organisations judiciaires et sanitaires

HEROES

Les fondations qui peinent à être rénovées. Installations branlantes, murs salis par le temps, l'usure, les affres qui excèdent ce personnel à bout de souffle. Ils font au mieux, ces êtres que les serments ont lié à cette ville gangrénée. Foyer des lueurs pleines de promesses et d'espoir. Foyer de cette justice qui, peu à peu, s'étiole au contact de verts billets. Dans ces locaux trop bondés, ils fourmillent, ces flics, ces pompiers et ces médecins acharnés. Droits pour certains, corrompus pour d'autres. Moyens qui manquent, toits troués, tapisserie jaunâtre qui rappelle bien des instants d'un passé fatigué.

Les groupes cités ci-dessous sont non exhaustifs, vous pouvez bien jouer d'autres métiers se rapportant à ces services. Leur fonctionnement est simplifié et les grades condensés pour des questions de facilité de jeu. Le forum centralise ces unités en un seul district principal qui peut intervenir dans toute la ville contrairement à la réalité. Le focus est fait sur les départements les plus porteurs de matière rp.
Notez que, pour le personnel hospitalier et les pompiers, leur rôle est indispensable en intrigue mais sera plus léger en jeu quotidien. Si vous voulez jouer un citizen avec un but particulier et plus de matière que les autres ils sont fait pour vous. Ils ont cependant, moins de missions et d'impacts que les policiers et les gangs.
Les posts à responsabilités sont jouables, le staff s'accorde certaines exigences à la lecture de votre fiche pour jauger si votre logique est celle du forum - vous serez en contact régulier avec lui afin de servir l'histoire du forum en respectant vos envies et un certain réalisme). N'hésitez pas à poser vos questions au STAFF.

11th precinct - DPD

Murs jaunes. Lavasses. Murs bruns de ces anciennes effluves de tabac qui n'ont pas été repeints. Stores en lamelles, tamis de lumière sur les néons blancs crasseux. Poussière du temps. Poussière de l'espace qui se répand. Une entrée gigantesque, un guichet même pour dispatcher les plaintes dans l'immensité de ce pôle principal des serviteurs de la justice.
Foyer de promesses et d'espoir. Foyer de cette loi en laquelle on aime à croire quand elle ne se liquéfie pas au contact verdoyant de billets, de pression, d'ego caressé par les ailes du mal.
Ici, les services s'entassent en une tour de briques rouges. Ici, les étages, les garages et les ambitions se répartissent. Anti-gang, criminelle, S.W.A.T ; les agents servent sous la juridiction du maire en la bannière du detroit police department (dpd).

● Âgés au minimum de 21 ans, américains et résidents de Detroit, ces hommes et femmes montrent patte blanche, casier vierge à leur entrée. Après minimum deux années en école de police suivant le lycée (ou avoir été militaire 3 ans), ils passent un examen d'entrée (tests écrits, physiques, médicaux et psychologiques). Ils deviennent alors les légendaires bleus de leur département.
● Formés en binôme avec des policiers expérimentés, l'âge de cette patte vieillissante ayant roulé sa bosse est l'acquisition d'un savoir de qualité. Chien fou qui entraine le chien sage et se calme à son contact en une à deux années. Ils deviennent ensuite des officiers et monteront les galons au fur et à mesure de leur expérience.
● Vocation qui coule dans le sang, paupières lourdes qui accumulent la fatigue et les désillusions, les journées durent environs 12 heures. Appelés à tous moments, sacrifice d'une vie personnelle. Heurt de l'âme, de la conscience désabusée par ces actions souvent infructueuses. Contrairement à Detroit, la police peine à revenir d'outre-tombe. Les gangs et le fiel de cette cité sont bien des entités difficiles à faire tomber, condamner, oublier.
● Testés régulièrement sur leur condition mentale et physique, des yeux se ferment parfois sur les vices qui souillent le sang et la morale. Gangrénés jusqu'à la moelle, la corruption secrète gagne de plus en plus les rangs. Vanité d'une justice non rendue qui finit par servir les intérêts personnels de ces flics perdus.
● Ils collaborent en permanence avec les médecins légistes situés au st john hospital par manque de place dans les locaux alloués. Ils entretiennent également des liens avec les pompiers et les secouristes.

