les questions s'enchaînent : l'escalier, où mène t-il ?

« Viens.

Pas un mot de plus. Le russe s'engouffre dans les spirales de l'escalier, avisant chaque porte qu'il croise d'un coup de pied pour tenter les entrées. La moitié est fermée, l'autre, sans doute occupée. C'est au bout de quelques étages, alors que le vent d'en haut se révèle plus glacial au fur et à mesure que se multiplient les marches, que le russe s'arrête enfin. La brume est à hauteur de visage, assez opaque pour obstruer la vue et picoter les narines. Il fixe un moment Akim avant de reculer d'un ou deux pas. Suffisants pour se permettre un bon élan et taper d'un coup sec dans la porte. D'un coup elle s'ouvre sur un petit espace paraissant heureusement vide et sans fond - en son intérieur, les Ténèbres semblent occuper sans mal le rectangle de la pièce. Sans la moindre hésitation, le russe s'y engouffre et s'arrête entre les griffes des ombres. Il se retourne vers Akim.

« Tu vas m'raconter, maintenant ?
La voix, dans le silence qui s'arrête en suspens dans le noir donne l'impression d'un son sans échos. Seul le sifflement du vent perce tel le passage d'un fantôme dans l'entrebaîllement d'une porte. C'est plus personnel, maintenant, dans l'intimité et l'attente de l'instant décisif, se réunissent peut-être deux âmes en peine, proies de démons. « C'est quoi ton nom ?

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The hauntings of the past never go away. These are the only things we have left, perhaps vain hopes of not feeling that way again.The past isn't dead, it isn't even past. We get up every morning and die every night, immortal warriors.(LOTR)

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Akim & Vassily

Il espérait que l'autre allait se bouger avant qu'il attrape une crampe quand même. Il fut soulagé de le voir finalement s'approcher parce qu'il était pas fort loin de le planter là... Il assura sa prise quand il attrapa son bras et l'aida à se hisser. Malgré son physique, Akim avait de la force et c'était pas inutile parce que son comparse avait un certain poids à soulever. Du muscle à n'en pas douter, mais quand même. Il hocha la tête et le suivit, même s'il n'était absolument pas fan de la méthode de l'autre... Bien trop bruyante à son gout... Comme le fait de suivre le rythme qui n'était pas le sien dans l'ascension... Il ne comptait littéralement sur personne d'autre que lui même pour sauver sa peau et quand la dernière porte céda vers un intérieur sombre, il n'était pas certain d'avoir envie d'y entrer... Mais bon, il ne faisait vraiment pas chaud et peut être que ça couperait un peu du vent. Il finit par entrer et entreferma la porte histoire que ça soit plus discret... La hauteur ne voulait pas dire qu'on ne pouvait pas se faire remarquer, surtout quand on avait ouvert a grand coup de pieds. Il leva les yeux au ciel en entendant la question. Ca ressemblait presque à une agression et ça ne lui plaisait absolument pas. Puis la situation se passait de questions non?

"Akim. et toi?"

Ca, c'était une question un poil plus utile... Parce que de toute façon, la réponse à la première question n'était même pas évidente à ses yeux... Il soupira et s'appuya au mur avant de passer une main dans ses cheveux.

"Et te raconter quoi? J'me faisais courser, j'ai couru pour pas me faire planter, fin de l'histoire."

Parce qu'en vérité... Est ce que c'était parce qu'il avait bousculé ce gars, refusé de lui filer son herbe ou qu'il avait une tête qui lui revenait pas, il en savait foutrement rien... et c'était une raison de plus pour pas se faire trouer la peau selon lui...