------------------------anti-gangcriminelleswatjustice
-----------------------------------commissairehiérarchieeffectifs

Cerveaux, envoyés d'une couarde justice qui réclame un nombre incalculable de preuves. Enquêteurs chevronnés qui tentent d'accumuler ce qu'ils peuvent pour défaire ces hydres aux têtes qui repoussent sans cesse. Trafics de drogues, d'armes, d'humains et autres ; leurs enquêtes sont fastidieuses et infructueuses souvent. Branches entières à faire tomber ; le nombre d'âmes à enfermer est primordial. Le moral est d'acier dans les premières années... tous persistent, peu restent intègres et croient aux bienfaits de leurs missions. Les équipes travaillent au nombre de deux à trois par gangs et sont étroitement liées aux STUPS.

Yeux préparés. Ame aiguisée qui ne faiblit face à la barbarie des hommes. Ces agents font face quotidiennement à tout ce que l'humain à de pire à offrir. Vols armés, enlèvements, incendies volontaires, affaires de personnalités sont leur lot. Crimes sexuels, attentats et meurtres innommables sont un fardeau. Tout comme l'anti-gang, ils mènent l'enquête mais puisque les coupables sont souvent isolés, ils parviennent presque toujours à les faire tomber.

Corps. Bras armés. Bouclier constitué d'âmes de fer. Hommes et femmes surentrainés au combat. Pour la plupart anciens militaires, cette unité est le bélier, le cerbère de tous les départements plus haut cités. Une descente, une perquisition risquée, une prise d'otage, une interpellation ; ils sont les balles des agents de l'anti-gang et de la criminelle. Emeutes, fusillades, conflits terroristes, tentatives de suicide armée sur la voie publique... les agents du SWAT sont partout, tout le temps. Gardiens de la paix.

L'espoir, la volonté et la détermination. L'ambition de contrer l'avancée d'une trop grande corruption. Dans l'ombre, @Mike Rivera s'est donné pour quête de nettoyer les rangs des forces de l'ordre et a créé, en mars 2021, une milice officieuse pour que la peste qui condamne la ville puisse être efficacement traitée. C'est dans un local du Business District – Downtown que les élus qu'il s'est trouvé se rassemblent désormais ; cet endroit racheté sous le faux nom d'une start-up en plein essors. Tous choisis précautionneusement par le procureur Rivera lui-même, ils sont ceux dont les dossiers sont marqués par les instincts qu'ils ont décidé de suivre au lieu des ordres bêtement aboyés. Ils sont ceux qui ont du répondant et qui se démarquent par les actions bénéfiques pour la paix de cette pauvre Detroit essoufflée. Flics et affiliés loin d'être irréprochables, mais passionnés dans l'entreprise de rendre à cette Justice son nom immaculé.

Enquêtes officieuses sur des collègues potentiellement véreux jusqu'à obtention de preuves. Tentatives d'enfermer les partenaires mafieux suite aux enquêtes menées sur ces soi-disant gardiens de la paix. Implication dans la milice sur décision de Mike Rivera, ne peut se faire autrement. Pas d'accès aux locaux et aux effectifs déjà présents si décision défavorable de la part de ce dernier.

- effectifs - @lestat roseburry, @clayton banks

Poupée de Fate, cet homme à la carrière mouvementée, gère tout le dpd et le représente pour le maire et le procureur. PNJ dévoué à son inquisitrice, il interviendra sous ses traits pour parfois diriger les agents.

TREVOR DAVIS ((ft danny glover)) Âgé de 55 ans, cet homme en parait bien plus. Usé par le métier, par les visions d'horreur qui grouillent en cette citée.ancien militaire oblige. Sa sévérité est parfois entachée par son manque d'amour propre et ses multiples dépressions. Sévérité de la tâche. Intègre, le goût amer de la corruption en ses locaux contre laquelle il ne peut rien. Dépassé, éreinté. Il n'est désormais plus un homme d'action. Carcasse en errance qui attend de se retirer.

capitaine ; lien direct entre les équipes et la hiérarchie (commissaire, procureur et maire). Il est celui qui gère la communication avec la presse et les âmes victimes mêlées aux affaires.
lieutenants ; sur le terrain, ils supervisent une équipe et la paperasse. Ils sont les managers des enquêtes et des arrestations. Ils décident des pistes à suivre et s'assurent que les preuves à charges sont suffisantes et garantissent le respect des procédures par leur équipe.
inspecteurs ; officiers confirmés, ils suivent les directives de leur lieutenant. Ils vérifient les hypothèses et procèdent aux interrogatoires et arrestations sous couverture civile. Ils sont souvent en contact avec des indics.
officiers ; premiers sur les lieux, ils sont au bas de l'échelle et assistent les autres grades, ils portent toujours l'uniforme.

procureur @mike rivera - commissaire trevor davis mj - anti-gang lieutenants @lestat roseburry (black crows), @clayton banks (b-bang clan), @william duncan (devils diciples) inspecteurs @keira thompson (gorgo nostra), @ronan cavill (gorgo nostra) - officiers @leena mcgraw (black crows) - criminelle lieutenants - inspecteurs @harvey booker, @camille bakker officiers - judiciaire lieutenants @dolores montoya - criminologue - administration - s.w.a.t capitaine @jakob hanson - agents @clarence duncan, @tatiana o'connor autres départements sergents inspecteurs dispatcher

-----------------------2019202020212022

november C'est la colère qui retentit jusqu'aux marches de la mairie. Suite aux événements d'octobre, la communauté afro-américaine réclame justice pour Zachary Idry. Émeutes, violences, des agents des forces de l'ordre et des membres du S.W.A.T déployés pour garder la mairie de potentiels insurgés sont pris pour cible. Un mort est déclaré lors de ce triste jour, assassiné par l'un des gardiens de la paix. L'enquête sera tenue au silence, mais les rumeurs circuleront rapidement. Les supérieurs réclament la démission de cette personne afin de ne pas tout accentuer. Rien de plus n'est acté.

october Lors d'une soirée Halloween, c'est un tragique événement qui prend place dans les bas-quartiers oubliés de Detroit. La police, rapidement appelée, arrête deux hommes suite au meurtre d'un afro-américain ; brûlé vif au balcon des ruines d'une maison par des membres présumés d'une secte raciste et extrémiste. L'enquête démarre, mais est rapidement laissée de côté.

september Panique qui résonne dans toute la ville. Une explosion et des impressions de déjà-vu. Si les autorités encerclaient le périmètre de la commémoration organisée, elles n'ont pas su endiguer les tragédies qui s'y sont jouées. Déployées sur les dires d'un infiltré des Devils Diciples, elles s'étaient préparées à quelques fusillades, quelques rixes, mais pas à la poussière qui s'est levée quand l'un des bâtiments s'est effondré. Acté délibéré sur lequel une enquête est ouverte, flics véreux faisant profil bas. Trop nombreux sont les blessés, les morts déclarés. Si les secours ont agi rapidement, la faute est une fois de plus donnée aux forces de l'ordre dont la vigilance a été bafouée. Toutes centrées au Campus Martius Park, le manque d'effectif a laissé place aux tueries entre gang dans les quartiers du Downtown et en bordure de ville. L'impuissance devient finalement plus brutale qu'elle ne l'avait été et, de ce fait, elle parvient à soulever de nombreuses questions vis à vis d'une probable corruption.

august Un tueur qui rôde et les autorités qui refusent de trop s'en mêler – après tout, il se risque à faire taire quelques membres de gang, pourquoi l'arrêter ? Cependant, deux inspecteurs se collent officieusement sur l'affaire. Les Zerilli accusent les black crows et inversement. Duo improbable qui se forme entre @lestat roseburry et @clayton banks et qui, dans l'ombre, essaie de résoudre l'affaire. Ce qui ne fera qu'envenimer les choses entre les deux gangs ennemis.

april C'est un festin pour les STUPS qui est signalé en plein dans les rues en ruine d'une Detroit pauvre. On les incite à être plus vigilants encore puisque les trafiques de drogues sont en pleine floraison. Quelques branches sont destituées, mais les arrestations ne sont pas aussi nombreuses qu'on l'espérait.