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CATCH ME IF YOU CAN

APPARITION DE VOTRE INQUISITRICE
à la suite des vautours, le froid des ténèbres s'élève...
Une ombre s'avance, calme et silencieuse. Les griffes acérées, le poison qui s'écoule des lèvres abîmées. Le visage est déformé, teinté de cette hargne, de cette colère, de ce trop-plein de cruauté. Et pourtant, les prunelles ne sont pas à même de l'accrocher. Ce n'est qu'un spectre, fantôme omniprésent qui longe les murs, qui souffle sa démence sur les esprits les plus malléables. Elle est là, messieurs ; si près, pourtant si inatteignable. Dans une prière enfouie, en quelques mots levés – elle a été invoqué. Et votre inquisitrice ne manque jamais une occasion de s'approcher. Affamée qu'elle peut être, celle-ci, quand des tourments peuvent être proposés. En cet étrange instant, messieurs, trois solutions s'offrent à vous.

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- OPTION I - Dans la rue, les pas résonnent, s'arrêtent, reprennent – s'éloignent. Combien sont-ils à s'être volatiliser un peu plus loin ? Vous ne pouvez pas le savoir. Néanmoins, il semblerait que vous puissiez souffler. Vos conversations peuvent reprendre, le calme plat vous est donné. Et FATE, elle, ne faisait également que passer.

- OPTION II - Dans la rue, les pas résonnent, s'arrêtent, reprennent – s'éloignent. Combien sont-ils à s'être volatiliser un peu plus loin ? Vous ne pouvez pas le savoir. Néanmoins, ce son bien distinctif vous revient. C'est une impasse qui ferme la ruelle dans laquelle vous vous étiez engouffrés. Rien qu'une impasse et il semblerait que l'homme qui s'est risqué jusqu'ici ne soit pas aussi stupide qu'il y paraissait. Ses yeux se sont levés, une porte entrouverte qu'il a aperçu dans les premiers étages de cet escalier que vous avez remonté. S'il parviendra à se hisser ? Peut-être. Peut-être pas. Sachez qu'il peut tout aussi bien trouver une entrée plus accessible pour venir vérifier les doutes que son esprit s'est mis à nourrir quant à votre position.

- OPTION II - Dans la rue, les pas résonnent, s'arrêtent, reprennent – s'éloignent. Combien sont-ils à s'être volatiliser un peu plus loin ? Vous ne pouvez pas le savoir. Néanmoins, derrière les murs dans lesquels vous vous êtes retranchés, une présence se manifeste. Elle longe les autres pièces, faisceau lumineux qui se trahit sous l'une des portes que vous n'aviez pas aperçu. « Je jure que si c'est encore ces connards de gamins, ça va chier. » Un voisin attentif ou le propriétaire de l'immeuble, qui sait.

Le membre 'FATE' a effectué l'action suivante : Coup du sort

'3 Options' : 2

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CAUCHEMAR

ultimate horror often paralyses memory in a merciful way. --

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Drôles de présentations, là, au milieu d'une tranchée. C'était comme si deux condamnés se tendaient une dernière fois la main et sans un mot se racontaient leur histoire respective deux minutes avant la fin. Même quand on fait parti d'un gang à Détroit, surtout quand on fait parti d'un gang, on a pas toujours l'envie d'en venir aux poings et aux coulées de sang, surtout quand nos adversaires sont des tarés fous furieux capables de traverser toute la ville pour vous faire la peau. Vassily n'en craignait pas le moindre de leurs crocs, il voulait simplement éviter de devenir de la pâté pour chiens, surtout pour des broutilles de paranoïaques déjantés.

Ouais. Inutile d'en faire toute une histoire ; Akim comme lui traversaient actuellement une situation qui se passerait bien d'un "racontage de vie" de 40 ans. Il n'avait jamais aimé qu'on lui pose des questions de toute façon, pas plus qu'il n'avait déjà aimé s'étendre sur des détails. Quand on veut parler, parfois, il faut plutôt se taire.

Tu peux m'appeler JN. Ou Vassily, au choix. Une préférence pour JN.

C'est inexplicable, quand il lui sort son "deuxième prénom" plutôt que celui sur les papiers en premier. Il tente un regard par-dessus la balustre : quand la menace s'affirme, elle s'insinue dans les tripes, elle se sent dans l'air. Le russe plisse les paupières. Quelque chose a changé dans celui-ci. Il est comme un animal qui sent le prédateur avancer pas à pas, avec prudence entre les hautes herbes. C'est une évidence indéniable : dans quelques instants, de longues secondes tout au plus, quelque chose va se jeter sur eux. Il aperçoit une ombre se faufiler dans l'ombre de la ruelle empruntée.

Il faut qu'on avance. Y a quelque chose ici qui m'dit rien qui vaille.

Il n'attendit pas midi à quatorze heures pour s'exécuter. Le jeune homme s'élance le long du couloir et pénètre entre les quatre murs de ce qui semble être l'ancien entrepôt d'il ne savait pas trop quel endroit. Une rapide inspection des lieux : c'est vide. Il y a un gros débarras dans un coin, une pile de cartons, d'anciens outils de travaux, une table en plein milieu... Rien de bien concluant, ne serait-ce que la présence d'une dernière porte au fond de la pièce, qui doit mener à une énième sortie. Il s'y avança avant de stopper leur course, sa main attrapant sèchement le bras d'Akim pour l'arrêter.

D'ailleurs. Je crois qu'il y a un mec, dehors. Si on passe cette porte et qu'il y a pas d'échappatoire de l'autre côté, on sera obligé de redescendre ou de monter encore plus haut. Il pourrait nous tirer dessus.

Il ne prononce pas la question mais la pense très fort. Peu importe de quel camp il est, cet homme en bas est un ennemi. Vassily se palpe : aucune trace d'armes quelconque. Au même moment, des bruits de pas. Des claquements métalliques, qui résonnent en rythme et deviennent de plus en plus distincts.

Je ne sais pas si l'on va avoir longtemps le choix.

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Akim & Vassily

L'adrénaline à son comble, le coeur battant à tout rompre, il a envie de lui en coller une pour le peu de discrétion dont il fait preuve. Mais pas le temps de s'en soucier. Il hoche la tête en guise de réponse à sa présentation. Il pourrait tout aussi bien l'appeler connard que ça n'y changerait rien. Et il oublie la précaution quand l'autre s'enfonce dans le batiment. Grossière erreur, il devrait le savoir. Mais sauver sa peau n'est pas une activité de groupe et les signaux sont brouillés dans son esprit. Il ne l'écoute qu'a moitié quand il lui parle de la porte, d'un mec dehors... Qu'importait? Il comptait sur sa vitesse pour être un élément de surprise de toute façon. Ca l'avait toujours sauvé. Il le dépassa rapidement pour arriver à cette porte de sortie, peut être... Mais elle n'était pas en mesure de s'ouvrir. Il ragea quelques minutes dessus, tentant par tous les moyens de l'ouvrir.

"C'est mort par ici."

Mais il n'y a jamais qu'une seule entrée dans les entrepôts. Il observa rapidement les lieux, ils étaient en hauteur, il devait y avoir une sortie au sol. Il avisa l'escalier et y descendit à toutes jambes. Pas le temps pour réfléchir ou se poser des questions, sortir de là, avant tout. Une fois au niveau zéro de l'entrepot, il aperçut une autre porte qu'il alla vérifier. La poignée s'enclencha et il fit signe à son comparse de rappliquer. Il attendit qu'il arrive près de lui pour ouvrir la porte, débouchant sur une autre ruelle. Juste une échelle à descendre. Il ne demanda pas son reste pour le faire, mais dans sa hâte, il n'avait pas vu l'homme, non loin de la dite échelle. Quand il l'aperçut, il sauta littéralement avant de toucher terre, provoquant chez le pauvre homme un sursaut et un mouvement de recul. Pas d'armes. Pas l'air concerné. Pfiou. Il planta son regard sur Vassily.

"Grouille toi, ils quadrillent surement le secteur, là, on a une chance de les semer!"

Dans tous les cas, il n'allait pas parier sa chance à entrer dans un autre bâtiment, il se contenta d'avancer vers le dédale de ruelles qu'il savait être derrière ce batiment, dans la direction opposée d'où leurs poursuivants les cherchaient, que l'autre le suive ou non.

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‡ ▬ BEYOND THE VEIL ▬ ⚖