march Les heurts sont plus que nombreux. La ville est en ébullition et finalement, les forces de l'ordre doivent se rendre à l'évidence qu'elles sont en partie insuffisantes. Les guerres de gang sont plus féroces que jamais ; davantage avec ce qui s'est passé en fin d'année passée. Le garage des Devils Diciples est isolé, encerclé par des membres du b-bang gang qui ne laissent avancer aucune autorité. Coup dur pour les gardiens de la paix qu'on qualifie d'inutiles.

december Investiture de Devon Payne au stade Ford Field. Un groupuscule aux croyances irraisonnées s'impose dans le stade et aux alentours. Un tir résonne dans l'enceinte du stade et provoque la panique dans l'enceinte des lieux et dans les périmètres extérieurs. Forces de l'ordre dépassées et les secours réquisitionnés pour venir en aide aux nombreux blessés recensés. Les arrestations se font et les enquêtes s'ouvrent pour accentuer le lourd dossier depuis la mort de Alexander Fleck.

september Arcadia Boulevard sous le règne d'une panique totale. Les mouvements de foule se sont accentués et pour cause, l'assassinat de Jesse Wade, candidat aux élections pour la mairie. Les autorités et les secours sont réquisitionnés sur place pour prendre en charge les blessés, filtrer la foule et calmer la terreur qui régnait sur les lieux. Une enquête est ouverte pour retrouver les fourguons aperçus. Un assaillant arrêté, mais aucune information n'a pu lui être soutirée. De plus, une prise d'otage s'est jouée sur le plateau télé qui accueillait Ruby Bowen et Georges Pearson, tous deux candidats aux élections pour la mairie, ainsi que de grandes figures telles que le procureur @Mike Rivera. Tous sont sains et saufs, l'enquête se poursuit sur ces personnes qui se sont échappées.

may On pensait les événements passés. On pensait le calme revenu, les cœurs prêts à se reposer. Mais quelques ombres sont revenues ronger les lueurs de clarté qui s'étaient levées. Dans les couloirs de l'hôpital St-John, quelques pas se sont apposés. Assaillants assurés qui se sont risqués jusqu'à l'adjoint du Maire hospitalisé - massacre qui se termine dans le sang de ce dernier. À n'en pas douter, ces hommes sont ceux qui ont assassiné Alexander Fleck, le Maire, en février dernier. Tuerie qui n'a pu être empêchée puisque les effectifs des forces de l'ordre du commissariat le plus proche manquaient - ceux-là pris dans une fusillade aux abords de la ville avec un groupe de Devils Diciples.

february Si les choses se sont relativement calmées suite aux événements tragiques de Septembre, quelques tensions subsistent dans les esprits de beaucoup. L'annonce du discours du Maire fait s'activer bien des manifestations. Policiers, SWAT, tous, tous sont présents pour assurer la sécurité de cet après-midi afin que des débordements n'aient pas à s'installer – mais le pire est commis et le Maire est assassiné. La faute au manque d'effectif, aux consignes à moitié respectées. Sécurité compromise qui appuie ce soupçon de corruption dans les rangs de la justice enraillée. Panique s'élève une fois de plus jusqu'à tout contrôler, les forces de l'ordre ont été débordées pour pouvoir contenir le voile d'effroi qui s'est apposé – que ce soit sur les marches de la mairie comme ses alentours.

april La guerre éclate et plonge les forces de l'ordre et les équipes de secours (pompiers et personnel soignant) dans le chaos. Durant le mois, à deux reprises, des vagues de blessés, ainsi que des défunts, sont accueillis dans les centres hospitaliers suite aux fusillades survenues dans le quartier irlandais, le Mist ainsi qu'au garage connu des Devils Diciples. Les conséquences sont lourdes pour les esprits qui peinent à suivre le rythme. La police est mobiliser afin de faire la lumière sur tout ce qui s'est passé, Ruby Bowen réclame des arrestations et des enquêtes suivies et non-bâclées.

ST JOHN HOSPITAL

Saint John. Grande bâtisse grise où la pollution coule de ces toits plats, là où ravine la pluie. Fenêtres crasseuses, manque de moyens évident pour cette ville qui n'a de cesse de chuter. Il faut pourtant les sauver ces vies, ces âmes au milieu de ce personnel débordé. Misère sociale dépassée, accords avec de grands groupes, avec de véreux lobby qui empêchent les serments d'être honorés. Saint John tente de se relever non sans, parfois, délaisser ceux qui, dans la misère, sont à deux doigts de crever.

------------médecinsinfirmierslégistesdirectricepersonnel

Ego, caste élitiste qui ose défier ces chemins imposés par FATE. La voie des grands. La voie de ces mains qui ne sauraient, à un instant, se prendre pour le tout Puissant. La vie, la mort, ces doigts qui régissent les lois les plus ancestrales de cette misérable existence.
● Sur les sentiers de leur réussite, ces hommes et femmes passent quatre années de médecine dans une université avant d'intégrer cet hôpital sur concours, pour six à huit années de dur labeur.
Riches ou endettés, même si la ville offre une des formations les moins chères du pays, les verts billets se comptent tout de même en trentaine de milliers.
● De la théorie à la pratique, les quatre premières années d'études forment des externes. En bas de l'échelle de cet Olympe de savoirs, ils exécutent 40 heures par semaines et ce, jusqu'à ce qu'un second concours les nomme enfin médecins.
● A son obtention, le pouvoir qu'ils possèdent se précise sur deux à quatre années. Ils se spécialisent, construisent leur renommée. 80 heures par semaines constituent les travaux de ces nouveaux héros.
Les deux premières années servent la médecine générale. Résidents puis titulaires, ils rejoignent les services des urgences par exemple s'ils arrêtent leur formation à ce stade.
Pour les futurs Dieux, deux autres années supplémentaires sont requises. Internes puis titulaires, ils sont ces grands maîtres chirurgiens que l'on envie dans les films, un cœur en main ; le pouvoir sur une vie, un destin.

Plus humbles. Plus proches de ces vies sauvées qui réclament une attention humaine, ils se situent hiérarchiquement entre les externes et les internes. Labeur de 40 heures par semaines, ils aident à poser les premiers soins et diagnostiques.

Amis de la faucheuse, amis de cette grande dame silencieuse. Proche des échos des derniers soupirs, les légistes sont des médecins spécialisés.
● Envoyés médicaux de la Justice, ils demeurent entre les murs de Saint John par manque de structures en ville ; mais ils ne servent que le procureur et répondent aux besoins du D.P.D.
● Experts juridiques pour une durée de 48 heures par semaines ; ils sont la loupe, l’œil des enquêtes sur les morts comme sur les vivants en cas de viols et de violences parfois meurtrières. Ils procèdent en moyenne à trois levées de corps par semaine et à cinq expertises en commissariat.

Poupée de FATE, cette petite boule de femme carriériste est la directrice crainte mais admirée de cet hôpital. PNJ dévoué à son inquisitrice, elle interviendra sous ses traits pour parfois diriger ses équipes.
HARIET JONES Âgée de 49 ans, elle s'est construite seule. Femme, afro-américaine et issue d'un milieu pauvre ; ses nombreux frères sont des camés notoires du B-Bang Gang. Les dents longues, elle se bat au quotidien pour faire valoir son incroyable réussite et exige de ses employés une rigueur quasi militaire. Impitoyable, blessante, elle rabaisse le personnel dans l'espoir de les améliorer. Divorcée et sans enfant, elle jalouse ceux qui parviennent à allier carrière brillante et vie de famille. Sa dévotion sans faille est pourtant mère du succès incontesté de cet hôpital.

directrice hariet jones mj - chefs de services chirurgie générale @irene hanson, cardio-thoracique, chef urgentiste - chirurgiens - médecins spécialité chirurgie plastique reconstructrice @cat porter - légistes - préposé à la morgue @sosthene ledger - étudiants - infirmiers

CENTRE DE SECOURS

Flammes. Enfers sur terre. Hadès personnifié qui déverse ses flots de lave sur l'humanité. Héros, sueur contre le front, ils bravent, ils se tiennent et donnent affront à l'un des dieux de la fatalité. Fatale FATE qui fait bien des victimes que ces personnes cherchent à sauver. Derrière les murs de taule bancale du centre de secours, les sapeurs pompiers et le service d'urgences se démènent pour atténuer les affres que votre inquisitrice impose.

------------pompierssecouristescollaborationscapitainepersonnel

Rouge. Rouge sirènes. Chars rouges pour éviter au vermeil que de couler. Dédiés corps et âme à cette cause salvatrice, ces hommes et ces femmes se donnent aux autres.
● Âgés au moins de 21 ans, détenteurs de la nationalité américaine et d'un casier vierge, ils passent un examen d'entrée avec des épreuves écrites et physiques. Certains peuvent se spécialiser dans quelques domaines d'interventions (aquatique, déminage...). Ils deviennent alors pompiers de première classe et la montée en grade se fait avec l'expérience et les places disponibles (lieutenant, sergent...)
● Répartis en équipes, les gardes de dur labeur se déroulent en un peu plus de 24 heures. Véritable lieu de vie, la caserne offre dortoirs, salle de sport, douches et cantine à ses résidents dérobés à leur propre vie. Ils ne travaillent que trois jours par semaine en raison de ces éreintantes veillées. Certains prennent un second emploi, d'autres se reposent et se contentent d'un salaire qui ne vaut pas grand chose.

Gyrophares. Camion salutaire aux cris de misère qui s'envolent au delà des rues et font tressaillir les instincts apeurés par les drames possibles. Cette ville de tous les dangers.
● Âgés d'au moins 18 ans, ces sauveurs sont diplômés d'une école supérieure. Ils travaillent par roulement de 12 heures en binôme. Ils ne sont pas autorisés à pratiquer d'actes chirurgicaux au risque de s'exposer à des poursuites, de la prison et à la perte de leur précieux diplôme.

Parfois seuls, parfois ensembles, sauver des vies nécessite souvent de posséder des mains alliées. Entre eux, avec les forces de l'ordre et le personnel des hôpitaux de la ville, ils s'aident, se répondent et rendent parfois des rapports d'enquêtes. Les visages se connaissent et des amitiés parfois naissent entre ces services.
● Tous régulièrement testés physiquement, psychologiquement, les drogues et l'alcoolismes sont des vices qu'on cherche à leur déceler.

Poupée de Fate, cet homme à la carrure charpentée est le chef parfois contesté mais respecté de cette caserne. PNJ dévoué à son inquisitrice, il interviendra sous ses traits pour parfois diriger ses équipes.
THOMAS MILLER Âgé de 42 ans, accroc au sport et aux concours de beauté, ce bellâtre d'un mètre quatre-vingt-dix fait sensation dans son uniforme. Célibataire, volage, complexant ses hommes ; il aime se faire respecter par des palabres enfantines sur la silhouette de ses comparses. Il les pousse ainsi, malgré lui, à se surpasser physiquement au point où parfois, les larmes coulent, craquent, dessèchent les lieux d'une âme humaine. Pour lui, l'horreur qu'ils vivent exige un manque de compassion.

capitaine thomas miller mj - pompiers @callum brown première classe @jay madden (paramédic), @amandine lévêque (paramédic), @eirík ferai ambulanciers @jay madden secouristes volontaires

en ce moment

Le temps a été long pour ces âmes vaillantes, plus encore après les évènements d'avril. Nombreux sont les membres du personnel à se souvenir de ce qui s'est passé concernant l'assassinat de l'adjoint du Maire au sein de l'hôpital. Salués pour leur courage et leur bravoure, inutile de préciser que ça n'aide en rien ces combattants de l'ombre à s'apaiser. L'hôpital manque plus que jamais de moyens et dans la purge orchestrée pour chasser la vermine de la ville, on en oublie presque que ces lieux sont indispensables à l'équilibre de cette citée. Les pompiers sont exténués. Quant à ceux qui tiennent l'hôpital à bout de bras, ils ont pour volonté de se faire enfin entendre. Des manifestations sont à prévoir. Des démissions saturent les services. Trop de traumatismes sont à compter pour les ingérences des politiques passées.

‡ ▬ BEYOND THE VEIL ▬ ⚖